Il s'agit d'une première dans l'histoire de ce royaume où les femmes ont peu de droit.
L'INFO. L'Arabie saoudite a adopté lundi dernier une loi rendant illégale la maltraitance – qu'elle soit physique, psychologique ou sexuelle. Une petite révolution dans le royaume où peu de cas est fait de la condition des femmeset où la maltraitance conjugale est souvent considérée comme "une affaire privée".
Peines de prison et amende. Un comportement violent expose désormais son auteur à une peine de prison allant de un mois à un an, peut-on lire dans< la Saud Gazette
"Certaines choses ne peuvent être cachées". En avril dernier, une campagne contre les violences faites aux femmes avait déjà mis en pleine lumière le phénomène : "certaines choses ne peuvent être cachées" pouvait-on lire en arabe sur la photo d'une femme dont le voile laissait distinctement voir un œil au beurre noir. La campagne, présentée comme une première dans un pays où les femmes ne peuvent quitter la maison sans la permission de leur mari, avait eu un écho retentissant sur les réseaux sociaux. “Le phénomène des femmes battues en Arabie saoudite est plus grand qu'il n'y parait", pouvait-on notamment lire dans l'argumentaire de la campagne.
L'INFO. L'Arabie saoudite a adopté lundi dernier une loi rendant illégale la maltraitance – qu'elle soit physique, psychologique ou sexuelle. Une petite révolution dans le royaume où peu de cas est fait de la condition des femmeset où la maltraitance conjugale est souvent considérée comme "une affaire privée".
Peines de prison et amende. Un comportement violent expose désormais son auteur à une peine de prison allant de un mois à un an, peut-on lire dans< la Saud Gazette
"Certaines choses ne peuvent être cachées". En avril dernier, une campagne contre les violences faites aux femmes avait déjà mis en pleine lumière le phénomène : "certaines choses ne peuvent être cachées" pouvait-on lire en arabe sur la photo d'une femme dont le voile laissait distinctement voir un œil au beurre noir. La campagne, présentée comme une première dans un pays où les femmes ne peuvent quitter la maison sans la permission de leur mari, avait eu un écho retentissant sur les réseaux sociaux. “Le phénomène des femmes battues en Arabie saoudite est plus grand qu'il n'y parait", pouvait-on notamment lire dans l'argumentaire de la campagne.
