L'opinion est scotchée sur le bombardement de la Syrie alors que les Républicains hystériques réclament davantage , l'intervention au sol.
Gardons la tête froide , il n'est pour l'OTAN et pour les Russes que de bombarder Daesch ennemi de BACHAR .
Se débarrasser des extrémistes renforceraient le dictateur syrien. Pour aller au delà et prétendre renverser le régime il nous faudrait employer les moyens utilisés en Libye. Un bombardement préparatoire intensif et suffisant pour détruire toute la DCA et les infrastructures militaires du pays , puis une fois la maitrise du ciel établie , envoyer des troupes .
La guerre de Libye a vu les troupes de l'OTAN avec leurs moyens énormes attaquer un pays sous développé sans aucune industrie avec la neutralité des Russes.
Cette fois la guerre se déroulera dans de nouvelles conditions. L'homme à abattre ennemi d'Israël et des Saoud est un allié précieux des Russes qui lui assurent officiellement leur soutien. L'OTAN ne prendra pas le risque d'affronter POUTINE et les pays qui enverront leurs avions soutenir nos rafales ne seront pas nombreux .
Sans la puissante logistique de l'OTAN est on sûr que face à l'aviation syrienne nous aurons autant de facilité qu'en Libye ?
Pour l'intervention au sol , VALLS évite le ridicule , pas question d'y aller en accord avec l'avis des alliés occidentaux. Mensonge par omission. Nos troupes fortement occupées en Afrique et par vigipirate , sous équipées et manque d'effectif , où aller trouver des militaires pour combattre sur le terrain des syriens aguerris aidés des Russes ?
La réponse notre va-t- en guerre ,inconscient nous la livre. Espérer que des pays voisins se coalisent pour se débarrasser du dictateur . L'excité inconscient , il n'y a aucun pays arabe qui prendra le risque d'aller combattre le Syrien , s'enfonce dans ses contractions. Partant pour bombarder les terroristes, il change d'objectif . C'est un chef d'Etat élu par son peuple que les socialistes peuvent abattre.
Revenons à la réalité et ayons la politique de nos moyens. Négocions avec ASSAD avec l'aide de nos puissants voisins ALLEMANDS et des IRANIENS dont nous visons les marchés.
Gardons la tête froide , il n'est pour l'OTAN et pour les Russes que de bombarder Daesch ennemi de BACHAR .
Se débarrasser des extrémistes renforceraient le dictateur syrien. Pour aller au delà et prétendre renverser le régime il nous faudrait employer les moyens utilisés en Libye. Un bombardement préparatoire intensif et suffisant pour détruire toute la DCA et les infrastructures militaires du pays , puis une fois la maitrise du ciel établie , envoyer des troupes .
La guerre de Libye a vu les troupes de l'OTAN avec leurs moyens énormes attaquer un pays sous développé sans aucune industrie avec la neutralité des Russes.
Cette fois la guerre se déroulera dans de nouvelles conditions. L'homme à abattre ennemi d'Israël et des Saoud est un allié précieux des Russes qui lui assurent officiellement leur soutien. L'OTAN ne prendra pas le risque d'affronter POUTINE et les pays qui enverront leurs avions soutenir nos rafales ne seront pas nombreux .
Sans la puissante logistique de l'OTAN est on sûr que face à l'aviation syrienne nous aurons autant de facilité qu'en Libye ?
Pour l'intervention au sol , VALLS évite le ridicule , pas question d'y aller en accord avec l'avis des alliés occidentaux. Mensonge par omission. Nos troupes fortement occupées en Afrique et par vigipirate , sous équipées et manque d'effectif , où aller trouver des militaires pour combattre sur le terrain des syriens aguerris aidés des Russes ?
La réponse notre va-t- en guerre ,inconscient nous la livre. Espérer que des pays voisins se coalisent pour se débarrasser du dictateur . L'excité inconscient , il n'y a aucun pays arabe qui prendra le risque d'aller combattre le Syrien , s'enfonce dans ses contractions. Partant pour bombarder les terroristes, il change d'objectif . C'est un chef d'Etat élu par son peuple que les socialistes peuvent abattre.
Revenons à la réalité et ayons la politique de nos moyens. Négocions avec ASSAD avec l'aide de nos puissants voisins ALLEMANDS et des IRANIENS dont nous visons les marchés.
Dernière édition:
