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Actualités internationales
Centrafrique : les anti-balaka remettent ça !
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[QUOTE="compteblad, post: 14720287, member: 167672"] tu peux répéter tes propos? les musulmans centrafricains n'ont pas été victime de tueries? c'est bien ça que tu dis? [URL]https://www.amnesty.org/fr/latest/news/2014/02/central-african-republic-ethnic-cleansing-sectarian-violence/[/URL] Au cours des dernières semaines, Amnesty International a recueilli plus d’une centaine de témoignages de première main sur les attaques de grande ampleur menées par les anti-balaka contre des civils musulmans dans les villes de Bouali, Boyali, Bossembélé, Bossemptélé et Baoro, dans le nord-ouest de la République centrafricaine. Les troupes internationales n’étaient pas déployées dans ces villes, laissant les civils sans protection. L’attaque la plus meurtrière répertoriée par Amnesty International s’est déroulée le 18 janvier à Bossemptélé. Elle a fait plus de 100 victimes parmi la population musulmane, dont des femmes et des vieillards, notamment un imam d’environ 75 ans. Pour échapper à la folie meurtrière des anti-balaka, dans de nombreuses villes et de nombreux villages, toute la population musulmane a fui, tandis qu’ailleurs, ceux qui restent se réfugient à l’intérieur et aux abords des églises et des mosquées. L’inquiétude de la communauté internationale face aux violences intercommunautaires en République centrafricaine a amené le Conseil de sécurité de l’ONU à autoriser, en décembre 2013, le déploiement des forces de maintien de la paix dans le pays. Ces forces, composées de 5 500 soldats de l’Union africaine, la MISCA, et de 1 600 soldats français, l’opération « Sangaris », se trouvent à Bangui et dans plusieurs villes au nord et au sud-ouest de la capitale. Même dans le quartier musulman du PK-5 situé au centre de Bangui, des milliers d’habitants effrayés font leurs valises et quittent leur foyer. Pour se mettre à l’abri, le périple est difficile et dangereux. Les convois sont fréquemment pris pour cibles par les milices anti-balaka. Un petit garçon appelé Abdul Rahman a raconté à Amnesty International que, le 14 janvier, le camion à bord duquel il voyageait avait été stoppé à un poste de contrôle tenu par les anti-balaka. Ils ont exigé que tous les passagers musulmans descendent. Six membres de sa famille ont alors été tués : trois femmes et trois jeunes enfants, dont un bambin. [/QUOTE]
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