L’économie israélienne en chute libre et la “alyah” n’a plus la côte auprès des juifs de France
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L’Etat sioniste en déroute, un rêve qui pourrait peut-être se réaliser plus tôt que prévu, du moins c’est ce que l’on peut penser en lisant l’analyse détaillée sur Slate.fr du journaliste d’origine israélienne Jacques Benillouche.
Selon lui, et comme nous l’avons déjà relaté dans un précédent article, l’Etat sioniste accuse un déficit de la balance commerciale de 7.5 milliards d’euros, le classant en queue de peloton parmi les 36 pays de l’OCDE.
Avec 20 % de sa population vivant sous le seuil de pauvreté, l’état hébreu perd de sa superbe aux yeux des juifs du monde qui sont désormais moins pressés de faire leur “alyah en terre promise”.
« L’augmentation de la pauvreté décourage les candidats à l’alyah, l’immigration, qui reste un élément clé de la sécurité par une croissance externe de la population. Les Juifs français ne seront que 3.500 à tenter l’aventure israélienne contre près de 8.000 l’an dernier, sans compter ceux qui se découragent et retournent à leur point de départ. « L’alyah est le poumon de l’Etat sioniste car elle développe la consommation et favorise le peuplement des implantations, garantes de la sécurité de la Cisjordanie », précise le journaliste du site Slate.
Et les problèmes ne font que commencer pour l’état hébreu car en plus de ce trou béant de la balance commerciale, due en partie aux baisses des exportations grâce aux boycotts de la campagne BDS, les ventes d’armes qui battaient le plein il y a peu, sont aujourd’hui en chute libre.
Grand exportateur d’armes vers des pays comme le Brésil, l’Inde ou encore le Mexique, qui représentent ses plus gros clients, l’Etat sioniste fourni aussi des pays musulmans qui ne s’en vanteront certainement pas. Nous apprenons toutefois que la Turquie ne consommait qu’israélien niveau armement avant de changer de fournisseur.
Malgré toutes ces aides, pour certaines inattendues, l’Etat sioniste croule sous le poids des dettes et son indépendance gagnée grâce à ses exportations d’armes de pointe s’effrite peu à peu. Une situation économique en berne qui affaibli l’état hébreu et le rend vulnérable aux pressions américaines.
Jacques Benillouche trace un portrait au vitriol de la pseudo-hégémonie israélienne : « Israël : pile, c’est la start-up nation, face, c’est la misère », explique-t-il.
Peu à peu sa puissance acquise grâce aux généreux donateurs occidentaux tend à fléchir. l’Etat sioniste finira-t-il seul et livré à lui-même ? Car les rats quittent toujours le navire avant qu’il ne coule définitivement.
Source : Article complet sur : http://www.slate.fr/story/131729/sante-economique-israel
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L’Etat sioniste en déroute, un rêve qui pourrait peut-être se réaliser plus tôt que prévu, du moins c’est ce que l’on peut penser en lisant l’analyse détaillée sur Slate.fr du journaliste d’origine israélienne Jacques Benillouche.
Selon lui, et comme nous l’avons déjà relaté dans un précédent article, l’Etat sioniste accuse un déficit de la balance commerciale de 7.5 milliards d’euros, le classant en queue de peloton parmi les 36 pays de l’OCDE.
Avec 20 % de sa population vivant sous le seuil de pauvreté, l’état hébreu perd de sa superbe aux yeux des juifs du monde qui sont désormais moins pressés de faire leur “alyah en terre promise”.
« L’augmentation de la pauvreté décourage les candidats à l’alyah, l’immigration, qui reste un élément clé de la sécurité par une croissance externe de la population. Les Juifs français ne seront que 3.500 à tenter l’aventure israélienne contre près de 8.000 l’an dernier, sans compter ceux qui se découragent et retournent à leur point de départ. « L’alyah est le poumon de l’Etat sioniste car elle développe la consommation et favorise le peuplement des implantations, garantes de la sécurité de la Cisjordanie », précise le journaliste du site Slate.
Et les problèmes ne font que commencer pour l’état hébreu car en plus de ce trou béant de la balance commerciale, due en partie aux baisses des exportations grâce aux boycotts de la campagne BDS, les ventes d’armes qui battaient le plein il y a peu, sont aujourd’hui en chute libre.
Grand exportateur d’armes vers des pays comme le Brésil, l’Inde ou encore le Mexique, qui représentent ses plus gros clients, l’Etat sioniste fourni aussi des pays musulmans qui ne s’en vanteront certainement pas. Nous apprenons toutefois que la Turquie ne consommait qu’israélien niveau armement avant de changer de fournisseur.
Malgré toutes ces aides, pour certaines inattendues, l’Etat sioniste croule sous le poids des dettes et son indépendance gagnée grâce à ses exportations d’armes de pointe s’effrite peu à peu. Une situation économique en berne qui affaibli l’état hébreu et le rend vulnérable aux pressions américaines.
Jacques Benillouche trace un portrait au vitriol de la pseudo-hégémonie israélienne : « Israël : pile, c’est la start-up nation, face, c’est la misère », explique-t-il.
Peu à peu sa puissance acquise grâce aux généreux donateurs occidentaux tend à fléchir. l’Etat sioniste finira-t-il seul et livré à lui-même ? Car les rats quittent toujours le navire avant qu’il ne coule définitivement.
Source : Article complet sur : http://www.slate.fr/story/131729/sante-economique-israel