Le Maure
Taza avant Gaza
Le Maroc compte 19 zones végétales prioritaires, des zones ou poussent des plantes rares, parfois uniques, révèle un récente étude publié par le WWF, Plantlife et l'IUCN. L'étude a répertorié plusieurs sites recélant des espèces végétales rares en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Elle permet de constater la richesse de la flore marocaine et démontre la nécessité de préserver les sites répertoriés dans le Royaume, et leurs joyaux.
Le rapport « Important Plant Areas of the south and east Mediterranean region », publié mercredi 1er juin, a répertorié 19 zones végétales prioritaires (ZVP), sur une liste de 57 potentiellement éligibles dans lensemble du territoire marocain. Les sites choisis revêtaient un intérêt biologique ou écologique particulier. Il existe au Maroc 951 espèces végétales que les chercheurs estiment uniques au monde, précise létude publiée par les ONG de défense de la biodiversité World Wildlife Fund (WWF), Plantlife, et la International Union for Conservation of Nature (IUCN).
Lintérêt de ces sites repose essentiellement sur les espèces végétales quils renferment. Létude a ainsi permis de relever que la flore de ces sites est parfois unique. Plusieurs des espèces végétales qui sy trouvent sont propres à ces milieux. 16 des 19 zones répertoriées, renferment chacune plus de 20 espèces végétales de ce genre. Les résultats de létude présentent le Parc national dIfrane, dans le moyen Atlas, comme celui recélant le plus despèces végétales uniques (196 espèces répertoriées).
Létude révèle également que la plupart des ZVP se trouve en montagne, notamment dans le Haut, ou le Moyen Atlas. Deux seulement se trouvent en région côtière, à linstar du Parc national dAl Hoceima, et la forêt de la Maamora.
La flore marocaine est d'une grande richesse, démontrent les auteurs de l'étude, indiquant que le pays compte pas moins de 7000 espèces recensées. Ils expliquent cette diversité par la position géographique du Maroc, à cheval entre l'Europe et lAfrique. Il en aurait résulté des échanges génétiques considérables entre ces deux régions.
Cette étude, qui faisait partie dun projet international de préservation des espèces, a permis de mobiliser 11 équipes, réunissant des botanistes et des scientifiques des pays de la zone Afrique du nord/Moyen-Orient (MENA). Lun des intérêts de létude était de compléter les connaissances sur les formations végétales du pourtour de la Méditerranée. Il était surtout question de fournir aux dirigeants de ces pays, un outil pour envisager la préservation des sites répertoriés.
Ces zones, sont en effet menacés par plusieurs facteurs, dont le surpâturage, la déforestation, ou encore, le développement de lagriculture intensive.
Yabiladi
Le rapport « Important Plant Areas of the south and east Mediterranean region », publié mercredi 1er juin, a répertorié 19 zones végétales prioritaires (ZVP), sur une liste de 57 potentiellement éligibles dans lensemble du territoire marocain. Les sites choisis revêtaient un intérêt biologique ou écologique particulier. Il existe au Maroc 951 espèces végétales que les chercheurs estiment uniques au monde, précise létude publiée par les ONG de défense de la biodiversité World Wildlife Fund (WWF), Plantlife, et la International Union for Conservation of Nature (IUCN).
Lintérêt de ces sites repose essentiellement sur les espèces végétales quils renferment. Létude a ainsi permis de relever que la flore de ces sites est parfois unique. Plusieurs des espèces végétales qui sy trouvent sont propres à ces milieux. 16 des 19 zones répertoriées, renferment chacune plus de 20 espèces végétales de ce genre. Les résultats de létude présentent le Parc national dIfrane, dans le moyen Atlas, comme celui recélant le plus despèces végétales uniques (196 espèces répertoriées).
Létude révèle également que la plupart des ZVP se trouve en montagne, notamment dans le Haut, ou le Moyen Atlas. Deux seulement se trouvent en région côtière, à linstar du Parc national dAl Hoceima, et la forêt de la Maamora.
La flore marocaine est d'une grande richesse, démontrent les auteurs de l'étude, indiquant que le pays compte pas moins de 7000 espèces recensées. Ils expliquent cette diversité par la position géographique du Maroc, à cheval entre l'Europe et lAfrique. Il en aurait résulté des échanges génétiques considérables entre ces deux régions.
Cette étude, qui faisait partie dun projet international de préservation des espèces, a permis de mobiliser 11 équipes, réunissant des botanistes et des scientifiques des pays de la zone Afrique du nord/Moyen-Orient (MENA). Lun des intérêts de létude était de compléter les connaissances sur les formations végétales du pourtour de la Méditerranée. Il était surtout question de fournir aux dirigeants de ces pays, un outil pour envisager la préservation des sites répertoriés.
Ces zones, sont en effet menacés par plusieurs facteurs, dont le surpâturage, la déforestation, ou encore, le développement de lagriculture intensive.
Yabiladi