Après la fatigue des policiers tvmonde la surveillance voilà la marionnette de "villejuif"

Fallait bien une nouvelle affaire bidouillée pour continuer le travail de sape et de crapulerie.
La ville choisie n'est pas un hasard . Ça va chiffrer .
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C’est une première sous la Ve République. Le président de la République a décidé de saisir lui-même le Conseil constitutionnel sur le projet de loi renseignement. François Hollande en a fait l’annonce dimanche 19 avril sur le plateau du « Supplément », l’émission de Canal+ : « Le Conseil constitutionnel pourra regarder lui aussi, en fonction du droit, si ce texte est bien conforme, ou certaines de ses dispositions sont bien conformes, à la Constitution. »
Lemonde
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Attentat déjoué : excès de com' au gouvernement ?

Le gouvernement en fait-il trop, comme l'en a accusé hier l'UMP Henri Guaino ? A onze jours du vote du projet de loi sur le renseignement à l'Assemblée, voilà l'exécutif suspecté d'instrumentaliser l'attentat déjoué dans le Val-de-Marne pour doucher les critiques sur un texte jugé liberticide. Sur les réseaux sociaux, les thèses complotistes fleurissent, notamment à l'extrême droite, soupçonnant le pouvoir d'en profiter pour « passer en force » sur ce texte. Au sommet de l'Etat, on n'a pas, il est vrai, lésiné sur la communication. Mercredi matin, le ministre de l'Intérieur convoquait la presse pour révéler que des attaques contre des églises de Villejuif avaient été évitées de peu, suivi par le Premier ministre dans la cour de l'Elysée.

Eviter les fuites

L'après-midi, c'est François Hollande qui répondait à une question, en appelant au vote du projet de loi. Le soir, Bernard Cazeneuve s'invitait sur TF 1. Hier, enfin, Manuel Valls expliquait sur France Inter que la loi, sur laquelle il s'est beaucoup engagé, « aurait donné aux services plus de moyens ».

« Surexploitation », comme dit Guaino ? Dans les coulisses du pouvoir, la question exaspère. « Des mauvaises langues », s'agace le Premier ministre. Au sein de l'exécutif, on considère qu'il fallait communiquer, en raison de la mort d'Aurélie Châtelain. « Il fallait éviter les fuites », justifie la Place Beauvau, qui explique que plusieurs médias étaient sur la piste et qu'il fallait à tout prix éviter que la famille de la prof de fitness découvre les raisons de sa mort dans la presse...........

Attentat déjoué : excès de com' au gouvernement ?
 
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