Les pompiers de Rio de Janeiro ont annoncé samedi avoir trouvé deux nouveaux corps dans les décombres de constructions illégales qui se sont effondrées le 12 avril dernier à Rio, ce qui porte à 22 morts le bilan de cette catastrophe. Une personne reste portée disparue, a précisé un porte-parole des pompiers. L’effondrement a également fait une dizaine de blessés dont trois étaient encore hospitalisés samedi.
Drame survenu le 12 avril
Le drame a eu lieu le 12 avril à Muzema, quartier populaire de l’ouest de Rio contrôlé par des milices parapolicières, où de nombreux bâtiments ont été construits illégalement, sans aucun respect des normes de sécurité. Les deux immeubles contigus qui se sont effondrés étaient construits sur le flanc d’une colline rocheuse.
Mandats d’arrêt
Vendredi, la justice brésilienne a lancé des mandats d’arrêt pour homicides et escroquerie contre trois suspects, dont l’un est accusé d’avoir construit les immeubles et les deux autres de les avoir vendus.
De nombreux quartiers pauvres de l’ouest de Rio sont contrôlés par des milices armées qui, en l’absence de services de l’Etat, vivent de la vente et de la location illégale d’immeubles et de la fourniture clandestine de services tels que l’électricité ou les transports.
20minutes
Drame survenu le 12 avril
Le drame a eu lieu le 12 avril à Muzema, quartier populaire de l’ouest de Rio contrôlé par des milices parapolicières, où de nombreux bâtiments ont été construits illégalement, sans aucun respect des normes de sécurité. Les deux immeubles contigus qui se sont effondrés étaient construits sur le flanc d’une colline rocheuse.
Mandats d’arrêt
Vendredi, la justice brésilienne a lancé des mandats d’arrêt pour homicides et escroquerie contre trois suspects, dont l’un est accusé d’avoir construit les immeubles et les deux autres de les avoir vendus.
De nombreux quartiers pauvres de l’ouest de Rio sont contrôlés par des milices armées qui, en l’absence de services de l’Etat, vivent de la vente et de la location illégale d’immeubles et de la fourniture clandestine de services tels que l’électricité ou les transports.
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