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Angelina parle, cinq ans après s’être fait fracasser le crâne par des policiers
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[QUOTE="Personne2, post: 17956760, member: 375825"] suite : Cette réouverture d’enquête semble d’autant plus nécessaire que, [URL='https://www.mediapart.fr/journal/france/051119/comment-la-police-des-polices-protege-les-siens?onglet=full']comme nous l’avions révélé[/URL], l’antenne marseillaise de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), chargée des investigations, n’a pas exploré l’ensemble des pistes, laissant même de côté certains éléments susceptibles de permettre l’identification des coupables. Dès sa sortie d’hôpital, Angelina a dû surmonter des obstacles. Elle essuie ainsi deux refus de dépôt de plainte dans deux commissariats. Ensuite, lorsque le parquet ouvre une enquête à la suite de sa plainte en avril 2019, il est impossible d’exploiter les images de vidéosurveillance de la ville, qui, selon les délais d’usage, ont été écrasées. Il en va de même pour les écoutes des échanges radio de la police (Acropol), qui ne sont conservées que deux mois. L’IGPN dispose cependant de deux vidéos, remises par des témoins, et de quelques photos. Sur l’un des [URL='https://www.mediapart.fr/journal/france/300419/marseille-des-policiers-fracassent-le-crane-d-une-jeune-femme-terre']enregistrements[/URL], lorsque Angelina, à terre, est rouée de coups, on aperçoit des policiers portant un brassard et un casque identifiable, et d’autres, sans insigne ni brassard, le visage masqué, affublés de matériel non réglementaire comme des casques de skate. [MEDIA=youtube]l-K90vNztv4[/MEDIA] À partir de l’exploitation de ces images et malgré leur accoutrement, trois policiers ont pu être identifiés, trahis par certains détails comme une attelle à la main gauche pour l’un, ou le port de casques de skate pour d’autres. Mais l’IGPN va mettre quatre mois, et même parfois plus d’un an, avant de les entendre et de perquisitionner leur domicile. Tous nient leur implication. Auditionnés, les responsables des différentes unités de police présentes ce jour-là disent ne pas reconnaître les policiers sur les vidéos. Certains expliquent même être dans l’incapacité de localiser leurs propres agents au moment des faits. L’IGPN se contentera de recueillir leurs déclarations sans interroger ces commissaires, commandants ou majors, sur de telles incohérences. [I][B]« Forcement, les responsables des unités savent qui sont les auteurs des violences[/B][/I][B], déclare à Mediapart un commissaire de police qui a travaillé à Marseille par le passé. A fortiori[/B][I][B] dans cette affaire qui a fait grand bruit et qui a donné lieu à une enquête. Certes, entre policiers, ils se soutiennent, mais que la hiérarchie couvre autant, c’est désastreux. »[/B][/I] Certains éléments, que l’IGPN n’a pas exploités, auraient pu briser cette omerta. Et seule la réouverture de l’enquête permettrait aujourd’hui de les examiner. Il s’agit notamment des 47 procédures ouvertes le 8 décembre 2018 à la suite d’interpellations de manifestants soupçonnés de violence. Pour vingt d’entre elles, des policiers avaient demandé au centre de supervision urbain (CSU), qui centralise les images de vidéosurveillance de la ville, de transmettre des enregistrements de la voie publique. Ces enregistrements-là ont été conservés. [HEADING=1][/HEADING] [/QUOTE]
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