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Amis français, comment est-ce possible en plein Paris ?
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[QUOTE="VeraBien, post: 16911856, member: 377289"] [USER=167672]@compteblad[/USER] : article assez éclairant avec témoignages des commerçants et habitants de la Goutte d'Or-Barbes [SIZE=7][B]Délinquance: les Parisiens de la Goutte d’Or à bout de nerfs[/B][/SIZE] [B]REPORTAGE - [/B]Vols, violences, intimidations, deals, squats… La situation de ce quartier du 18e arrondissement de la capitale se dégrade. Cela commence dès la sortie du métro Barbès-Rochechouart. Il faut d’abord franchir un véritable barrage d’hommes agglutinés devant l’escalier. L’un vous tend un bout de papier vantant les mérites de [I]«M. Samou, marabout»[/I]. Un vendeur à la sauvette propose des cigarettes. Un groupe de jeunes en jogging lorgne votre sac, à moins que ce ne soit votre jupe. Deux ados suivent de très près une vieille dame qui va faire son marché. [I]«Ah, c’est pas un sentiment![/I], s’emporte Farida, l’énergique patronne du café Les Mah-Boules, rue de Jessaint. [I]C’est vraiment devenu l’insécurité totale dans ce quartier.» «Stop à l’insécurité»[/I]: à la Goutte d’Or, dans le 18e arrondissement de Paris, l’affichette rouge et blanche est visible sur la plupart des vitrines. C’est Farida, qui [I]«travaille ici depuis plus de trente ans»[/I]. qui en est à l’initiative. [I]«On ne sait plus à qui s’adresser[/I], explique-t-elle. [I]Entre les toxicos, les mineurs isolés, on est à bout! On voudrait que la police, les élus voient que tout le monde en a marre: ce sont des femmes qu’on met à terre, des vieillards qu’on vole, des voitures systématiquement vandalisées… Je suis en train de faire refaire mes cartes de visite pour enlever les noms des métros: Barbès, La Chapelle, Gare du Nord, ça fait trop peur… dans aucune des cinq stations qui desservent le quartier on se sent en sécurité.»[/I] Depuis le déconfinement,[I] «la situation autour du carrefour Barbès se dégrade grandement, [/I]écrit l’association Action Barbès sur son blog.[I] Le deal de cigarettes et drogues en tous genres, les agressions, les vols à l’arraché, les intrusions dans les immeubles pour abriter divers trafics et autre prostitution, sans compter les règlements de comptes entre délinquants, sont devenus le quotidien des habitants». [/I]Le 1er septembre, rapporte son président, Jean-Raphaël Bourge, [I]«deux agressions au couteau, avec des blessures très graves, se sont produites au même carrefour à deux heures d’intervalle». [/I]Cet été, complète Farida, [I]«il y a eu 3 morts à quelques mètres de chez nous»[/I]. L’un a été poignardé, en plein jour, devant la bibliothèque, qui du coup [I]«a renoncé à toute animation pour les enfants sur son parvis»[/I]… [URL='https://www.lefigaro.fr/actualite-france/ces-insaisissables-mineurs-marocains-qui-hantent-les-villes-francaises-20190612']Les [I]«mineurs marocains»[/I][/URL][I] [/I][URL='https://www.lefigaro.fr/actualite-france/ces-insaisissables-mineurs-marocains-qui-hantent-les-villes-francaises-20190612'], pas tous mineurs, pas tous marocains[/URL], mais tous toxicomanes, ont investi le quartier il y a environ quatre ans. Ce matin-là, un petit groupe occupe la laverie. Certains sont affalés sur le sol. [I]«J’en ai toujours une quinzaine devant ma terrasse[/I], soupire Christian, restaurateur. [I]Au départ, ils jouent, mais après, ça dégénère.»[/I] Tous les soirs. [I]«C’est devenu infernal[/I], renchérit Catherine, son épouse.[I] On a mis une clôture autour de notre terrasse, avec de la verdure, pour éviter les vols. Mais, du coup est-ce que les clients ne se sentent pas trop enfermés? Le soir, on n’a presque plus personne. Notre clientèle de quarantenaires bobos qui aime bien la bonne cuisine et le vin bio, elle a déménagé. Le Leader Price a brûlé, la brasserie d’en face a fermé… On ne sait plus quoi faire, ça nous bouffe la vie.»[/I] Un peu plus loin, la gérante de l’auto-école ne s’est pas risquée à afficher le panneau [I]«Stop à l’insécurité»[/I]. [I]«J’ai peur qu’ils me cassent la vitrine[/I], avoue-t-elle. [I]Les dealers sont devant chez moi tous les après-midi ; je suis obligée de m’enfermer à clef dès 15 heures. Il y a deux semaines, des policiers en civil en ont attrapé deux ; ils les ont fait rentrer dans ma boutique pour les fouiller. Depuis, les autres croient que c’est moi qui ai appelé la police! J’avais mis des plantes dehors pour les empêcher de s’asseoir sur le rebord, ils les ont arrachées. Évidemment, j’ai une terrible baisse du nombre d’élèves. Je n’arrive plus à payer mes charges.» ...[/I] [/QUOTE]
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