Amis français, comment est-ce possible en plein Paris ?
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A
AncienMembre
Non connecté
quand je pense à cette horreur qui perdure depuis 10 ans au bord de Paris,
c'est un véritable scandale.
En comparaison, en Allemagne qui a accueilli 1,1 million de réfugiés, tout le monde est logé,
chacun a une place, une formation, des cours de langue... Je ne dis pas que c'est le paradis,
mais à côté de ça...
c'est un véritable scandale.
En comparaison, en Allemagne qui a accueilli 1,1 million de réfugiés, tout le monde est logé,
chacun a une place, une formation, des cours de langue... Je ne dis pas que c'est le paradis,
mais à côté de ça...
Parce que tu penses que ça concerne que les migrants?
Des français, francaises qui se prostituent,des travailleurs,chômeurs,RSA zonent aussi là bas
Des français, francaises qui se prostituent,des travailleurs,chômeurs,RSA zonent aussi là bas
C est a l extrême nord de paris Coller au 93 et le nord regroupe les quartiers populaires et immigrés
Donc oui c est possible dans cette endroit de paris
pas ailleurs
Comprendras qui pourras
Salam boublil ,
La question sécuritaire n'est pas vraiment le problème. Le problème c'est qu'une fois qu'on a fait le ménage on fait quoi de ces pauvres gars? Il faut les prendre en charge ...
C'est un problème très complexe.
Des quartiers délaissés par la Mairie de Paris ?
T'as vu comment vers Porte de la Chapelle est en train de se transformer ? Les nouveaux logements (les grandes tours).
Du coup je me demande si l'équipe Hidalgo va trouver une solution à ses personnes...
A
AncienMembre
Non connecté
salam, et oui, complètement d'accord avec toi
(voir le post sur l'Allemagne
Encore les migrants?
Et tes compatriotes français
ils en font quoi une fois le ménage fait?
Tu as une idée?
Salam belgika,
C'est à quel sujet ?
J'a pas parlé de migrantsSalam
À toi de me répondre
Tu répondais à un message sur les migrants et l'Allemagne comme le sujet apparemment vidéo Paris migrants je t'ai cité ainsi que boublil c'est tout
Je te cite réponse à l'autre qui passe du coq à l'âne
Allemagne,Paris
"Que fait on de ces gars" ?
Sinon tu t'ennuies peut-être à chercher de midi à quatorze heure
Bref passe ton chemin si c est encore pour m'emmerder
Je te cite réponse à l'autre qui passe du coq à l'âne
Allemagne,Paris
"Que fait on de ces gars" ?
Sinon tu t'ennuies peut-être à chercher de midi à quatorze heure
Bref passe ton chemin si c est encore pour m'emmerder
J'a pas parlé de migrants
VeraBien
VIB
@compteblad : article assez éclairant avec témoignages des commerçants et habitants de la Goutte d'Or-Barbes
Délinquance: les Parisiens de la Goutte d’Or à bout de nerfs
REPORTAGE - Vols, violences, intimidations, deals, squats… La situation de ce quartier du 18e arrondissement de la capitale se dégrade.
Cela commence dès la sortie du métro Barbès-Rochechouart. Il faut d’abord franchir un véritable barrage d’hommes agglutinés devant l’escalier. L’un vous tend un bout de papier vantant les mérites de «M. Samou, marabout». Un vendeur à la sauvette propose des cigarettes. Un groupe de jeunes en jogging lorgne votre sac, à moins que ce ne soit votre jupe. Deux ados suivent de très près une vieille dame qui va faire son marché. «Ah, c’est pas un sentiment!, s’emporte Farida, l’énergique patronne du café Les Mah-Boules, rue de Jessaint. C’est vraiment devenu l’insécurité totale dans ce quartier.»
«Stop à l’insécurité»: à la Goutte d’Or, dans le 18e arrondissement de Paris, l’affichette rouge et blanche est visible sur la plupart des vitrines. C’est Farida, qui «travaille ici depuis plus de trente ans». qui en est à l’initiative. «On ne sait plus à qui s’adresser, explique-t-elle. Entre les toxicos, les mineurs isolés, on est à bout! On voudrait que la police, les élus voient que tout le monde en a marre: ce sont des femmes qu’on met à terre, des vieillards qu’on vole, des voitures systématiquement vandalisées… Je suis en train de faire refaire mes cartes de visite pour enlever les noms des métros: Barbès, La Chapelle, Gare du Nord, ça fait trop peur… dans aucune des cinq stations qui desservent le quartier on se sent en sécurité.»
Depuis le déconfinement, «la situation autour du carrefour Barbès se dégrade grandement, écrit l’association Action Barbès sur son blog. Le deal de cigarettes et drogues en tous genres, les agressions, les vols à l’arraché, les intrusions dans les immeubles pour abriter divers trafics et autre prostitution, sans compter les règlements de comptes entre délinquants, sont devenus le quotidien des habitants». Le 1er septembre, rapporte son président, Jean-Raphaël Bourge, «deux agressions au couteau, avec des blessures très graves, se sont produites au même carrefour à deux heures d’intervalle». Cet été, complète Farida, «il y a eu 3 morts à quelques mètres de chez nous». L’un a été poignardé, en plein jour, devant la bibliothèque, qui du coup «a renoncé à toute animation pour les enfants sur son parvis»…
Les «mineurs marocains» , pas tous mineurs, pas tous marocains, mais tous toxicomanes, ont investi le quartier il y a environ quatre ans. Ce matin-là, un petit groupe occupe la laverie. Certains sont affalés sur le sol. «J’en ai toujours une quinzaine devant ma terrasse, soupire Christian, restaurateur. Au départ, ils jouent, mais après, ça dégénère.» Tous les soirs. «C’est devenu infernal, renchérit Catherine, son épouse. On a mis une clôture autour de notre terrasse, avec de la verdure, pour éviter les vols. Mais, du coup est-ce que les clients ne se sentent pas trop enfermés? Le soir, on n’a presque plus personne. Notre clientèle de quarantenaires bobos qui aime bien la bonne cuisine et le vin bio, elle a déménagé. Le Leader Price a brûlé, la brasserie d’en face a fermé… On ne sait plus quoi faire, ça nous bouffe la vie.»
Un peu plus loin, la gérante de l’auto-école ne s’est pas risquée à afficher le panneau «Stop à l’insécurité». «J’ai peur qu’ils me cassent la vitrine, avoue-t-elle. Les dealers sont devant chez moi tous les après-midi ; je suis obligée de m’enfermer à clef dès 15 heures. Il y a deux semaines, des policiers en civil en ont attrapé deux ; ils les ont fait rentrer dans ma boutique pour les fouiller. Depuis, les autres croient que c’est moi qui ai appelé la police! J’avais mis des plantes dehors pour les empêcher de s’asseoir sur le rebord, ils les ont arrachées. Évidemment, j’ai une terrible baisse du nombre d’élèves. Je n’arrive plus à payer mes charges.»
...
Délinquance: les Parisiens de la Goutte d’Or à bout de nerfs
REPORTAGE - Vols, violences, intimidations, deals, squats… La situation de ce quartier du 18e arrondissement de la capitale se dégrade.
Cela commence dès la sortie du métro Barbès-Rochechouart. Il faut d’abord franchir un véritable barrage d’hommes agglutinés devant l’escalier. L’un vous tend un bout de papier vantant les mérites de «M. Samou, marabout». Un vendeur à la sauvette propose des cigarettes. Un groupe de jeunes en jogging lorgne votre sac, à moins que ce ne soit votre jupe. Deux ados suivent de très près une vieille dame qui va faire son marché. «Ah, c’est pas un sentiment!, s’emporte Farida, l’énergique patronne du café Les Mah-Boules, rue de Jessaint. C’est vraiment devenu l’insécurité totale dans ce quartier.»
«Stop à l’insécurité»: à la Goutte d’Or, dans le 18e arrondissement de Paris, l’affichette rouge et blanche est visible sur la plupart des vitrines. C’est Farida, qui «travaille ici depuis plus de trente ans». qui en est à l’initiative. «On ne sait plus à qui s’adresser, explique-t-elle. Entre les toxicos, les mineurs isolés, on est à bout! On voudrait que la police, les élus voient que tout le monde en a marre: ce sont des femmes qu’on met à terre, des vieillards qu’on vole, des voitures systématiquement vandalisées… Je suis en train de faire refaire mes cartes de visite pour enlever les noms des métros: Barbès, La Chapelle, Gare du Nord, ça fait trop peur… dans aucune des cinq stations qui desservent le quartier on se sent en sécurité.»
Depuis le déconfinement, «la situation autour du carrefour Barbès se dégrade grandement, écrit l’association Action Barbès sur son blog. Le deal de cigarettes et drogues en tous genres, les agressions, les vols à l’arraché, les intrusions dans les immeubles pour abriter divers trafics et autre prostitution, sans compter les règlements de comptes entre délinquants, sont devenus le quotidien des habitants». Le 1er septembre, rapporte son président, Jean-Raphaël Bourge, «deux agressions au couteau, avec des blessures très graves, se sont produites au même carrefour à deux heures d’intervalle». Cet été, complète Farida, «il y a eu 3 morts à quelques mètres de chez nous». L’un a été poignardé, en plein jour, devant la bibliothèque, qui du coup «a renoncé à toute animation pour les enfants sur son parvis»…
Les «mineurs marocains» , pas tous mineurs, pas tous marocains, mais tous toxicomanes, ont investi le quartier il y a environ quatre ans. Ce matin-là, un petit groupe occupe la laverie. Certains sont affalés sur le sol. «J’en ai toujours une quinzaine devant ma terrasse, soupire Christian, restaurateur. Au départ, ils jouent, mais après, ça dégénère.» Tous les soirs. «C’est devenu infernal, renchérit Catherine, son épouse. On a mis une clôture autour de notre terrasse, avec de la verdure, pour éviter les vols. Mais, du coup est-ce que les clients ne se sentent pas trop enfermés? Le soir, on n’a presque plus personne. Notre clientèle de quarantenaires bobos qui aime bien la bonne cuisine et le vin bio, elle a déménagé. Le Leader Price a brûlé, la brasserie d’en face a fermé… On ne sait plus quoi faire, ça nous bouffe la vie.»
Un peu plus loin, la gérante de l’auto-école ne s’est pas risquée à afficher le panneau «Stop à l’insécurité». «J’ai peur qu’ils me cassent la vitrine, avoue-t-elle. Les dealers sont devant chez moi tous les après-midi ; je suis obligée de m’enfermer à clef dès 15 heures. Il y a deux semaines, des policiers en civil en ont attrapé deux ; ils les ont fait rentrer dans ma boutique pour les fouiller. Depuis, les autres croient que c’est moi qui ai appelé la police! J’avais mis des plantes dehors pour les empêcher de s’asseoir sur le rebord, ils les ont arrachées. Évidemment, j’ai une terrible baisse du nombre d’élèves. Je n’arrive plus à payer mes charges.»
...
VeraBien
VIB
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Retraitée, Lise a été agressée trois fois. Si elle ose encore sortir, c’est «sans aucun bijou, et en regardant toujours tout autour». Farida a été victime de deux cambriolages en août. «Au commissariat, on m’a dit: “On va déférer les trois gamins en justice, mais demain, ils seront libres”…, rapporte-t-elle. Pour l’un d’entre eux, c’était déjà la troisième fois. Ils sont de plus en plus nombreux, et en train d’étendre leur territoire jusqu’à l’église Saint-Bernard. Chaque bande essaie de trouver sa place. Où sont les 82 associations censées aider les gens du quartier, qui ne font rien à part pomper l’argent de l’État? L’une d’elles a par exemple installé des chèvres et des moutons square Alain-Bashung. Mais à quoi ça sert, puisque les enfants ne peuvent plus y venir, depuis qu’il n’y a plus de vigile?»
À ses pieds, Bouboule, un croisé labrador, «censé dissuader les délinquants». «Depuis qu’elle s’est fait arracher son portable, ma fille ne se déplace plus sans lui», indique Farida. «Moi aussi, j’emmène mon chien dans mon magasin de vélos, assure Rico, un grand gaillard pourtant. Le problème, c’est que si on se défend, c’est nous qui risquons la prison, et eux, il ne leur arrive jamais rien!» Avec la police, affirment plusieurs commerçants, «il y a une crise de confiance»: «Le commissariat, tout proche, ne fait rien contre le deal, alors que le ministre de l’Intérieur a dit que c’était sa priorité!, lance l’un d’eux. En revanche, dès qu’il y a une table mal alignée, l’amende arrive tout de suite.»
À la mairie du 18e arrondissement, Kévin Havet, adjoint en charge de la sécurité, reconnaît «une montée des incivilités depuis quelques semaines». Mais promet que «le quartier n’est pas à l’abandon». «Je partage les inquiétudes des commerçants et des habitants et ne cesse de demander un renforcement des moyens dédiés à la sécurité, renchérit le maire (PS) Éric Lejoindre. De notre côté, nous nous mobilisons sur ce pour quoi nous sommes en responsabilité: l’aménagement des rues, la diversification commerciale et la sécurisation des lieux publics municipaux.»
Si Action Barbès, «d’ordinaire discrète et modérée», évoque un quartier «au bord de l’explosion», c’est que c’est «vraiment grave», insiste Jean-Raphaël Bourge. «Notre association a rarement connu autant de signalements et d’appels désespérés, poursuit-il. Ce territoire ne semble plus régi par les lois de la République mais par celles, mafieuses, de groupes d’individus qui prétendent régner sur nos rues. Pourquoi ne voit-on jamais la police? Pourquoi la Préfecture de police n’a-t-elle pas répondu à notre courrier d’il y a quinze jours?» Sollicitée à plusieurs reprises, la Préfecture de police n’a pas non plus répondu au Figaro.
www.lefigaro.fr
Retraitée, Lise a été agressée trois fois. Si elle ose encore sortir, c’est «sans aucun bijou, et en regardant toujours tout autour». Farida a été victime de deux cambriolages en août. «Au commissariat, on m’a dit: “On va déférer les trois gamins en justice, mais demain, ils seront libres”…, rapporte-t-elle. Pour l’un d’entre eux, c’était déjà la troisième fois. Ils sont de plus en plus nombreux, et en train d’étendre leur territoire jusqu’à l’église Saint-Bernard. Chaque bande essaie de trouver sa place. Où sont les 82 associations censées aider les gens du quartier, qui ne font rien à part pomper l’argent de l’État? L’une d’elles a par exemple installé des chèvres et des moutons square Alain-Bashung. Mais à quoi ça sert, puisque les enfants ne peuvent plus y venir, depuis qu’il n’y a plus de vigile?»
À ses pieds, Bouboule, un croisé labrador, «censé dissuader les délinquants». «Depuis qu’elle s’est fait arracher son portable, ma fille ne se déplace plus sans lui», indique Farida. «Moi aussi, j’emmène mon chien dans mon magasin de vélos, assure Rico, un grand gaillard pourtant. Le problème, c’est que si on se défend, c’est nous qui risquons la prison, et eux, il ne leur arrive jamais rien!» Avec la police, affirment plusieurs commerçants, «il y a une crise de confiance»: «Le commissariat, tout proche, ne fait rien contre le deal, alors que le ministre de l’Intérieur a dit que c’était sa priorité!, lance l’un d’eux. En revanche, dès qu’il y a une table mal alignée, l’amende arrive tout de suite.»
À la mairie du 18e arrondissement, Kévin Havet, adjoint en charge de la sécurité, reconnaît «une montée des incivilités depuis quelques semaines». Mais promet que «le quartier n’est pas à l’abandon». «Je partage les inquiétudes des commerçants et des habitants et ne cesse de demander un renforcement des moyens dédiés à la sécurité, renchérit le maire (PS) Éric Lejoindre. De notre côté, nous nous mobilisons sur ce pour quoi nous sommes en responsabilité: l’aménagement des rues, la diversification commerciale et la sécurisation des lieux publics municipaux.»
Si Action Barbès, «d’ordinaire discrète et modérée», évoque un quartier «au bord de l’explosion», c’est que c’est «vraiment grave», insiste Jean-Raphaël Bourge. «Notre association a rarement connu autant de signalements et d’appels désespérés, poursuit-il. Ce territoire ne semble plus régi par les lois de la République mais par celles, mafieuses, de groupes d’individus qui prétendent régner sur nos rues. Pourquoi ne voit-on jamais la police? Pourquoi la Préfecture de police n’a-t-elle pas répondu à notre courrier d’il y a quinze jours?» Sollicitée à plusieurs reprises, la Préfecture de police n’a pas non plus répondu au Figaro.
Délinquance: les Parisiens de la Goutte dâOr à bout de nerfs
REPORTAGE - Vols, violences, intimidations, deals, squats… La situation de ce quartier du 18e arrondissement de la capitale se dégrade.
Salam belgika,Tu répondais à un message sur les migrants et l'Allemagne comme le sujet apparemment vidéo Paris migrants je t'ai cité ainsi que boublil c'est tout
Je te cite réponse à l'autre qui passe du coq à l'âne
Allemagne,Paris
"Que fait on de ces gars" ?
Sinon tu t'ennuies peut-être à chercher de midi à quatorze heure
Bref passe ton chemin si c est encore pour m'emmerder
Non pas vraiment, je répondais au doc sur la colline du crack
Colline du crack — Wikipédia
C'est toi qui me quote et c'est moi qui t'emmerde ! T'es comique ^^
Salam
Voilà tu répondais sur le sujet la colline
Et tu demandais que fait on de ces gars (migrants) alors qu'il y a des francais(ses) aussi alors que faites vous d'eux
Moi j'emmerde gentiment nuance
Voilà tu répondais sur le sujet la colline
Et tu demandais que fait on de ces gars (migrants) alors qu'il y a des francais(ses) aussi alors que faites vous d'eux
Moi j'emmerde gentiment nuance
Salam belgika,
Non pas vraiment, je répondais au doc sur la colline du crack
Colline du crack — Wikipédia
fr.wikipedia.org
C'est toi qui me quote et c'est moi qui t'emmerde ! T'es comique ^^
Pourquoi tu insistes à associer dealers/toxico et migrants !Salam
Voilà tu répondais sur le sujet la colline
Et tu demandais que fait on de ces gars (migrants) alors qu'il y a des francais(ses) aussi alors que faites vous d'eux
Moi j'emmerde gentiment nuance
Tiens voilà de la lecture :
La "colline du crack" à Paris démantelée d'ici un mois
Le préfet de la région Ile-de-France Michel Cadot a annoncé jeudi que la "colline du crack", au nord-est de Paris, sera démantelée d'ici un mois.
C'est pour ça que j'ai liké
Vu la vidéo donc voilà pourquoi
Pourquoi tu insistes à associer dealers/toxico et migrants !
Tiens voilà de la lecture :
La "colline du crack" à Paris démantelée d'ici un mois
Le préfet de la région Ile-de-France Michel Cadot a annoncé jeudi que la "colline du crack", au nord-est de Paris, sera démantelée d'ici un mois.www.parismatch.com
VeraBien
VIB
Salut Uni,Pourquoi tu insistes à associer dealers/toxico et migrants !
Tiens voilà de la lecture :
La "colline du crack" à Paris démantelée d'ici un mois
Le préfet de la région Ile-de-France Michel Cadot a annoncé jeudi que la "colline du crack", au nord-est de Paris, sera démantelée d'ici un mois.
Le pb de ces démantèlements est qu'ils ne font que déplacer le pb. Fin 2019, les grèves des transports sur la ligne 4 avaient déplacé les toxicos dans d'autres stations de métro d'autres lignes de métro. Descente de police pour les virer, repartis ailleurs...
Récemment, c'est la station RER E, Rosa Park, qui a été évacuée (https://www.francebleu.fr/infos/soc...u-tunnel-de-la-gare-rer-rosa-parks-1599116503)
Mais sans prise en charge réelle de ces personnes avec proposition d'hébergement et de soins, le problème ne fera que se déplacer. Comme pour les tentes de migrants d'ailleurs.
Pourquoi cela n'est pas fait ?
- parce que les politiques s'en foutent, pourvu qu'ils montrent aux médias une fois tous les 36 du mois qu'ils agissent en démantelant un camp
- parce que l'Etat n'a plus les moyens de payer une prise en charge réelle de ces personnes
En revanche, n'oublie pas de porter ton masque sinon c'est 135€ (bah oui, faut bien renflouer les caisses)...
Dernière édition:
Oui ils y a une certaine promiscuité avec un camp de réfugié, mais c'est pas pareil.
J'avais assisté en direct à l'évacuation en grande pompe de cette colline. Les flics n'étaient pas partis qu'ils dealaient déjà.
A
AncienMembre
Non connecté
> Notre association a rarement connu autant de signalements et d’appels désespérés
Et bien je comprends mieux le contexte de l'agression que j'ai subie et je me dis que j'ai au moins la chance de m'en sortir juste avec quelques griffures. Autrefois, je pouvais me balader partout dans Paris. Mais autour de Barbès, Gare du Nord, c'est devenu à la fois sale, puant et infernal
Salam VeraBien,
C'est un peu ce que dit l'article que j'ai posté.
Tu oublies une raison ds ta liste, la complexité du problème lié aux toxicos et au deal.
Sinon on est d'accord faut aussi de la volonté et des moyens ...
> Notre association a rarement connu autant de signalements et d’appels désespérés
Et bien je comprends mieux le contexte de l'agression que j'ai subie et je me dis que j'ai au moins la chance de m'en sortir juste avec quelques griffures. Autrefois, je pouvais me balader partout dans Paris. Mais autour de Barbès, Gare du Nord, c'est devenu à la fois sale, puant et infernal
Les autorités laissent faire.
VeraBien
VIB
ça fait déjà quelques années que mes collègues féminines devant passer par la gare du Nord pour rentrer chez elles ne partent plus seules mais en groupe parce qu'elles ont peur. Et elles partent à 18h dernier délai...Et bien je comprends mieux le contexte de l'agression que j'ai subie et je me dis que j'ai au moins la chance de m'en sortir juste avec quelques griffures. Autrefois, je pouvais me balader partout dans Paris. Mais autour de Barbès, Gare du Nord, c'est devenu à la fois sale, puant et infernal
Paris, ville lumière... ah ah ah !
Avant, j'allais à Rosa Park avec mon fils car il n'y a jamais personne dans le grand cinéma et il y a un très bon restau thai. Ma dernière visite remonte à novembre dernier : entre les rats dans l'aire de jeu à gamins du square et des gars camés et agressifs, terminé !
Mais bon, maintenant que la rue de Rivoli a été transformée en piste cyclable géante, tout va aller mieux. Merci Hidalgo
PS :
Avant qu'on me traite de raciste ou je ne sais quoi, je tiens à préciser que c'est dans tout Paris pareil : lors de ma dernière visite de l'aire à gamins des Tuileries, j'y ai aussi rencontré de forts gros rats. Le plus marrant est de les voir grimper dans les poubelles à la fermeture du parc pour récupérer les restes de bouffe jetés par les visiteurs : en jetant sa briquette de jus de fruits, mon fils en a fait bondir 3
Dommage, c'était un joli parc et l'une des meilleures aires de jeu pour enfants (oui, je pourrais faire guide des aires de jeu à gamins dans Paris^^)
A
AncienMembre
Non connecté
trop c'est trop: l'article dit bien que la police ne répond même pas... je m'en doutais, ils s'en battent...
alors qui va agir ?
alors qui va agir ?
A
AncienMembre
Non connecté
PAris a de très gros problèmes de RATS et de PUNAISES de lit !
les services spécialisés sont débordés et ne peuvent même plus répondre à la demande.
Les foyers, cités U, hébergements d'urgence sont infestés, et même les appartements de particuliers.
dans un des jardins partagés que je fréquente, on a arrêté de cultiver car les rats venaient tout manger et couraient entre les plates bandes...
Entre ça et la délinquance, la crasse totale de certains quartiers, on ne reconnait plus notre capitale !
La Goutte d'Or dans les années 70 était un vrai coupe gorge, rien de nouveau sous le soleil.
VeraBien
VIB
Pour les rats, ça remonte à quelques années, quand des associations d'écolos se sont élevées pour qu'on arrête de dératiser... Le dogmatisme idiot.PAris a de très gros problèmes de RATS et de PUNAISES de lit !
les services spécialisés sont débordés et ne peuvent même plus répondre à la demande.
Les foyers, cités U, hébergements d'urgence sont infestés, et même les appartements de particuliers.
dans un des jardins partagés que je fréquente, on a arrêté de cultiver car les rats venaient tout manger et couraient entre les plates bandes...
Entre ça et la délinquance, la crasse totale de certains quartiers, on ne reconnait plus notre capitale !
VeraBien
VIB
Les commerçants de Barbès ne sont pas de ton avis... comme ce kiosquier, qui a grandit à Barbès : https://www.leparisien.fr/paris-75/...barbes-a-jete-l-eponge-24-09-2018-7901181.php
(l'article date de 2018)
Et ben ce type n'a pas de mémoire.
VeraBien
VIB
Ayez confiance, tout va bien... Ayez confiance, tout va bien...
L'ennui est qu'on est assez nombreux à être sufisamment vieux pour voir que, non, cela n'était pas pareil il y a 20 ou 30 ans^^ Le déni ne change pas la réalité.
Au tournant des années 70/80, lors de la rénovation de l’Ilot Chalon, aux abords de la gare de Lyon, un lieu de deal et de consommation d’héroïne, le trafic de drogues dures se déplace vers le 18e arrondissement de Paris, à la Goutte d’Or La jeunesse locale en fait les frais : la consommation d’héroïne s’y développe massivement, notamment parmi les enfants d’immigrés, touchés de plein fouet par la crise de l’emploi et l’enclavement du quartier. Pour ceux qui y perdent pied, l’avenir ressemble à une impasse. L’absence d’information sur la menace du sida, en pleine expansion, et l’inexistence d’une politique sanitaire de réduction des risques leur font côtoyer la mort à tout moment. Par ailleurs, la stigmatisation dont font l’objet les toxicomanes, et la difficulté d’accéder au dispositif spécialisé (exclusivement orienté vers l’abstinence) isole les usagers de drogue des actions publiques susceptibles de leur apporter un soutien.
Suite et source
Suite et source
Ayez confiance, tout va bien... Ayez confiance, tout va bien...
L'ennui est qu'on est assez nombreux à être sufisamment vieux pour voir que, non, cela n'était pas pareil il y a 20 ou 30 ans^^ Le déni ne change pas la réalité.
Je viens de te poster un lien, c'est toi qui est dans le déni, c'est même plus du déni à ce stade là, c'est de l'aveuglement.