Après le «Grand Israël», Netanyahou plaide pour une «Super-Sparte» et «finir le boulot à Gaza»

La dérive de Benyamin Netanyahou d’un conservatisme assumé vers le nazisme est de plus en plus évidente. Après avoir revendiqué la mission «historique et spirituelle» de réaliser le «Grand Israël», c’est-à-dire de conquérir les territoires de ses sept voisins, il vient d’appeler à transformer Israël en une «super-Sparte», c’est à dire à militariser l’État et à cesser tout commerce avec ses alliés. Si les mots ont un sens, il ne cesse de nous faire comprendre que ses références sont les fascistes Vladimir Jabotinsky et Leo Strauss. De dérive en dérive, il s’est livré à un exercice de mensonge éhonté devant l’Assemblée générale des Nations unies, attribuant de sombres pensées à ses adversaires et réclamant le droit de continuer à massacrer.

 
La dérive de Benyamin Netanyahou d’un conservatisme assumé vers le nazisme est de plus en plus évidente. Après avoir revendiqué la mission «historique et spirituelle» de réaliser le «Grand Israël», c’est-à-dire de conquérir les territoires de ses sept voisins, il vient d’appeler à transformer Israël en une «super-Sparte», c’est à dire à militariser l’État et à cesser tout commerce avec ses alliés. Si les mots ont un sens, il ne cesse de nous faire comprendre que ses références sont les fascistes Vladimir Jabotinsky et Leo Strauss. De dérive en dérive, il s’est livré à un exercice de mensonge éhonté devant l’Assemblée générale des Nations unies, attribuant de sombres pensées à ses adversaires et réclamant le droit de continuer à massacrer.



Les plus coupables sont ceux qui alimentent ce nazisme génocidaire sioniste tout en se prévalant de "valeurs" face à des guerres ailleurs où ils se mobilisent.

En même temps quand les victimes sont arabes l'antisémitisme contre eux est assumé car déshumanisés.

.
 
Les plus coupables sont ceux qui alimentent ce nazisme génocidaire sioniste tout en se prévalant de "valeurs" face à des guerres ailleurs où ils se mobilisent.

Effectivement, le Monstre de Tel-Aviv ne se maintient pas seulement par sa force brute, mais aussi par l’impunité que lui garantissent ses alliés.

C’est ce que rappellent les mandats d’arrêt de la Cour pénale internationale.

Rappels: Mandats d’arrêt et responsabilité internationale

Le 21 novembre 2024, la Cour pénale internationale (CPI) a émis des mandats d’arrêt à l’encontre de Benjamin Netanyahou, Premier ministre d’Israël, et de Yoav Gallant, ancien ministre de la Défense, pour des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis lors des opérations militaires à Gaza depuis le 7 octobre 2023.

La CPI a également émis des ordonnances de mesures provisoires le 26 janvier 2024, ordonnant aux autorités israéliennes de prévenir tout acte de génocide et de permettre l’acheminement de l’aide humanitaire.

Malgré ces décisions, plusieurs États n’ont pas procédé à l’arrestation du Premier ministre lors de ses déplacements internationaux, permettant ainsi sa libre circulation. De plus, certains de ces États continuent de fournir des armes et du matériel militaire à Israël, renforçant ainsi leur complicité dans les crimes perpétrés. :

Bien que la France ait reconnu l’État de Palestine et condamné les actions israéliennes à Gaza, elle a autorisé le survol de son espace aérien par l’avion de Netanyahu en septembre 2025, malgré le mandat d’arrêt de la CPI.

En plus d’autoriser le survol de son espace aérien, la France a continué de fournir des armes à Israël.

Sans oublier bien sûr, les États-Unis : Fournisseur majeur d’armements à Israël, l'Allemagne, le Royaume-Uni, le Canada et l'Australie qui ont continué leurs livraisons après l’émission des mandats d’arrêt.
 
Retour
Haut