Au Salon du Bourget 2025, les drones font de l'ombre aux avions

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Xavier33
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Le salon international de l’aéronautique et de l’espace s’ouvre ce lundi au Bourget près de Paris. Un rendez-vous incontournable où les enjeux de Défense sont devenus centraux et éclipsent presque le traditionnel match Airbus-Boeing.

Dans les allées du Bourget, un focus particulier a ainsi été porté sur les drones. La guerre en Ukraine montre chaque jour l’extrême bouleversement que constitue l’usage de ces munitions télé opérées à prix léger, notamment des drones à fibre optique, qui essaiment partout sur le front. La dernière opération d’envergure menée par les Ukrainiens fin mai, baptisée «toile d’araignée», qui ont réussi à projeter une attaque ciblée de drones sur des aéroports militaires russes, détruisant au passage de nombreux avions militaires de Moscou, continue de stimuler toute l’industrie.

Un million de drones en Ukraine en 2024...

«Nous sommes dans une remise en question fondamentale qui ne s’était pas produite depuis la 2e Guerre mondiale. Dans ce secteur, l’innovation est portée par le monde civil. Nous développons du matériel plus petit, moins coûteux et valorisé par de l’intelligence artificielle par exemple», confie un industriel français. Il faut dire que les chiffres parlent d’eux-mêmes : les forces armées ukrainiennes auraient utilisé 1 million de drones en 2024 et produiraient environ 200 000 drones par mois cette année. Plus loin du front, mais acteur majeur du secteur, la Chine aurait commandé un million de drones d’attaque pour 2026.

Avec l’intégration de solution d’IA dans ces petites machines, les industriels du secteur rivalisent d’innovation pour augmenter la force de frappe des drones, leur autonomie et leur agilité au combat. Les caméras embarquées sont de meilleures définitions, les logiciels embarqués permettent aux drones de mieux «traiter» leur cible, y compris sous brouillage GPS ou radar.

 
Le salon international de l’aéronautique et de l’espace s’ouvre ce lundi au Bourget près de Paris. Un rendez-vous incontournable où les enjeux de Défense sont devenus centraux et éclipsent presque le traditionnel match Airbus-Boeing. speed stars

Dans les allées du Bourget, un focus particulier a ainsi été porté sur les drones. La guerre en Ukraine montre chaque jour l’extrême bouleversement que constitue l’usage de ces munitions télé opérées à prix léger, notamment des drones à fibre optique, qui essaiment partout sur le front. La dernière opération d’envergure menée par les Ukrainiens fin mai, baptisée «toile d’araignée», qui ont réussi à projeter une attaque ciblée de drones sur des aéroports militaires russes, détruisant au passage de nombreux avions militaires de Moscou, continue de stimuler toute l’industrie.

Un million de drones en Ukraine en 2024...

«Nous sommes dans une remise en question fondamentale qui ne s’était pas produite depuis la 2e Guerre mondiale. Dans ce secteur, l’innovation est portée par le monde civil. Nous développons du matériel plus petit, moins coûteux et valorisé par de l’intelligence artificielle par exemple», confie un industriel français. Il faut dire que les chiffres parlent d’eux-mêmes : les forces armées ukrainiennes auraient utilisé 1 million de drones en 2024 et produiraient environ 200 000 drones par mois cette année. Plus loin du front, mais acteur majeur du secteur, la Chine aurait commandé un million de drones d’attaque pour 2026.

Avec l’intégration de solution d’IA dans ces petites machines, les industriels du secteur rivalisent d’innovation pour augmenter la force de frappe des drones, leur autonomie et leur agilité au combat. Les caméras embarquées sont de meilleures définitions, les logiciels embarqués permettent aux drones de mieux «traiter» leur cible, y compris sous brouillage GPS ou radar.
En intégrant des solutions d'intelligence artificielle dans ces dispositifs miniatures, les acteurs de l'industrie intensifient leur innovation pour renforcer la puissance des drones, leur capacité d'endurance et leur agilité en situation de combat.
 
Article de propagande mainstream qui contredit ce que disent les douanes !



En fait, les drones «ukrainiens» Sokill, ce sont des drones chinois, mais surpayés (avec votre argent)​


Lorsque l’on voit leur F35 qu’ils tentent désespérément de mettre au point depuis 20 ans, on voit mal ou se situe leur avance technologique. Les Russes avec un budget militaire 10 fois moins important sortent des armes autrement plus modernes. Le problème des Américains est que l’énorme majorité de leur budget part en commission. Vous devriez lire l’article de Dmitry Orlof qui est Americano/Russe et vous comprendrez l’énormité de votre commentaire.
https://www.legrandsoir.info/les-pr...ilitaro-industriel-americain.html#forum161289

Pendant ce temps là, les Chinois en sont aux drones hypersoniques.

 
Pendant que la Russie développe le modèle de guerre du futur avec des rampes de lancement et salve de drone et missile hypersonique, pour affronter un pays ennemi, sans déployer de gros moyens humains et matériels de guerre, l’occident a décidé de s’enfoncer dans le modèle de guerre d’âge de pierre, celle de haute intensité dépassée pour affronter la grande Russie, au lieu de s’inscrire sur ce nouveau modèle. Il est certain que la guerre en Ukraine comparable aux deux dernières du 20 em siècle, a créer le choc et la remise en question de la stratégie des armées occidentales : déploiement de bases dans le monde, guerre de projection avec d’impressionnants portes avions. Des armements hyper coûteux avec la haute technologie soit disant, mais ne sont plus adapté à la véritable guerre de haute technologie. Aujourd’hui, certains analystes militaires conseillent aux dirigeants occidentaux de s’adapter vivement au modèle du conflit ukrainien en réouvrant les usines d’approvisionnement d’armement pour faire face à une guerre aussi intense et consommatrice. Mais le plus surprenant, c’est l’ignorance assumée que l’on constate, afin de ne pas savoir les conséquences de frappes hypersoniques qui paralyseront un pays en quelques heures . Ce qui veut dire, plus besoins de bases militaires, de porte-avions… Le sujet semble trop lourd à aborder par crainte d’une défaite assurée et ne pas informer la population de cette nouvelle réalité et menace. Le combat entre russe et ukrainien qui sont d’un même peuple a réussi a brouiller tout un concept militaire occidental déjà établi en le rendant défaillant.
 
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