Bienvenue dans le monde industriel et décadent

Les élevages industriels sont des nids à bactéries ultrarésistantes aux antibiotiques. Ils sont devenus un des plus grands dangers pour l’humanité.
Chère lectrice, cher lecteur,

Les animaux absorbent 50 % de la production mondiale d’antibiotiques [1]. Aux USA, c’est même 80 %, selon certaines sources [2] !!


Poulets en batterie
Porcs en batterie
Bovins en batterie

Les élevages absorbent 50 à 80 % de la production d’antibiotiques.

Dans les élevages en batterie, les bactéries pullulent.

Il faut sans cesse traiter. On combat le mal par le mal avec toujours plus d’antibiotiques.

Mais la Nature SE VENGE !

Des bactéries mutantes, ultrarésistantes aux antibiotiques, apparaissent.

Aujourd’hui, elles se retrouvent partout. Elles contaminent les viandes vendues en magasin, les cours d’eau, infectent l’être humain et les couloirs de nos hôpitaux, les salles d’opération.

« Une des plus graves menaces sur la santé mondiale » (communiqué de l’OMS, octobre 2017)
L’Organisation mondiale de la santé tire la sonnette d’alarme [3] :

« La résistance aux antibiotiques atteint désormais des niveaux dangereusement élevés dans toutes les régions du monde. » (Septembre 2017)

C’est « une des plus graves menaces pour la santé mondiale. »

« Elle peut toucher toute personne, à n’importe quel âge et dans n’importe quel pays. »

Communiqué de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), septembre 2017 [4].


L’urgence est absolue.

Mais, face au lobby de l’agro-industrie, rien ne bougera si les citoyens ne se mobilisent pas collectivement contre ces pratiques monstrueuses et contre nature.

C’est pourquoi je vous demande de signer cette pétition urgente adressée au ministère de l’Agriculture pour demander l’arrêt des élevages en batterie et des quotas sur l’usage d’antibiotiques dans l’agriculture.
 
Nous sommes directement visés par les bactéries mutantes
Nous, êtres humains, sommes directement visés par ces bactéries ultrarésistantes.

Une simple opération de l’appendicite peut devenir mortelle sans antibiotiques efficaces.

Peu de personnes en 2018 peuvent se représenter ce que signifiera un monde où les antibiotiques ne marcheront plus.

Imaginez une femme de 20 ans, bien portante, énergique, pleine de projets. Puis un matin, une éraflure superficielle. Un staphylocoque (une sorte de bactérie) s’installe, se multiplie.

Bientôt, l’éraflure devient jaune, croûteuse, purulente. Après s’être largement étendue, des foyers d’infection, avec des cloques, apparaissent un peu partout ailleurs sur son corps.


Le staphylocoque résistant à la méticilline (antibiotique) provoque des croûtes purulentes qui gagnent tout le corps.

Quelques jours plus tard, après une fièvre puis une septicémie (sang inondé de microbes), la personne décède. Tout est perdu.

C’est la terrible réalité qu’ont encore connue nos grands-parents dans leur jeunesse. Les premiers antibiotiques ne sont apparus que dans les années 40 !

Le retour des grandes épidémies
Avec la fin des antibiotiques qui se profile à l’horizon, les grandes épidémies pourraient resurgir.

Déjà, actuellement, des opérations chirurgicales banales tournent au drame à cause d’un staphylocoque (un type de bactérie) qui s’installe dans la plaie ou dans l’os. Des souffrances horribles en découlent. On recense des centaines de milliers de morts chaque année à cause des bactéries mutantes.

En France, elles provoquent déjà quatre fois plus de décès que les accidents de la route [5] !


Les infections généralisées, provoquées par le staphylocoque multirésistant aux antibiotiques, ravagent certains services dans les hôpitaux. La médecine est impuissante. Les autorités minimisent le problème.

Mais ce n’est rien par rapport à l’hécatombe qui nous attend.

« Le traitement devient de plus en plus difficile, voire impossible… » (communiqué de l’OMS)
Selon l’OMS, le traitement de nombreuses infections devient difficile, voire impossible :

« Pour un nombre croissant d’infections, comme la pneumonie, la tuberculose, la septicémie et la gonorrhée, et les maladies d’origine alimentaire, le traitement devient plus difficile, voire impossible parfois, du fait de la perte d’efficacité des antibiotiques [6]. »

Les bactéries ne connaissent aucune frontière. Votre entourage, vos voisins, votre famille seront frappés. Personne ne peut se protéger complètement des bactéries qui donnent des maladies.


Phénomène nouveau, des opérations anodines tournent à la catastrophe, jusqu’au décès du patient, à cause d’une bactérie résistante aux antibiotiques restée dans la plaie ou dans l’os.

Mais les élevages en batterie agravent encore le problème.

Les abattages massifs de bovins, de poulets, d’agneaux, de canards, se multiplient, entraînant inutilement la mort de millions d’animaux.

Peine perdue. Les maladies d’élevage se multiplient: grippe aviaire, porcine, fièvre aphteuse, vache folle… Et les experts s’attendent à tout moment à ce que l’une d’entre elles mute, se communique à l’homme et balaye l’humanité.


Une erreur du passé à abolir d’urgence !
Les élevages en batterie sont une erreur du passé. Il faut les abolir d’urgence.

C’est une question de respect des animaux, de décence, autant qu’une question sanitaire.

Mais la puissance du lobby agro-industriel en France et en Europe est énorme. Si nous voulons nous faire entendre, il faut que des centaines de milliers et, si possible, des millions de citoyens se manifestent. C’est pourquoi je vous demande de signer et de transmettre partout autour de vous cette pétition.


C’est le seul moyen de prouver aux politiques, aux journalistes, aux députés, notre nombre, notre détermination et notre réalisme face au danger collectif.

Car, pour l’instant, les pouvoirs publics ne réagissent pas.

Au contraire, les élevages industriels continuent à se développer, avec des « unités » toujours plus grandes, comme cette ferme dans la Somme qui abrite… 1 750 vaches, dont mille vaches laitières !!


La toute nouvelle « ferme des mille vaches » dans la Somme, et qui fait scandale, abrite en réalité 1 750 vaches !!

On veut nous faire croire qu’il n’y a pas le choix. En réalité, sur le terrain, de nombreux éleveurs bio prouvent qu’il est possible de faire autrement :
 
Les solutions naturelles existent !!
« Les solutions alternatives permettent de gérer 75 % des maladies des troupeaux », selon Philippe Labre, vétérinaire formateur, qui est considéré comme le plus grand spécialiste des médecines naturelles en élevage en France [7].

Mais c’est l’exacte voie inverse qui est prise par l’élevage moderne.

83 % des poulets élevés en France proviennent d’élevages intensifs. Leurs pattes se déforment. Ils souffrent de paralysie. Parfois, la concentration est telle que certains ne parviennent plus à se déplacer jusqu’aux mangeoires et meurent de faim et de soif [8].

La concentration de poulets peut devenir telle que certains n’arrivent plus à se déplacer pour atteindre les mangeoires. Ils meurent de faim et de soif.

Imaginez ce qui se passe quand ces poulets à bas prix arrivent dans les barquettes de polystyrène des supermarchés, puis dans notre corps !!

Les maladies, les carences nutritionnelles, explosent dans la population. Elles sont liées à la malbouffe, dont le coût social et sanitaire devient insupportable pour la collectivité.

Eh oui, les hommes mangent n’importe quoi, et après ils s’étonnent d’être malades !

Manger de la viande d’animaux élevés naturellement n’est pas un luxe, mais une nécessité pour l’humanité. C’est aussi une question de dignité élémentaire pour les animaux.
 
une societé qui s interesse meme pas a ce qu elle mange est une societé
fini, elle prefere s interessé au dernier gsm pour frimer devant les collegues
notre societé est plus malade que ce qu elle mange
 
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