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Catalogne : un long chemin vers la liberté
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[QUOTE="Racheed, post: 17154915, member: 396912"] [LIST] [*][URL='https://www.lepoint.fr/'] [/URL] [*] [URL='https://www.lepoint.fr/monde/']International[/URL] [/LIST] [HEADING=2]Espagne : comment un rappeur a mis le pays à feu et à sang[/HEADING] [HEADING=2]La condamnation du rappeur Hasél pour « apologie du terrorisme » et « calomnies contre la monarchie » a créé un émoi en Espagne et divise profondément la gauche.[/HEADING] De notre correspondant à Madrid, [URL='https://www.lepoint.fr/journalistes-du-point/francois-musseau']François Musseau[/URL] Publié le 20/02/2021 à 19h05 - Modifié le 21/02/2021 à 10h26 Ce samedi, à Madrid, une nouvelle manifestation de colère a été convoquée pour protester contre l'incarcération d'un rappeur catalan, alias Hasél, en début de semaine. Et, d'une manière plus générale, contre les prétendues limites à la liberté d'expression. Une nouvelle fois, des altercations violentes se sont produites entre des manifestants majoritairement jeunes et de gauche – proches de Podemos ou de mouvements anticapitalistes et anarchistes – et les forces de l'ordre. Depuis mardi, des affrontements ont eu lieu dans tout le pays, faisant des dizaines de blessés parmi la police et les protestataires, dont une jeune fille ayant perdu un œil après l'impact d'une balle en caoutchouc. Les manifestations ont eu lieu tout particulièrement à Madrid et en Catalogne, d'où est originaire le rappeur en question. « À bas l'État fasciste et la monarchie ! », « Pour la pleine liberté d'expression ! » sont quelques-uns des slogans que l'on pouvait lire et entendre au sein de ces marches. [I]close volume_off[/I] [HEADING=3]Débat national sur la liberté d'expression[/HEADING] Le rappeur Hasél – de son vrai nom Pablo Rivadulla Duro, 32 ans, d'idéologie libertaire et connu pour ses propos provocateurs à l'encontre des pouvoirs en place, tout particulièrement la monarchie – a été incarcéré mardi 16 février, après qu'un tribunal de Lérida (sa ville natale, en Catalogne) l'a condamné à neuf mois de prison ferme pour « apologie du terrorisme » et « calomnies contre la monarchie ». Vendredi, une autre condamnation – à deux ans et demi de prison – a été confirmée contre lui par un autre tribunal pour « obstruction à la justice » et « menaces » à un témoin dans un procès à qui il avait proféré : « Je vais te tuer, fils de ****, je t'aurai, va ! » [IMG]https://static.lpnt.fr/images/2021/02/20/21354810lpw-21354824-embed-libre-jpg_7718843.jpg[/IMG]Les manifestants réclament la libération du rappeur.© Isabel Infantes / Sputnik / Sputnik via AFP Ce qui aurait pu se limiter à des heurts entre policiers et manifestants antisystème a dérivé en un débat national sur les limites de la liberté d'expression et en une crise politique majeure. Si les partis de droite condamnent à l'unisson les « provocations » du rappeur Hasél, les échauffourées autour de cette affaire ont provoqué un profond fossé entre les socialistes au pouvoir et leur allié de coalition Podemos – équivalent espagnol de La [URL='https://www.lepoint.fr/tags/france']France[/URL] insoumise. [URL='https://www.lepoint.fr/politique/espagne-pedro-sanchez-sur-le-point-d-etre-reconduit-au-pouvoir-07-01-2020-2356391_20.php']Le chef du gouvernement, Pedro Sánchez, n'y est pas allé dans la demi-mesure[/URL] : « Dans une démocratie pleine comme l'[URL='https://www.lepoint.fr/tags/espagne']Espagne[/URL], la violence est inadmissible. » [HEADING=3]La gauche divisée[/HEADING] En face, son vice-président – et chef de file de Podemos – Pablo Iglesias a, lui, pris le parti des manifestants en contestant précisément « la qualité démocratique » de son pays et a fustigé les prétendus « abus policiers ». [URL='https://www.lepoint.fr/monde/la-france-une-democratie-defaillante-03-02-2021-2412584_24.php']À en croire le rapport annuel Democracy Index publié par la revue britannique [I]The Economist[/I][/URL][I], [/I]l'Espagne[I] [/I]apparaît en 22e position, devant les [URL='https://www.lepoint.fr/tags/etats-unis']États-Unis[/URL], l'[URL='https://www.lepoint.fr/tags/italie']Italie[/URL] ou la France. Pablo Echenique, un autre dirigeant de Podemos, s'est même fendu d'un tweet affirmant sa [B]« sympathie à l'égard de jeunes antifascistes exigeant justice et liberté d'expression ». L'« affaire Hasél » met en évidence les contradictions de Podemos, un parti au pouvoir qui craint de perdre le soutien de ses bases et recourt ainsi à des diatribes enflammées en faveur des manifestants et contre les forces de l'ordre – dont le nombre de blessés est cependant presque aussi élevé que chez les manifestants.[/B] [/QUOTE]
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