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[QUOTE="WayOfLife, post: 16380166, member: 395289"] Le vieillard tira alors le Khurâsien par la main puis lui dit : " Viens récupérer ta bourse et laisse-moi dormir cette nuit en nous épargnant tes plaintes ! Suis-moi ! " Le vieillard parti alors, suivi du Khurâsien, et je partis sur leurs pas. Le vieillard entra chez lui, puis en sortit et demanda au Khurâsien d'y entrer. Celui-ci y entra, puis j'en fis de même. Le vieillard creusa dans un coin, puis en sorti une bourse de couleur noir et dit au Khurâsien : " Voici ta bourse ! " "C'est bie nma bourse. " répondit le Khurâsien. Ensuite, il déversa l'argent dans son giron puis se mit à le compter avant de dire : " Le compte y est. " Après avoir remit l'argent dans la bourse, il s'apprêta à quitter la maison et, arrivé devant la porte il revint sur ses pas et dit au vieillard : " Ô vieillard, mon père est mort, puissa Allah lui accorder Sa miséricorde, et m'a laissé trois mlle dinars en me disant : " Dépense-le tiers au profit du plus méritant des gens à tes yeux ! Vends ma monture et finances ton pélerinage ! " J'ai fait ce qu'il m'a ordonné et j'ai mis mille diars dans cette bourse avant de venir au pèlerinage. Or, depuis que je suis sorti du Khurâsan, je n'ai pas vu d'homme méritant plus cet argent que toi ! Prends le donc, puisse Allah te le bénir ! " Il lui laissa alors la bourse, puis partit. Je partis derrière le Khurâsien, et Abû Ghayyâth me suivit et me retint. Il était encore vigoureux bien qu'il fut alors agé de quatre-vingt six ans. Il me dit : "Reste là ! Je t'ai vu nous suivre depuis le premier jour et tu connais maintenant notre récit. Or, j'ai entendu Ahmed Ibn Yûnus al-Yarbû'î dire : "J'ai entendu Malik rapporter selon Nâfi', selon 'Abdullah Ibn Umar, que le prophète a dit à 'Umar et 'Ali : "Si Allah vous apporte un cadeau sans l'avoir demandé ni aspiré à l'avoir, acceptez le, et ne le refusez pas, car il vient d'Allah. " Or c'est là u ncadeau qui me vient d'Allah et un cadeau pour celui qui est présent. " Ensuite il se mit à appeler : " Ô Lubâba ! Ô Unetelle et unetelle ! " en citant le noms de ses filles, de ses soeurs, de son épouse et de sa mère. Il s'assit et m'invita à en faire de même. Nous nous sommes trouvés dix personnes. Il ouvrit alors la bourse, et nous demanda d'étaler nos vêtements. J'ai étalé mon vêtement alors que les membres de sa famille n'ayant pas de vêtements assez larges pour les étaler, étendirent leurs mains. Il commença à compter l'argent, dinar après dinar, et, en arrivant au centième dinar, il me les donna. Il y avait mille dinars dans la bourse, et il m'en donna cent. Je fus envahi d'une grande joie en voyant cette famille s'enrichir avec cet argent, plus qu'en recevant ces cent dinars. En s'apprêtant à partir, il déclara : " Ô jeune homme, tu es béni ! Je n'ai jamais vu cet argent et je ne l'ai jamais espéré. Sache qu'il est licite et garde le. Sache aussi que j'avais l'habitude de me lever de bon matin pour prier avec ce vêtement usé puis le l'enlevais et je le donnais aux membres de ma famille qui prient avec, l'une après l'autre. Ensuite, je partais vaquer aux besoins de ma famille, et je revenais à la fin de la jounée avec ce qu'Allah me permettait de gagner comme fromage, dattes, galettes, et légumes abandonnés. J'enlevais de nouveau ce vêtement pour leur permettre d'accomplir avec la prière du couché et celle de la nuit. Puisse Allah les faire profiter de cet argent, et nous faire profiter toi et moi de ce que nous avons pris et qu'il accorde Sa miséricorde au propiétaire de cet argent dans sa tombe et multiplie la récompense de celu iqui l'a apporté ici ! " Ibn Jarîr ajoute : " Je lui ai fais mes adieux et jai utilisé cet argent pour mes activits intellectuelles pendant deux ans, en l'utilisant pour vivre et acheter du papier pour écrire, pour voyager et payer les frais. En l'an deux cent sinquante-six, j'ai demandé des nouvelles de ce vieillard à La Mecque, et il m'a été répondu qu'il était mort il y a quelques mois après notre rencontre. J'ai trouvé ses filles omme des reine chez des rois, alors que ses deux soeurs et leurs mère étaient morte également. A chaque fois que je venais à La Mecque, je descendais chez leur époux et leur enfants ; je leur racontais mon récit avec leur grand-père et ils se montraient très généreux avec moi. Muhammad Ibn Hiyyân al-Bajalî m'a raconté en l'an 290 qu'il ne restait plus aucune de ses filles. Puisse Allah les bénir et les accueillir dans Sa Miséricorde. " [/QUOTE]
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