Les attaques false flag - ou attaques sous fausse-bannière

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Une brève histoire des (attaques) False Flags (attaques sous fausse bannière). James Corbett nous dresse une petite liste des false flags à travers les quelques derniers siècles. Il en manque bien sûr beaucoup car les puissants nuisibles sont occupés et ne reculent devant rien pour grappiller un peu plus de pouvoir afin de nuire un peu plus à l'humanité.

Il y a eu beaucoup de false flags depuis: les attentats de Londres, Sandy Hook, l'attentat du marathon de Boston, des attaques chimiques perpetrées par les mercenaires US, une kyrielle de fausses décapitations (alors que des vraies avaient lieu au même moment), etc...

A quoi servent les false flags ? A maintenir le troupeau dans la crainte irraisonnée pendant que les terroristes financiers le dépouillent tranquillement grâce à leurs sbires-serpillières encravatées qui écrivent des lois pro-banques, pro-cancer pro-tarlouzification et anti-humains.



 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Corbett Report analyse indépendamment des médias mainstream : la politique, la société, l’histoire, l’économie, les attentats false flag (opérations sous fausse bannière) dont ceux du 9/11, l’eugénisme, la géopolitique, la fraude bancaire liée à la crise financière mondiale, etc…

Ils produisent des reportages pour GRTV et, sont le principal éditorialiste de The International Forecaster.

False Flag Event / Opération sous faux drapeau

Opération ou évènement majeur, sous fausse bannière (souvent, une attaque terroriste). Tandis qu’en réalité, il s’agit d’un terrorisme d’état insidieux, qui par l’éventuel intermédiaire de groupuscules dit terroristes (mais en réalité totalement sous le contrôle des centres de renseignements) déclenche une opération d’envergure contre une population cible (souvent la sienne propre – on parle alors d’inside job).

Un ennemi (réel ou virtuel) est alors désigné pour en endosser la totale responsabilité.

Quasiment au même moment les médias tout à coup devenus clairvoyants, diffusent tous les éléments qui permettent d’en rejeter la faute sur ce bouc émissaire et souvent d’ailleurs, après une intense propagande préparatoire les semaines ou les mois qui précèdent. Tout ceci étant, dans le but de faire accepter des décisions impopulaires majeures (restrictions de libertés, guerre, etc.…) à une opinion publique sous le choc, maintenue sous la pression de conformité par les médias de masse ; et qui, dans d’autres circonstances ne les aurait évidemment pas acceptées, du moins avec autant de facilité.

L’histoire nous rappelle que la pratique est fréquente et surtout décisive car elle permet de faire progresser d’un bond un agenda qui échappe à la conscience de la population maintenue sous hypnose médiatique. La population étant dans un tel traumatisme qu’elle donne bien volontiers, un chèque en blanc aux vrais responsables de l’opération qui peuvent ensuite, souvent réduire encore plus les libertés individuelles au nom de la sacro-sainte sécurité, sinon de prendre le contrôle d’un appareil d’état ou encore de déclencher une guerre (préventive, par exemple)…

Ainsi les peuples continuent d’avaler des lois liberticides au nom de la sécurité intérieur, des vaccins au nom de la sécurité sanitaire, des guerres préventives au nom de la sécurité extérieure, le démantèlement des acquis sociaux au nom de la sécurité de l’emploi et bientôt pourquoi pas la restriction d’internet au nom du cyber-terrorisme ? Sécurité, sécurité, sécurité… démocratie, liberté, liberté,… il y a toujours eu un au « nom de », prétexte à faire du « bien » à ceux qui n’en ont rien à faire et surtout rien demandé.



 
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