La Fondation humanitaire de Gaza est le révélateur du rôle des mercenaires et des camps de concentration dans la stratégie sioniste de déplacement forcé.
Avec la création de la Fondation humanitaire de Gaza (GHF) en février 2025, Israël atteint des nouveaux sommets de perversité dans l’instrumentalisation de l’aide humanitaire.
Sous couvert de distribution alimentaire, cette organisation, dirigée par d’anciens agents des services secrets américains et des mercenaires, sert le projet israélien de transformer Gaza en un archipel de camps de concentration du XXIe siècle.
Son objectif ultime : imposer l’«émigration volontaire» de la population palestinienne par la famine, la militarisation de la survie et le contrôle démographique colonial.
Anatomie d’une farce humanitaire
Origines et architecture du contrôle
La GHF est enregistrée au Delaware (États-Unis) et à Genève (Suisse) avec un financement opaque – dont 100 millions de dollars provenant d’un donateur européen présumé anonyme – et une direction étroitement liée au complexe militaro-industriel. Son premier directeur, Jake Wood, ancien tireur d’élite des Marines américains et fondateur de Team Rubicon, a démissionné, invoquant l’impossibilité d’opérer selon les principes «d’humanité, de neutralité et d’indépendance».
Il a été remplacé par Johnnie Moore, un évangéliste sioniste et proche allié de Donald Trump, tandis que des personnalités telles que David Petraeus (ancien directeur de la CIA) soutiennent le modèle au sein de comités consultatifs.
Militarisation de l’aide
La distribution de l’aide est assurée par deux sociétés de sécurité privées :
Safe Reach Solutions (SRS), dirigée par Phil Reilly, ancien agent de la CIA en Afghanistan.
Solutions, dirigée par Jameson Govoni, ancien béret vert et auteur de publications explicitement anti-arabes.
Les deux sociétés recrutent des vétérans des forces spéciales à 1100 dollars par jour, équipés de fusils M4, de grenades et de drones. La «sécurité» dans les centres d’aide comprend la reconnaissance faciale et le contrôle biométrique, ce qui conduit souvent à des arrestations arbitraires.
Avec la création de la Fondation humanitaire de Gaza (GHF) en février 2025, Israël atteint des nouveaux sommets de perversité dans l’instrumentalisation de l’aide humanitaire.
Sous couvert de distribution alimentaire, cette organisation, dirigée par d’anciens agents des services secrets américains et des mercenaires, sert le projet israélien de transformer Gaza en un archipel de camps de concentration du XXIe siècle.
Son objectif ultime : imposer l’«émigration volontaire» de la population palestinienne par la famine, la militarisation de la survie et le contrôle démographique colonial.
Anatomie d’une farce humanitaire
Origines et architecture du contrôle
La GHF est enregistrée au Delaware (États-Unis) et à Genève (Suisse) avec un financement opaque – dont 100 millions de dollars provenant d’un donateur européen présumé anonyme – et une direction étroitement liée au complexe militaro-industriel. Son premier directeur, Jake Wood, ancien tireur d’élite des Marines américains et fondateur de Team Rubicon, a démissionné, invoquant l’impossibilité d’opérer selon les principes «d’humanité, de neutralité et d’indépendance».
Il a été remplacé par Johnnie Moore, un évangéliste sioniste et proche allié de Donald Trump, tandis que des personnalités telles que David Petraeus (ancien directeur de la CIA) soutiennent le modèle au sein de comités consultatifs.
Militarisation de l’aide
La distribution de l’aide est assurée par deux sociétés de sécurité privées :
Safe Reach Solutions (SRS), dirigée par Phil Reilly, ancien agent de la CIA en Afghanistan.
Solutions, dirigée par Jameson Govoni, ancien béret vert et auteur de publications explicitement anti-arabes.
Les deux sociétés recrutent des vétérans des forces spéciales à 1100 dollars par jour, équipés de fusils M4, de grenades et de drones. La «sécurité» dans les centres d’aide comprend la reconnaissance faciale et le contrôle biométrique, ce qui conduit souvent à des arrestations arbitraires.