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[QUOTE="TheNeuroGirl, post: 16312470, member: 390560"] [B]Partie II [/B] En y réfléchissant, je me souviens avoir entendu parler d’une consigne pour les bagages. Une jeune fille qui travaille au sein de l’aéroport à l’amabilité de m’aiguiller. Il me faut changer de terminal et, après avoir parcouru quelques kilomètres, je trouve enfin le graal : LA CONSIGNE ! Mes gambettes me le reprochent et ne cessent de m’envoyer des signaux douloureux pour les maudits kilomètres que je leur ai imposés en si peu de temps. Mais bon, je prends mon mal en patience et me résigne à faire la queue. Deux guichets se trouvent devant moi : au niveau du premier, est assis un jeune homme de mon âge, ou peut-être un peu plus. Il est brun, aux cheveux bouclés, un peu plus longs que la moyenne, et noués en queue de cheval ne dépassant pas ses épaules. Son visage témoigne d’une belle histoire : un métissage asiatique et européen, dont les contrées demeureront inéluctablement inconnues. En progressant dans la file, j’observe qu’il est plutôt grand de taille. Mon tour approche, ses iris noir de jais se posent sur moi et, au même moment, le monsieur du second guichet me fait signe d’avancer. Je lui montre mes documents de voyage, le règle et lui laisse enfin cette valise qui me pesait tant. Je choisis de conserver mes bagages cabines. Je reviendrai à 16h30, histoire d’avoir le temps de les récupérer, de traverser les terminaux à nouveau de procéder au check-in et embarquement. Sans plus attendre, je m’oriente vers les toilettes les plus proches en me préparant, psychologiquement, à voir un désastre sanitaire comme dans la majorité des lieux publics. Une fois sur place, à ma grande surprise, les lieux sont propres ! Un tour au petit coin et plusieurs minutes à se savonner et se laver les mains. L’hygiène a un impact non négligeable sur le moral, mon Dieu, que cette sensation est agréable ! On ne s’en rend pas compte lorsque l’on est chez soi ou à son lieu de travail et que tout est facilement accessible. Ce jour-là, moi, j’en ai pris conscience lorsque j’ai dû traverser plusieurs « gates » avant de trouver les toilettes. D’ailleurs, le lieu était immense et comportait facilement une douzaine de cabinets et des miroirs qui s’étendaient au-delà des murs des lavabos. Certains comblaient toute la hauteur des murs mais ce jour-là, j’aurais pu me passer de voir mon reflet ! Connaissant mon itinéraire, j’avais opté pour tenu confortable et simple… Petit haut turquoise, petit gilet noir, jeans, converses noires et veste à capuche noire, nouée autour de la taille en prévision du froid dans l’avion. Mes longs cheveux noirs retombaient sur mon dos et mes épaules. J’avais pris soin de bien les coiffer avant de partir en perdant, une fois de plus, du temps sur des détails auxquels personne ne prêtait attention mais qui m’importait personnellement. Mais voilà, après avoir passé une partie de la journée à courir dans tous les sens, mes cheveux me tenaient chaud et je décidais de les attacher avec une pince. Je n’étais pas très fière de ma tenue mais pris quelques secondes pour ré-appliquer mon rouge à lèvres. Vous savez ce qu’on dit ? « Give a woman the right lipstick and she can conquer the world ». Alors oui, j’ai opté pour un petit boost de confiance en moi afin d’arpenter l’aéroport une énième fois et de, peut-être, trouver le coin parfait où somnoler en sécurité ! Après plusieurs minutes de recherche, je me retrouve bredouille ! La fatigue se fait davantage sentir et mes yeux sont embués. Je me décide finalement à m’asseoir à côté de personnes qui somnolent déjà à une table. Morphée est prêt à m’accueillir dans ses bras et sans aucun signe de résistance, je verrouille a fermeture éclair de mon sac à dos avec un cadenas. Je programme une petite alarme afin de m’assurer de ne pas rater mon vol et étreins mon sac à dos pour éviter qu’un petit malin ne s’amuse à me faire un coup tordu. Partie III - sous peu as well :) [/QUOTE]
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