Elles sont des milliers à errer dans les grands boulevards, les rues, les dancings, les hôtels de passe, les cabarets, en bordures de mer, de carcasses les véhicule, les gourbis, et aux alentours des résidences universitaires. Elles sont faciles à repérer, souvent, avec une tenue très légère, en plus dun maquillage parfois offensant, qui attire lattention des « prédateurs » et de simples curieux. Leur nombre échappe aux calculettes de lEtat (pas de statistiques officielles). Fuyant le mal et la mal traitance des conjoints, des parents aux idées archaïques (patriarcat oblige !). La moyenne dâge de ces filles de joie varie entre 18 et 45 ans, encore ces derniers temps, on voit apparaître des filles à fleur dâge. La plupart de ces filles minettes se sont en majorité - enfuies de la maison de leurs parents et/ou centres de rééducations. Dans la plupart des cas, elles se prostituent pour gagner de l´argent ou pour trouver à se loger.
http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/algerie-faut-il-reglementer-la-97001
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