Brexit : l'assassinat qui tombe à pic...

Salam alaykoum

JE ne perdrai jamais confiance en le GENRE HUMAIN car nous portons aussi la graine de la paix même si on est
different coté religion et race ,nous restons les porteurs de la paix ,alors faisons nous confiance même si certains


essaient de semer le trouble, la majorité "NOUS" ,on ne laissera pas faire inchaAllah parce que le côté PAIX en chacun de nous

se révoltera et nous poussera à agir contre la violence et la haine par une force plus puissante que la guerre ou le terrorisme ou le complot diabolique des matérialistes et des anti religions, c'est :"LA PATIENCE ET LA SAGESSE DE LA CONSCIENCE HUMAINE.





Un peu de bon sens dans ce marasme intellectuel d'anti-complotiste compulsif...enfin une analyse pertinente où on prend pas les gens pour des idiots avec des hasards et des coïncidences qui apparaisse toujours quand il faut où il faut pour servir les intérêts de certains.
 
Salam alaykoum

JE ne perdrai jamais confiance en le GENRE HUMAIN car nous portons aussi la graine de la paix même si on est
different coté religion et race ,nous restons les porteurs de la paix ,alors faisons nous confiance même si certains


essaient de semer le trouble, la majorité "NOUS" ,on ne laissera pas faire inchaAllah parce que le côté PAIX en chacun de nous

se révoltera et nous poussera à agir contre la violence et la haine par une force plus puissante que la guerre ou le terrorisme ou le complot diabolique des matérialistes et des anti religions, c'est :"LA PATIENCE ET LA SAGESSE DE LA CONSCIENCE HUMAINE.
C'est quoi "le compot diabolique des matérialistes et des anti religions" ?
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB

Un peu de bon sens dans ce marasme intellectuel d'anti-complotiste compulsif...enfin une analyse pertinente où on prend pas les gens pour des idiots avec des hasards et des coïncidences qui apparaisse toujours quand il faut où il faut pour servir les intérêts de certains.
8 minutes m’ont suffit. « Faites comme je dis, faites pas comme je fais », doit être son deuxième nom. Il déforme ce qui est dit comme ça l’arrange en accusant les journalistes de le faire.

Il est peut‑être jaloux de ne pas être journaliste à France 2 :rolleyes: .
 
8 minutes m’ont suffit. « Faites comme je dis, faites pas comme je fais », doit être son deuxième nom. Il déforme ce qui est dit comme ça l’arrange en accusant les journalistes de le faire.

Il est peut‑être jaloux de ne pas être journaliste à France 2 :rolleyes: .

De 1 il déforme rien, il mets en avant des contradictions des médias assez révélatrice sur leur vitesse à ce faire des conclusions, de 2 en l'accusant d'être jaloux des journalistes tu lui fait un joli procès d'intention ce qui n'as rien d'honnête de ta part...
 
donc si ce meurtre avait empêcher le brexit, ce serait un complot pour faire changer le peuple d'avis et mobiliser les gens contre les nationalistes.

mais comme ce meurtre n'a pas empêcher le brexit, c'est un complot qui n'a pas permit la mobilisation tant escompter.

Donc dans les deux cas c'est toujours un complot???

.......................................

Ce n'est pas une défaillance de votre téléviseur. N'essayez donc pas de régler l'image. Nous maîtrisons, à présent, toute retransmission. Nous contrôlons les horizontales et les verticales. Nous pouvons vous noyer sous un millier de chaînes ou dilater une simple image jusqu'à lui donner la clarté du cristal, et même au-delà ... Nous pouvons modeler votre vision et lui fournir tout ce que votre imagination peut concevoir. Pendant l'heure qui vient, nous contrôlerons tout ce que vous aller voir et entendre. Nous partagerons les angoisses et les mystères qui gisent dans les plus profonds abysses... au-delà du réel.
 

madalena

Contributeur
Contributeur
salam

c'est bien expliquer...

mais c'est beaucoup de travail, je crois pas que tous vont revoir et faire des recherches pour savoir si c'est vrai ou pas tout les médias...
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Brexit : le Japon menace le Royaume-Uni de délocalisations, et il ne plaisante pas

Dans un document officiel publié ce week-end, le gouvernement nippon prévient son homologue britannique : si les négociations avec l'UE tournent mal, les groupes industriels mais aussi les banques japonaises transféreront leurs sièges sur le continent

C'est un document de 15 pages que devraient méditer tous les Brexitophiles qui, outre-Manche ou non, assurent que la sortie du Royaume-Uni n’aura aucune conséquence dommageable pour l’économie du pays.

Ce week-end, à la veille de la réunion du G20 à Hangzhou en Chine, ce texte en anglais a été mis en ligne par le ministère des Affaires étrangères, avec un titre solennel :

"Message du Japon au Royaume-Uni et à l’Union européenne".
En le découvrant, la Première ministre britannique et sa délégation ont dû faire "gloups".

Il s'agit d'une sèche mise en garde.

Le gouvernement japonais y envisage explicitement une série de retraits de groupes industriels, dans l’hypothèse où les négociations entre l’UE et Londres tourneraient mal.

Son souhait est que "l’environnement des affaires actuel soit maintenu autant que faire se peut" : autrement dit, que presque rien ne change.
Le risque, si ses souhaits n’étaient pas exhaussés, est explicitement formulé :
"Les groupes japonais basés au Royaume-Uni pourraient décider de transférer leur siège en Europe continentale si les règles européennes cessaient de s’appliquer au Royaume-Uni après son retrait.

"Le pays est depuis longtemps le point de chute préféré des firmes japonaises qui ont mis le cap sur l’Union européenne. L'insularité commune des deux pays n'y est pas pour grand chose. Les coûts du travail y étaient moindres que sur le continent, le syndicalisme moins menaçant, le gouvernement plus accueillant et le marché des capitaux plus accessible, avec la présence de la City.

Double tarif douanier ?Environ la moitié des investissements japonais dans l’Europe communautaire y est logée, que ce soit dans l'automobile (Nissan, Honda, Mitsubishi…),
la finance (Nomura, Daiwa…),
la pharmacie (Takeda, Eisai)
ou les technologies de l’information (Hitachi, Fujitsu).
Au total, le Japon emploie 140.000 personnes outre-manche, contre 40.000 il y a vingt-cinq ans.

http://actualites.nouvelobs.com/bre...e-delocalisations-et-il-ne-plaisante-pas.html


blablabla pour vendre du papier
bien sûr que l'UE va accorder des conditions particulières........

mam
 

farid_h

<defunct>
Contributeur
Ca sera Düsseldorf, siege de la plus grande communaute japonaise en Europe, qui profitera, si les companies japonaises plient bagage au Royaume Uni. Je suis sur que c'est ici qu'ils vont rejoindre leurs compatriotes. :cool:
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Brexit : le Japon menace le Royaume-Uni de délocalisations, et il ne plaisante pas

Dans un document officiel publié ce week-end, le gouvernement nippon prévient son homologue britannique : si les négociations avec l'UE tournent mal, les groupes industriels mais aussi les banques japonaises transféreront leurs sièges sur le continent

C'est un document de 15 pages que devraient méditer tous les Brexitophiles qui, outre-Manche ou non, assurent que la sortie du Royaume-Uni n’aura aucune conséquence dommageable pour l’économie du pays.

Ce week-end, à la veille de la réunion du G20 à Hangzhou en Chine, ce texte en anglais a été mis en ligne par le ministère des Affaires étrangères, avec un titre solennel :

"Message du Japon au Royaume-Uni et à l’Union européenne".
[…]
http://www.mofa.go.jp/files/000185466.pdf

La première page est un résumé, le texte complet est dans les pages suivant la première.
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Agenda, statut des migrants, politique migratoire, accès au marché unique et indépendance de l’Ecosse : les cinq questions majeures posées par la perspective de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.

>>> Vidéo. Royaume Uni : Brexit, le calme avant la tempête
http://www.capital.fr/bourse/actual...l&utm_source=NL_CAP_matinaleeco&xtor=EPR-226-[NL_CAP_matinaleeco]-20160908&srWebsiteId=25&srAuthUserId=c3271970db2ee096a93a28792b1d76c2

Dès que l'article 50 du traité de Lisbonne sera invoqué, une période de deux ans débutera pour mener à bien cette sortie. A son terme, si les négociations ne sont pas achevées, le Royaume-Uni court le risque d'être exclu automatiquement (...)

Statut des migrants de l'Union européenne
Travailleurs saisonniers, professeurs, banquiers, ouvriers du bâtiment... Le Royaume-Uni compte 3,3 millions de citoyens de pays de l'Union européenne, dont 800.000 Polonais, le contingent le plus important de ressortissants européens. Ils jouent un rôle crucial dans l'économie britannique.

Theresa May a dit qu'elle "pensait être en mesure" de garantir après le Brexit le statut des citoyens de l'UE vivant déjà au Royaume-Uni mais que cela dépendrait de la façon dont les citoyens britanniques vivant dans l'UE (estimés à 1,3 million, surtout des retraités en France et en Espagne) seraient traités.

Politique migratoire
Theresa May a dit vouloir limiter l'immigration en provenance de l'UE. D'après les médias britanniques, elle réfléchirait à un système de permis de travail ne permettant aux candidats de l'UE de ne venir au Royaume-Uni que s'ils ont déjà un emploi.

>>> Vidéo. Le Brexit, pas forcément une mauvaise nouvelle

Marché unique et commerce
Quel accès au marché unique européen le Royaume-Uni va-t-il conserver ?
La question divise les partisans d'un Brexit "soft" (en douceur) de ceux qui défendent un Brexit "hard" (dur). Theresa May souhaite obtenir "le meilleur accord pour le commerce, les biens et services avec l'UE", mais Bruxelles a exclu un accès total au marché unique si le Royaume-Uni refuse la liberté de circulation des habitants de l'UE. Une possibilité, selon médias et analystes, est la négociation d'un accès, secteur par secteur, au marché unique européen.

Une fois parti, le Royaume-Uni devra également développer ses propres accords commerciaux avec des pays clés, ce qui est pour l'heure de la compétence de la Commission européenne.

Theresa May a dit avoir déjà entamé des discussions avec l'Australie, l'Inde, le Mexique, Singapour et la Corée du Sud.

la suite intéressante sur http://www.capital.fr/bourse/actual...l&utm_source=NL_CAP_matinaleeco&xtor=EPR-226-[NL_CAP_matinaleeco]-20160908&srWebsiteId=25&srAuthUserId=c3271970db2ee096a93a28792b1d76c2


mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Brexit : ignorer ses leçons, une "erreur fatale", selon Donald Tusk

Le premier sommet à 27, prévu en fin de semaine à Bratislava, constituera un "tournant décisif", d'après le président du Conseil européen.

Sur les questions, notamment, des problèmes migratoires et de sécurité, Donald Tusk a par ailleurs affirmé que ce sommet à 27 à Bratislava, sans le Royaume-Uni, constituerait un « tournant décisif pour protéger les frontières extérieures de l'Union », dans sa lettre d'invitation aux chefs d'État et de gouvernement.

« Ce serait une erreur fatale de considérer que le résultat négatif du référendum au Royaume-Uni représente un problème spécifiquement britannique », écrit le président du Conseil dans sa lettre d'invitation adressée mardi aux 27 chefs d'État et de gouvernement.

Le vote des Britanniques est « aussi une tentative désespérée de répondre aux questions que des millions d'Européens se posent quotidiennement », a ajouté Donald Tusk en citant « les questions sur les garanties de sécurité des citoyens et de leur territoire, les questions de protection de leurs intérêts, de leur héritage culturel et de leur mode de vie ».

Des discussions orientées sur la sécurité

« Ce sont des questions auxquelles nous aurions dû répondre, même si le Royaume-Uni avait choisi de rester » dans l'Union, a-t-il poursuivi.

L'UE compte lancer vendredi à Bratislava le chantier de l'après-Brexit en misant sur la sécurité pour remobiliser autour d'un projet qui répond aux inquiétudes des Européens. Les discussions des 27 en Slovaquie vont principalement « tourner autour du concept de sécurité », aussi bien « externe » (protection des frontières extérieures, renforcement de la défense européenne) qu'« interne », contre le terrorisme, selon des sources diplomatiques européennes.

lepoint

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Le gouvernement britannique compte activer l'article 50, qui enclenchera formellement le divorce avec l'Union européenne, au début 2017, a déclaré jeudi le ministre britannique des Affaires étrangères Boris Johnson. « Nous discutons avec nos amis et partenaires européens dans l'objectif d'envoyer la lettre de l'article 50 au début de l'année prochaine », a déclaré Boris Johnson à la chaîne Sky News depuis New York, où il assistait à l'assemblée générale de l'ONU. La Premier ministre britannique Theresa May avait déclaré jusqu'ici que son pays ne déclencherait pas cet article avant la fin de l'année, laissant sous-entendre que cela n'aurait pas lieu avant 2017.
Le déclenchement de cet article est un préalable au démarrage des discussions entre Londres et l'UE sur les conditions de sortie du Royaume-Uni de l'UE et sa future relation avec les 27 États restants, censée durer deux ans. Mais Boris Johnson, qui a été l'un des hérauts du Brexit, estime que deux années ne seront pas forcément nécessaires. « Dans notre lettre, nous exposerons certains paramètres sur la manière dont nous voulons avancer », a-t-il dit, ajoutant : « Je ne pense pas que nous aurons nécessairement besoin de deux années pleines, mais attendons de voir comme cela se passe. »
Accord de libre-échange Depuis le vote des Britanniques pour sortir de l'UE lors d'un référendum le 23 juin, plusieurs responsables européens ont appelé le gouvernement britannique à enclencher rapidement l'article 50 pour lever l'incertitude qui pèse sur l'avenir de l'UE, sans succès.

À Londres, la Premier ministre britannique a reçu en fin d'après-midi le président du Parlement européen Martin Schulz qui l'appelée à enclencher cet article le plus rapidement possible. « Cette période de préparation est précieuse pour toutes les parties concernées et si nous allons quitter l'Union européenne, nous ne quittons pas l'Europe », a dit Theresa May en accueillant Martin Schulz à Downing Street. « Et nous souhaitons que l'UE reste forte et avoir une relation étroite avec elle, ce qui je pense sera dans l'intérêt des deux », a-t-elle ajouté.

.../...
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
suite et fin

De son côté, Martin Schulz a déclaré que « le Parlement européen souhaite le déclenchement le plus tôt possible de l'article 50, qui est une pré-condition pour ouvrir les négociations », dans un communiqué publié avant la rencontre.

Il a également souligné qu'il allait aussi répéter à Theresa May « que les quatre libertés du marché unique (européen) - biens, capitaux, services et personnes - sont d'égale importance ».

Mais Boris Johnson a rejeté l'idée que le Royaume-Uni devra continuer à respecter la liberté de circulation des travailleurs européens s'il veut continuer à avoir accès au marché unique.

« Ils veulent nous faire croire qu'il y a une contrepartie automatique entre ce qu'ils appellent accès au marché unique et liberté de mouvement. Ce sont des bobards », a-t-il affirmé.

« Les deux choses n'ont rien à voir. Nous devons obtenir un accord de libre échange tout en reprenant le contrôle de notre politique d'immigration », a-t-il ajouté

lepoint
mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Les négociations sur le Brexit font chuter la livre et grimper la Bourse de Londres

La monnaie britannique tombée à son plus bas niveau depuis 31 ans face au dollar. Et à 1,14 un euro, son plus bas depuis août 2013. La Bourse de Londres s’envole, mais seuls les investisseurs britanniques en profitent. L’annonce par le premier ministre britannique Theresa May de l’ouverture des discussions sur le Brexit d’ici fin mars a fait chuter la monnaie britannique tombée 1,275 dollar, soit son plus bas niveau depuis 31 ans. L’inquiétude des investisseurs qui craignent que le Royaume-Uni opte pour un «Brexit dur» vis-à-vis de l’Union européenne pèse aussi la devise britannique tombée à 1,14 un euro, un niveau proche du plus bas depuis début août 2013.
La crainte d’un divorce «sans compromis» sur le plan économique refait en effet surface depuis que Theresa May a indiqué que son pays comptait bien contrôler l’afflux de migrants européens comme le réclament ceux qui ont voté pour le Brexit au référendum du 23 juin. Or, les autorités de Bruxelles ont averti à maintes reprises que l’accès au marché unique, qui permet les échanges commerciaux sans barrières douanières entre les membres de l’Union européenne, allait de pair avec la libre circulation des travailleurs européens, dont ceux du Royaume-Uni. Dans ce contexte, la livre, qui est le vrai baromètre de l’humeur du marché, ne pouvait que décrocher.

La Bourse de Londres a en revanche grimpé lundi de 1,22 % et de 1,23% ce matin. Depuis le début de l’année, elle affiche une hausse de 13,25%, alors que le CAC 40 est toujours dans le rouge. Les investisseurs achètent des actions britanniques, car ils savent que les multinationales cotées à Londres vont bénéficier à plein de la faiblesse de la livre. Elles devraient voir leur compétitivité se renforcer à l’international, tout en bénéficiant d’une hausse mécanique des bénéfices qu’elles réalisent en devises fortes.

Pour les non-résidents, le marché britannique est devenu bien plus spéculatif qu’auparavant. Depuis le début de l’année, l’indice FTSE 100 a bien progressé, mais la totalité de leurs gains a été effacée par une chute de 15 % de la livre face à l’euro
lefigaro

mam
 
Les négociations sur le Brexit font chuter la livre et grimper la Bourse de Londres

La monnaie britannique tombée à son plus bas niveau depuis 31 ans face au dollar. Et à 1,14 un euro, son plus bas depuis août 2013. La Bourse de Londres s’envole, mais seuls les investisseurs britanniques en profitent. L’annonce par le premier ministre britannique Theresa May de l’ouverture des discussions sur le Brexit d’ici fin mars a fait chuter la monnaie britannique tombée 1,275 dollar, soit son plus bas niveau depuis 31 ans. L’inquiétude des investisseurs qui craignent que le Royaume-Uni opte pour un «Brexit dur» vis-à-vis de l’Union européenne pèse aussi la devise britannique tombée à 1,14 un euro, un niveau proche du plus bas depuis début août 2013.
La crainte d’un divorce «sans compromis» sur le plan économique refait en effet surface depuis que Theresa May a indiqué que son pays comptait bien contrôler l’afflux de migrants européens comme le réclament ceux qui ont voté pour le Brexit au référendum du 23 juin. Or, les autorités de Bruxelles ont averti à maintes reprises que l’accès au marché unique, qui permet les échanges commerciaux sans barrières douanières entre les membres de l’Union européenne, allait de pair avec la libre circulation des travailleurs européens, dont ceux du Royaume-Uni. Dans ce contexte, la livre, qui est le vrai baromètre de l’humeur du marché, ne pouvait que décrocher.

La Bourse de Londres a en revanche grimpé lundi de 1,22 % et de 1,23% ce matin. Depuis le début de l’année, elle affiche une hausse de 13,25%, alors que le CAC 40 est toujours dans le rouge. Les investisseurs achètent des actions britanniques, car ils savent que les multinationales cotées à Londres vont bénéficier à plein de la faiblesse de la livre. Elles devraient voir leur compétitivité se renforcer à l’international, tout en bénéficiant d’une hausse mécanique des bénéfices qu’elles réalisent en devises fortes.

Pour les non-résidents, le marché britannique est devenu bien plus spéculatif qu’auparavant. Depuis le début de l’année, l’indice FTSE 100 a bien progressé, mais la totalité de leurs gains a été effacée par une chute de 15 % de la livre face à l’euro
lefigaro

mam


Les négociations sur le Brexit reprendront le 9 novembre


http://www.levif.be/actualite/inter...ront-le-9-novembre/article-normal-748309.html
 
Étrange façon de faire des japonais, ce n'est pas leur habitude de mettre une pression aussi importante




Brexit : le Japon menace le Royaume-Uni de délocalisations, et il ne plaisante pas

Dans un document officiel publié ce week-end, le gouvernement nippon prévient son homologue britannique : si les négociations avec l'UE tournent mal, les groupes industriels mais aussi les banques japonaises transféreront leurs sièges sur le continent

C'est un document de 15 pages que devraient méditer tous les Brexitophiles qui, outre-Manche ou non, assurent que la sortie du Royaume-Uni n’aura aucune conséquence dommageable pour l’économie du pays.

Ce week-end, à la veille de la réunion du G20 à Hangzhou en Chine, ce texte en anglais a été mis en ligne par le ministère des Affaires étrangères, avec un titre solennel :

"Message du Japon au Royaume-Uni et à l’Union européenne".
En le découvrant, la Première ministre britannique et sa délégation ont dû faire "gloups".

Il s'agit d'une sèche mise en garde.

Le gouvernement japonais y envisage explicitement une série de retraits de groupes industriels, dans l’hypothèse où les négociations entre l’UE et Londres tourneraient mal.

Son souhait est que "l’environnement des affaires actuel soit maintenu autant que faire se peut" : autrement dit, que presque rien ne change.
Le risque, si ses souhaits n’étaient pas exhaussés, est explicitement formulé :
"Les groupes japonais basés au Royaume-Uni pourraient décider de transférer leur siège en Europe continentale si les règles européennes cessaient de s’appliquer au Royaume-Uni après son retrait.

"Le pays est depuis longtemps le point de chute préféré des firmes japonaises qui ont mis le cap sur l’Union européenne. L'insularité commune des deux pays n'y est pas pour grand chose. Les coûts du travail y étaient moindres que sur le continent, le syndicalisme moins menaçant, le gouvernement plus accueillant et le marché des capitaux plus accessible, avec la présence de la City.

Double tarif douanier ?Environ la moitié des investissements japonais dans l’Europe communautaire y est logée, que ce soit dans l'automobile (Nissan, Honda, Mitsubishi…),
la finance (Nomura, Daiwa…),
la pharmacie (Takeda, Eisai)
ou les technologies de l’information (Hitachi, Fujitsu).
Au total, le Japon emploie 140.000 personnes outre-manche, contre 40.000 il y a vingt-cinq ans.

http://actualites.nouvelobs.com/bre...e-delocalisations-et-il-ne-plaisante-pas.html


blablabla pour vendre du papier
bien sûr que l'UE va accorder des conditions particulières........

mam
 
Tout ce que vont gagner les britanniques c est une économie et une monnaie instable, ils vont aussi être sujet aux attaque spéculative ce qui donnera des cotations boursières hautement volatile.

Après le Brexit, les britanniques vont s'intégrer à la locomotive américaine et créer un espace économique anglophone avec les Etats-Unis. D'ailleurs les deux armées ont quasiment fusionné dans leur ingérence dans le monde et leurs intérêts financiers sont depuis longtemps en état de fusion.

Les britanniques veulent que l'UE soit un marché où écouler leur production uniquement. Les avantages sans les inconvénients. De Gaulle, grand visionnaire, s’opposait à l'entrée des anglais dans l'UE et les traitait déjà " d'emmerdeurs"



Les négociations sur le Brexit font chuter la livre et grimper la Bourse de Londres

La monnaie britannique tombée à son plus bas niveau depuis 31 ans face au dollar. Et à 1,14 un euro, son plus bas depuis août 2013. La Bourse de Londres s’envole, mais seuls les investisseurs britanniques en profitent. L’annonce par le premier ministre britannique Theresa May de l’ouverture des discussions sur le Brexit d’ici fin mars a fait chuter la monnaie britannique tombée 1,275 dollar, soit son plus bas niveau depuis 31 ans. L’inquiétude des investisseurs qui craignent que le Royaume-Uni opte pour un «Brexit dur» vis-à-vis de l’Union européenne pèse aussi la devise britannique tombée à 1,14 un euro, un niveau proche du plus bas depuis début août 2013.
La crainte d’un divorce «sans compromis» sur le plan économique refait en effet surface depuis que Theresa May a indiqué que son pays comptait bien contrôler l’afflux de migrants européens comme le réclament ceux qui ont voté pour le Brexit au référendum du 23 juin. Or, les autorités de Bruxelles ont averti à maintes reprises que l’accès au marché unique, qui permet les échanges commerciaux sans barrières douanières entre les membres de l’Union européenne, allait de pair avec la libre circulation des travailleurs européens, dont ceux du Royaume-Uni. Dans ce contexte, la livre, qui est le vrai baromètre de l’humeur du marché, ne pouvait que décrocher.

La Bourse de Londres a en revanche grimpé lundi de 1,22 % et de 1,23% ce matin. Depuis le début de l’année, elle affiche une hausse de 13,25%, alors que le CAC 40 est toujours dans le rouge. Les investisseurs achètent des actions britanniques, car ils savent que les multinationales cotées à Londres vont bénéficier à plein de la faiblesse de la livre. Elles devraient voir leur compétitivité se renforcer à l’international, tout en bénéficiant d’une hausse mécanique des bénéfices qu’elles réalisent en devises fortes.

Pour les non-résidents, le marché britannique est devenu bien plus spéculatif qu’auparavant. Depuis le début de l’année, l’indice FTSE 100 a bien progressé, mais la totalité de leurs gains a été effacée par une chute de 15 % de la livre face à l’euro
lefigaro

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Tout ce que vont gagner les britanniques c est une économie et une monnaie instable, ils vont aussi être sujet aux attaque spéculative ce qui donnera des cotations boursières hautement volatile.

Après le Brexit, les britanniques vont s'intégrer à la locomotive américaine et créer un espace économique anglophone avec les Etats-Unis. D'ailleurs les deux armées ont quasiment fusionné dans leur ingérence dans le monde et leurs intérêts financiers sont depuis longtemps en état de fusion.

Les britanniques veulent que l'UE soit un marché où écouler leur production uniquement. Les avantages sans les inconvénients. De Gaulle, grand visionnaire, s’opposait à l'entrée des anglais dans l'UE et les traitait déjà " d'emmerdeurs"

tout à fait
déstabilisateurs aussi

mam
 
Oui, quand on sait ce qu'ils ont fait pour contrer la montée en puissance de l'Allemagne en Europe , on est impressionné par le cynisme britannique.

Citation d'un officier de sa majesté la reine Victoria du temps de l'empire colonial anglais:

" Sa majesté n'a pas d'amis, elle n'a que des intérêts "



Je vous laisse méditer sur cette phrase qui résume tout :D

tout à fait
déstabilisateurs aussi

mam
 
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