Le juge administratif de Bordeaux estime illégale l’utilisation du tirage au sort pour départager les candidats. C’est la première décision de ce type suite à APB 2017, malgré une circulaire censée régulariser cette pratique.
C’est une nouvelle décision de justice contre l’utilisation du tirage au sort à l’entrée de l’université, et un épisode de plus dans le feuilleton APB et les déboires des bacheliers à l’entrée de l’enseignement supérieur qui ont rythmé l’été 2017.
Dans un jugement en référé du jeudi 21 septembre, rendu public par le site Educpros, le tribunal administratif de Bordeaux enjoint l’université bordelaise d’inscrire en première année de licence de sciences et techniques des activités physiques et sportives (Staps) trois étudiants qu’elle avait dans un premier temps écartés par tirage au sort. La publication d’une circulaire, au printemps 2017, pour régulariser cette pratique décriée de toutes parts, n’aura donc pas changé la donne, en tout cas, pour le juge de première instance.
Pour faire face à l’afflux d’étudiants dans l’enseignement supérieur (près de 40 000 candidats supplémentaires cette année), les filières en tension de l’université (Staps, psychologie…), font appel au tirage au sort en dernier recours pour départager les candidats, faute de pouvoir trier autrement les étudiants dans une université française où la sélection est interdite.
Dix mille candidats qui avaient demandé une licence en premier vœu ont ainsi été refusés par ce biais, lors de la procédure Admission post-bac 2017.
Lire aussi : Le tirage au sort à l’université jugé illégal
suite sur http://www.lemonde.fr/campus/articl...l-universite-au-tribunal_5189666_4401467.html
cafouillage et compagnie
il n'y a pas d'économistes dans les hauts placés de l' EN qui auraient pu prévoir
mon œil
c'est une mesure discriminatoire
mam
C’est une nouvelle décision de justice contre l’utilisation du tirage au sort à l’entrée de l’université, et un épisode de plus dans le feuilleton APB et les déboires des bacheliers à l’entrée de l’enseignement supérieur qui ont rythmé l’été 2017.
Dans un jugement en référé du jeudi 21 septembre, rendu public par le site Educpros, le tribunal administratif de Bordeaux enjoint l’université bordelaise d’inscrire en première année de licence de sciences et techniques des activités physiques et sportives (Staps) trois étudiants qu’elle avait dans un premier temps écartés par tirage au sort. La publication d’une circulaire, au printemps 2017, pour régulariser cette pratique décriée de toutes parts, n’aura donc pas changé la donne, en tout cas, pour le juge de première instance.
Pour faire face à l’afflux d’étudiants dans l’enseignement supérieur (près de 40 000 candidats supplémentaires cette année), les filières en tension de l’université (Staps, psychologie…), font appel au tirage au sort en dernier recours pour départager les candidats, faute de pouvoir trier autrement les étudiants dans une université française où la sélection est interdite.
Dix mille candidats qui avaient demandé une licence en premier vœu ont ainsi été refusés par ce biais, lors de la procédure Admission post-bac 2017.
Lire aussi : Le tirage au sort à l’université jugé illégal
suite sur http://www.lemonde.fr/campus/articl...l-universite-au-tribunal_5189666_4401467.html
il n'y a pas d'économistes dans les hauts placés de l' EN qui auraient pu prévoir
mon œil
c'est une mesure discriminatoire
mam