Aux États-Unis, Donald Trump lance ses expulsions de masse, des centaines de migrants clandestins arrêté

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Il y a oublié colomb en 1492 et les autres qui sont venus en colons et non pas en paix :
Il y a des "clandestins" qui ne sont pas d’Amérique du sud ou du centre .Et donc d'europe et d'ailleurs .
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Opération de masse. Les États-Unis ont arrêté 538 migrants clandestins et en ont expulsé des centaines ce 23 janvier, a annoncé la Maison Blanche, quelques jours seulement après le début de la présidence de Donald Trump. Cette annonce intervient alors que le nouveau président américain fait ce vendredi son premier déplacement, en Caroline du Nord (sud-est) et dans le bastion démocrate de Californie (ouest), deux États éprouvés par des catastrophes naturelles dont le dirigeant républicain a fait des sujets d’intenses polémiques.

Trump président : tous ces décrets qu’il a signés ne vont pas entrer en vigueur si facilement

« L’administration Trump a arrêté 538 migrants criminels illégaux », a annoncé jeudi soir sur X la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, ajoutant que « des centaines » avaient été expulsées dans des avions de l’armée. « L’opération de déportation de masse la plus importante de l’Histoire est en cours », a écrit la porte-parole, ajoutant : « promesses tenues ».

Sur le pont, des personnes du collectif « Messenger Angels » sont venues pour soutenir les personnes migrantes, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. « Nous sommes ici en solidarité avec eux, sachant qu’ils arrivent malheureusement sur un territoire où sévit le crime organisé et où il est malheureusement à la recherche de migrants », explique Carlos Mayorga, directeur du collectif.

« État d’urgence nationale » à la frontière avec le Mexique​

Donald Trump s’était engagé à une vaste offensive contre les migrants clandestins durant sa campagne et il a entamé son second mandat lundi 20 janvier avec une série de décrets destinée à enrayer leur afflux aux États-Unis. Il a ainsi déclaré « un état d’urgence nationale » à la frontière sud, avec le Mexique, et annoncé le déploiement de troupes tout en promettant l’expulsion des « étrangers criminels ».


Peu avant l’annonce de la Maison Blanche, le maire démocrate de Newark, Ras J. Baraka, a déclaré jeudi dans un communiqué que des « agents (des services de l’immigration) avaient fait une descente dans un établissement local (...), arrêté des résidents et également des citoyens, sans montrer de mandat », dans cette ville proche de New York.

Le jour même de l’investiture de Trump, le Sénat américain à majorité républicaine avait adopté un projet de loi qui requiert la détention par les forces de l’ordre fédérales de migrants en situation irrégulière et soupçonnés de certains délits.
Le HuffPost :
 

Mexique: près d'un millier de migrants se dirigent vers les États-Unis, malgré les menaces de Trump​

J.D. avec AFP


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Une caravane de plus d'un millier de migrants d'Amérique latine a quitté le sud du Mexique pour le nord et la frontière des États-Unis dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 janvier, malgré la guerre totale à l'immigration irrégulière déclarée par Donald Trump.

Certains d'entre eux disent garder "l'espoir" de pouvoir entrer aux États-Unis, même après la suspension par Donald Trump d'une application qui permettait d'obtenir l'asile depuis le Mexique.

"Nous avons décidé d'aller vers la frontière et qu'ils nous donneront une réponse. Nous gardons l'espoir d'entrer aux États-Unis", a dit Aníbal Jose Arvelo, Vénézuélien de 37 ans.

Des centaines de clandestins expulsés​

Omar Ávila, un Vénézuélien de 25 ans, vivait à Tapachula, une ville située à la frontière avec le Guatemala dans l'État mexicain du Chiapas. Mais il a décidé d'en partir, car "il n'y a pas de travail".


Il espère rejoindre sa femme, qui est partie avant lui vers les États-Unis avec leurs deux enfants. Mais elle n'est arrivée à Chicago qu'avec leur fils, leur fille ayant été emportée par le courant d'une rivière dans la jungle à la frontière entre la Colombie et le Panama.

Gerardo Yépez, un autre Vénézuélien de 37 ans, veut lui tenter sa chance dans la ville de Mexico, et n'exclut pas de voir "comment rentrer" dans son pays.

Comme annoncé par Donald Trump pendant sa campagne, les États-Unis ont commencé à expulser cette semaine des centaines de migrants clandestins, renvoyés à bord d'avions militaires, la Maison Blanche se targuant d'avoir lancé "la plus grande opération d'expulsions de masse de l'Histoire".
BFMTV.com
 
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