salam
Lex-président américain gagne 200.000 dollars par prise de parole
Dimanche 24 février, aux alentours de 11h, un étrange spectacle sest déroulé à lentrée de lhôtel Hayat Regency à Casablanca. Des policiers en faction aux quatre coins de létablissement, des badauds cherchant à comprendre ce qui se passait et des photographes sur le qui-vive.
De fait, lhôtel se préparait à accueillir un invité de marque. En loccurrence, le 42ème président des Etats-Unis, Bill Clinton, venu donner une conférence sur les défis des marchés émergents dans l'économie mondiale.
A lintérieur du palace casablancais, un mouvement inhabituel.
Une armada dagents de sécurité et des hôtesses ont envahi les couloirs menant vers la grande salle. Les « men en black » scrutent le moindre mouvement et dévisagent les convives avec indifférence, la plupart dentre eux étant des universitaires, des politiciens, des étudiants invités par lUniversité internationale de Casablanca (UIC).
Dans la salle, déjà remplie, tout a été minutieusement préparé. Aux premiers rangs, des invités tirés sur le volet ont pris place. Parmi eux, il y a Mustapha El Khalfi, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Samuel Kaplan, ambassadeur des Etats-Unis au Maroc, Mohamed Boussaid, wali du Grand Casablanca, Mohamed Sajid, maire de la ville, ainsi que le magnat du secteur bancaire nationale, Othmane Benjelloun, Larbi El Messari, ancien ministre de lInformation et Serge Berdugo, ex-ministre du Tourisme.
Les étudiants, assez nombreux, ont été placés juste derrière eux. Quant aux journalistes, reporters-photographes et autres cameramen, ils ont été soigneusement parqués au dernier rang.
http://www.libe.ma/Bill-Clinton-preche-la-bonne-parole-a-Casablanca_a35565.html
Lex-président américain gagne 200.000 dollars par prise de parole
Dimanche 24 février, aux alentours de 11h, un étrange spectacle sest déroulé à lentrée de lhôtel Hayat Regency à Casablanca. Des policiers en faction aux quatre coins de létablissement, des badauds cherchant à comprendre ce qui se passait et des photographes sur le qui-vive.
De fait, lhôtel se préparait à accueillir un invité de marque. En loccurrence, le 42ème président des Etats-Unis, Bill Clinton, venu donner une conférence sur les défis des marchés émergents dans l'économie mondiale.
A lintérieur du palace casablancais, un mouvement inhabituel.
Une armada dagents de sécurité et des hôtesses ont envahi les couloirs menant vers la grande salle. Les « men en black » scrutent le moindre mouvement et dévisagent les convives avec indifférence, la plupart dentre eux étant des universitaires, des politiciens, des étudiants invités par lUniversité internationale de Casablanca (UIC).
Dans la salle, déjà remplie, tout a été minutieusement préparé. Aux premiers rangs, des invités tirés sur le volet ont pris place. Parmi eux, il y a Mustapha El Khalfi, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Samuel Kaplan, ambassadeur des Etats-Unis au Maroc, Mohamed Boussaid, wali du Grand Casablanca, Mohamed Sajid, maire de la ville, ainsi que le magnat du secteur bancaire nationale, Othmane Benjelloun, Larbi El Messari, ancien ministre de lInformation et Serge Berdugo, ex-ministre du Tourisme.
Les étudiants, assez nombreux, ont été placés juste derrière eux. Quant aux journalistes, reporters-photographes et autres cameramen, ils ont été soigneusement parqués au dernier rang.
http://www.libe.ma/Bill-Clinton-preche-la-bonne-parole-a-Casablanca_a35565.html