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PLD (Peace, Love and Diversity)
PS : Anvers c'est en Belgique, pour ceux qui ne connaissent pas.
http://www.dhnet.be/infos/faits-div...-de-viol-et-de-torture-sur-un-nourrisson.html
Une mère et son ex-compagnon accusés de viol et de torture sur un nourrisson
(04/03/2013)
Des traces ADN du bébé ont été retrouvées sur les parties génitales de l'homme
ANVERS Le jury du procès, devant la cour d'assises d'Anvers, d'une femme de 26 ans et de son ex-compagnon de 34 ans accusés de torture et de viol sur le bébé de la femme, âgé de huit mois, sera composé mercredi. La petite fille est décédée il y a quatre ans. Les deux accusés nient vigoureusement les faits et les conclusions du médecin légiste. Le 21 décembre 2008, la mère a prévenu les services de secours car sa petite fille ne réagissait plus. Malgré la tentative de réanimation par un médecin-urgentiste, l'enfant est décédé. Une enquête a été ensuite ouverte lorsqu'il est apparu que, deux semaines plus tôt, le bébé avait été hospitalisé pour une double fracture non expliquée.
Le médecin légiste qui a examiné le cadavre a trouvé de nombreuses ecchymoses et blessures. Un scanner complet du corps a révélé une hémorragie cérébrale, une ancienne double fracture à la jambe et une fracture à la cuisse. La petite fille a également souffert de blessures orales, anales et rectales. Une hémorragie interne, près du rein, a également été constatée. Le médecin en est venu à la conclusion que l'enfant avait été battue et violée.
La mère et son compagnon de l'époque ont alors été arrêtés.
Des traces ADN du bébé ont été retrouvées sur les parties génitales de l'homme. Mais, pour la défense, ces traces peuvent être dues à un transfert indirect, après avoir changé le lange du bébé par exemple.
L'avocat de la mère a demandé une seconde expertise, dont les résultats sont en contradiction avec les conclusions du médecin légiste. Selon l'avocat, les blessures orales, anales et rectales ont une explication médicale, ce qui exclut le viol. Quant aux fractures, elles ont été, toujours selon la défense, causées par une carence en vitamine D. L'hémorragie cérébrale a été provoquée en secouant le bébé pour essayer de le réveiller et l'hémorragie interne par un massage trop intensif de l'abdomen.
La mère a été libérée après trois mois de préventive mais son ex-compagnon est toujours derrière les barreaux. Leur procès est prévu pour une durée de sept jours.
http://www.dhnet.be/infos/faits-div...-de-viol-et-de-torture-sur-un-nourrisson.html
Une mère et son ex-compagnon accusés de viol et de torture sur un nourrisson
(04/03/2013)
Des traces ADN du bébé ont été retrouvées sur les parties génitales de l'homme
ANVERS Le jury du procès, devant la cour d'assises d'Anvers, d'une femme de 26 ans et de son ex-compagnon de 34 ans accusés de torture et de viol sur le bébé de la femme, âgé de huit mois, sera composé mercredi. La petite fille est décédée il y a quatre ans. Les deux accusés nient vigoureusement les faits et les conclusions du médecin légiste. Le 21 décembre 2008, la mère a prévenu les services de secours car sa petite fille ne réagissait plus. Malgré la tentative de réanimation par un médecin-urgentiste, l'enfant est décédé. Une enquête a été ensuite ouverte lorsqu'il est apparu que, deux semaines plus tôt, le bébé avait été hospitalisé pour une double fracture non expliquée.
Le médecin légiste qui a examiné le cadavre a trouvé de nombreuses ecchymoses et blessures. Un scanner complet du corps a révélé une hémorragie cérébrale, une ancienne double fracture à la jambe et une fracture à la cuisse. La petite fille a également souffert de blessures orales, anales et rectales. Une hémorragie interne, près du rein, a également été constatée. Le médecin en est venu à la conclusion que l'enfant avait été battue et violée.
La mère et son compagnon de l'époque ont alors été arrêtés.
Des traces ADN du bébé ont été retrouvées sur les parties génitales de l'homme. Mais, pour la défense, ces traces peuvent être dues à un transfert indirect, après avoir changé le lange du bébé par exemple.
L'avocat de la mère a demandé une seconde expertise, dont les résultats sont en contradiction avec les conclusions du médecin légiste. Selon l'avocat, les blessures orales, anales et rectales ont une explication médicale, ce qui exclut le viol. Quant aux fractures, elles ont été, toujours selon la défense, causées par une carence en vitamine D. L'hémorragie cérébrale a été provoquée en secouant le bébé pour essayer de le réveiller et l'hémorragie interne par un massage trop intensif de l'abdomen.
La mère a été libérée après trois mois de préventive mais son ex-compagnon est toujours derrière les barreaux. Leur procès est prévu pour une durée de sept jours.
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