Le ramadan, synonyme de jeûne, a commencé depuis deux semaines.
Dans les écoles primaires bruxelloises, certains enfants fraîchement pubères s’y essaient, parfois pour la première fois.
A l’école primaire Henriette Dachsbeck, au cœur du quartier du sablon à Bruxelles, la direction a décidé d’accompagner les élèves qui décident de jeûner.
Au cours d’éducation islamique il y a une quinzaine d’élèves, la moitié d’entre eux ont décidé de ne pas manger ni boire de la journée.
Younes Taïbi, leur professeur, explique : « on les prépare deux semaines avant, on leur explique que le jeûne du ramadan n’est pas obligatoire pour les enfants.
On ne leur interdit pas non plus et je trouve que c’est important parce que c’est une règle qui permet aux enfants de se sentir respectés ».
Bilal et Otman, douze ans, témoignent : « mes parents m’ont dit : si tu te sens pas bien, tu manges, tu bois.
Si quelqu’un a des difficultés on l’encourage mais s’il n’y arrive vraiment pas, il peut manger ou boire ».
Du côté de la direction, Gaëtan Huygens explique qu’une réunion est organisée au préalable avec les professeurs afin que tous soient sur la même longueur d’onde.
Un courrier appelant au bon sens est aussi envoyé aux parents.
Ceux-ci sont informés que l’école sera présente pour soutenir les enfants dans leurs possibles difficultés en cette période, qui est aussi celle des épreuves de fin d’année.
Dans cette école, le mot d’ordre pour cette période de ramadan est donc : chacun ses choix et chacun son rythme.
https://www.rtbf.be/info/regions/br...nt-les-eleves-qui-font-le-ramadan?id=10225452
Dans les écoles primaires bruxelloises, certains enfants fraîchement pubères s’y essaient, parfois pour la première fois.
A l’école primaire Henriette Dachsbeck, au cœur du quartier du sablon à Bruxelles, la direction a décidé d’accompagner les élèves qui décident de jeûner.
Au cours d’éducation islamique il y a une quinzaine d’élèves, la moitié d’entre eux ont décidé de ne pas manger ni boire de la journée.
Younes Taïbi, leur professeur, explique : « on les prépare deux semaines avant, on leur explique que le jeûne du ramadan n’est pas obligatoire pour les enfants.
On ne leur interdit pas non plus et je trouve que c’est important parce que c’est une règle qui permet aux enfants de se sentir respectés ».
Bilal et Otman, douze ans, témoignent : « mes parents m’ont dit : si tu te sens pas bien, tu manges, tu bois.
Si quelqu’un a des difficultés on l’encourage mais s’il n’y arrive vraiment pas, il peut manger ou boire ».
Du côté de la direction, Gaëtan Huygens explique qu’une réunion est organisée au préalable avec les professeurs afin que tous soient sur la même longueur d’onde.
Un courrier appelant au bon sens est aussi envoyé aux parents.
Ceux-ci sont informés que l’école sera présente pour soutenir les enfants dans leurs possibles difficultés en cette période, qui est aussi celle des épreuves de fin d’année.
Dans cette école, le mot d’ordre pour cette période de ramadan est donc : chacun ses choix et chacun son rythme.
https://www.rtbf.be/info/regions/br...nt-les-eleves-qui-font-le-ramadan?id=10225452