Qui est cet homme ?

Sauver sa famille des flammes de l'enfer - Hassan Iquioussen

J'ai dormi, j'ai rêvé... Quel est le sens ? - Hassan Iquioussen

Musulman, à la vie, à la mort... - Hassan Iquioussen

 
De tous les mystères chrétiens, nul n’occupe un rang aussi élevé que le concept de la crucifixion de Jésus et de son sacrifice expiatoire. En fait, les chrétiens font entièrement reposer leur salut sur cette seule et unique doctrine. Et si cela a vraiment eu lieu, ne devrions-nous pas tous faire comme eux?

Enfin… si cela a vraiment eu lieu.

Maintenant, je ne sais pas pour vous, mais le concept de Jésus ayant expié les péchés de l’humanité m’apparaît fort intéressant. Ne le devrait-il pas? Si nous arrivons à croire qu’une autre personne a expié tous nos péchés et que nous pouvons aller au Paradis uniquement en y croyant, ne devrions-nous pas tous, immédiatement, conclure ce marché?

Si cela a vraiment eu lieu… évidemment.

Alors voyons cela de plus près. On nous dit que Jésus fut crucifié. Mais là encore, on nous dit beaucoup de choses qui s’avèrent fausses ou douteuses, par la suite; alors vérifions ce fait, juste pour nous rassurer.

Commençons par interroger les témoins. Interrogeons les auteurs des évangiles.

Oups! Il y a un problème : nous ne savons pas qui sont ces auteurs. Voilà un mystère chrétien beaucoup moins populaire (beauuuucoup moins populaire) : les auteurs des quatre évangiles du Nouveau Testament sont en réalité anonymes.[1] Personne ne sait qui les a écrits. Graham Stanton nous dit : « Contrairement à la plupart des écrits gréco-romains, les évangiles sont anonymes. Les titres portant le nom d’un auteur (« L’évangile selon…) n’ont jamais fait partie des manuscrits originaux; ils ne furent ajoutés qu’au début du deuxième siècle. »[2]

Ajoutés au deuxième siècle? Par qui? Croyez-le ou non, par des gens qui sont eux aussi anonymes.

Mais oublions tout cela. Après tout, les évangiles font partie de la Bible, alors nous devons les respecter comme écritures, n’est-ce pas?

N’est-ce pas?

Eh bien, peut-être pas. Car il se trouve que The Interpreter’s Dictionary of Bible (dictionnaire d’interprétation de la Bible) affirme : « Nous pouvons affirmer à coup sûr qu’il n’y a pas une seule phrase, dans le Nouveau Testament, pour laquelle la tradition manuscrite est totalement identique. »[3] Ajoutez à cela les paroles maintenant célèbres de Bart D. Ehrman : « Il est probablement plus simple de présenter le problème en termes comparatifs : il y a plus de différences entre nos manuscrits qu’il n’y a de mots dans le Nouveau Testament. »[4]

Imaginez! D’un côté, nous avons Matthieu, Marc, Luc et Jean qui nous disent… oh, excusez-moi : je voulais dire que nous avons anonyme, anonyme, anonyme et anonyme qui nous disent… euh, quoi? Que nous disent-ils? Qu’ils n’arrivent même pas à s’entendre sur ce que Jésus portait, buvait, disait ou faisait? Après tout, Matthieu 27:28 nous dit que les soldats romains vêtirent Jésus d’une robe écarlate. Mais Jean 19:2 nous dit qu’elle était pourpre. Matthieu 27:34 dit que les Romains donnèrent à Jésus du vin mêlé de fiel, mais selon Marc 15:23, il était plutôt mêlé de myrrhe. Marc 15:25 nous dit que Jésus fut crucifié avant la troisième heure, mais 19:14-15 affirme que c’était vers la sixième heure. Luc 23:46 dit que les dernières paroles de Jésus furent : « Père, je remets mon esprit entre Tes mains », mais selon Jean 19:30, Jésus aurait plutôt dit : « Tout est accompli. »

Mais attendez un instant. Il me semble que les fidèles disciples de Jésus auraient été pendus à ses lèvres et bu ses paroles. Pourtant, Marc 14:50 nous apprend que tous ses disciples abandonnèrent Jésus dans le jardin de Gethsémané. Mais il semble que certaines personnes – probablement pas des disciples, mais des personnes anonymes, il va de soi – ne ratèrent aucune de ses paroles, mais entendirent chacune… des paroles différentes.
 
Croyez-le ou non, après cette scène, les évangiles se contredisent de plus en plus.

Après la prétendue résurrection, il devient presque impossible de trouver une quelconque information sur laquelle les quatre évangiles concordent. Par exemple :

Qui se rendit au tombeau?

Matthieu : « Marie-Madeleine et l’autre Marie. »

Marc : « Marie-Madeleine, Marie, la mère de Jacques, et Salomé. »

Luc : « Les femmes qui étaient venues avec lui de Galilée » et « quelques autres femmes. »

Jean : « Marie-Madeleine »



Pourquoi allèrent-elles au tombeau?

Matthieu : « Pour voir le tombeau. »

Marc : Elles « achetèrent des huiles aromatiques pour embaumer le corps de Jésus. »

Luc : Elles « apportèrent des huiles aromatiques. »

Jean : ne donne aucune raison.



Y eut-il un tremblement de terre? (Quelque chose que nulle personne, à proximité, n’aurait pu rater ni oublier par la suite.)

Matthieu : oui

Marc : aucune mention

Luc : aucune mention

Jean : aucune mention



Un ange est-il descendu? (Allons, tout de même : un ange! Pouvons-nous croire un instant que trois d’entre eux aient raté cet événement?)

Matthieu : oui

Marc : aucune mention

Luc : aucune mention

Jean : aucune mention



Qui poussa la pierre?

Matthieu : L’ange (celui que les trois autres anonymes n’ont pas vu...).

Marc : aucune mention

Luc : aucune mention

Jean : aucune mention



Qui se trouvait au tombeau?

Matthieu : « un ange »

Marc : « un jeune homme »

Luc : « deux hommes »

Jean : « deux anges »



Où se tenaient-ils?

Matthieu : L’ange était assis sur la pierre, à l’extérieur du tombeau.

Marc : Le jeune homme était dans le tombeau, « assis du côté droit ».

Luc : Les deux hommes étaient à l’intérieur du tombeau, debout.

Jean : Les deux anges étaient « assis, l’un à la tête et l’autre au pied de l’endroit où le corps de Jésus avait reposé ».



Qui vit Jésus en premier et où?

Matthieu : Marie-Madeleine et « l’autre Marie », sur la route qu’elles empruntaient pour aller retrouver les disciples.

Marc : Marie-Madeleine seulement et il ne mentionne pas où.

Luc : Deux des disciples, en route vers « un village appelé Emmaüs, à environ sept milles de Jérusalem. »

Jean : Marie-Madeleine, à l’extérieur du tombeau.



Alors où va-t-on avec tout ça? On ne peut que se demander si c’est là l’idée des Écritures que se font certaines personnes?

JESUS A T IL ETE CRUCIFIE?/DR ZAKIR NAIK//KAMUDU13.YOUTUBE

 
Dans le Coran, Jésus occupe une des positions les plus élevées parmi les prophètes. Contrairement aux autres prophètes qui ont accompli des miracles, Jésus était lui-même un miracle pour être né d’une mère vierge. C’est ainsi que Dieu les décrit, lui et sa mère :

« … et Nous fîmes d’elle [Marie], ainsi que de son fils [Jésus], un signe pour (toute) l’humanité. » (Coran 21:91)

Néanmoins, dans le Coran, on dit de Jésus qu’il a accompli de nombreux miracles qui lui étaient uniques. Dieu dit :

« Et Nous avons donné des preuves claires à Jésus, fils de Marie… » (Coran 2:87)

Ce qui suit est une brève description des miracles accomplis par Jésus qui sont mentionnés dans le Coran.
1. Une table pleine de nourriture

Dans la cinquième sourate du Coran intitulée « la table servie », nom qu’elle tient du miracle accompli par Jésus, Dieu raconte comment les disciples de Jésus l’ont prié de Lui demander de leur faire descendre une table servie, garnie de nourriture, et d’en faire un jour de commémoration dans le futur.

« Lorsque les disciples dirent: « Ô Jésus, fils de Marie! Ton Seigneur peut-il nous faire descendre du ciel une table servie? » Il leur dit : « Craignez Dieu, si vous êtes vraiment croyants. » (Ils répondirent) : « Nous voulons en manger afin de rassurer nos cœurs, savoir que tu nous as réellement dit la vérité et en témoigner par la suite. » Jésus, fils de Marie, dit : « Ô Dieu, notre Seigneur! Fais-nous descendre, du ciel, une table servie qui soit une célébration pour le premier d’entre nous comme pour le dernier, ainsi qu’un signe de Ta part. Donne-nous notre subsistance, car Tu es le meilleur des nourriciers. » (Coran 5:112-114)

Il est fort probable que cette occasion est ce à quoi les chrétiens réfèrent en tant que « cène »,[1] c’est-à-dire le dernier souper que prit Jésus avec ses apôtres. L’eucharistie a toujours été au centre de l’adoration chrétienne. L’encyclopédie Britannica écrit :

« L’eucharistie est un sacrement chrétien qui commémore l’action posée par Jésus lors de son dernier souper avec ses disciples. (…) Les lettres de Paul et les actes des apôtres indiquent clairement que dans les premiers temps du christianisme, les chrétiens croyaient que cette institution incluait un mandat de perpétuer cette célébration. (…) L’eucharistie est un rite fondamental de l’adoration chrétienne. »[2] (traduction libre)
2. Il a parlé aux gens dès le berceau

Un des miracles mentionnés dans le Coran (mais non dans la Bible) est le fait que Jésus ait parlé aux gens alors qu’il était encore au berceau, afin de protéger sa mère, Marie, des accusations que les gens étaient susceptibles de porter contre elle pour avoir eu un enfant alors qu’elle n’était pas mariée. Lorsque, après la naissance de Jésus, les gens s’approchèrent d’elle stupéfaits, Marie montra Jésus du doigt et il parla miraculeusement, tel que Dieu l’avait promis à Marie lorsqu’Il lui avait annoncé qu’elle aurait un enfant.

« Il parlera aux gens dès le berceau. Et en son âge mûr, et il sera du nombre des vertueux. » (Coran 3:46)

Jésus dit aux gens :

« Je suis vraiment le serviteur de Dieu. Il m’a donné le Livre et m’a fait prophète; Il a fait de moi une source de bénédiction où que je sois, et Il m’a enjoint la prière et la zakat tant que je vivrai. Il m’a rendu dévoué envers ma mère et Il ne m’a fait ni insolent ni misérable. Que la paix soit sur moi le jour où je naquis, le jour où je mourrai et le jour où je serai ressuscité! » (Coran 19:30-33)
3. … et cela devient un véritable oiseau

Dans le Coran, Dieu mentionne un miracle accompli par nul autre à part Jésus, avec Sa permission. C’est un miracle qui s’apparente à la façon dont Dieu Lui-même a créé Adam. Dieu rapporte les paroles de Jésus :

« Pour vous, je façonne la glaise et lui fais prendre la forme d’un oiseau; puis, je souffle dedans et, par la permission de Dieu, cela devient un véritable oiseau. » (Coran 3:49)

Ce miracle n’est pas mentionné dans le Nouveau Testament, mais il en est fait mention dans l’Évangile de l’enfance de Jésus, selon Thomas (deuxième verset), livre non-canonique. « Ce petit enfant Jésus, âgé de cinq ans, jouait, après un orage, au bord d'une rivière. (…) Ensuite, ayant pris de la terre glaise, il pétrit douze petits moineaux. Mais Jésus frappa dans ses mains et cria aux moineaux " Partez ! " Les oisillons déployèrent leurs ailes et s'envolèrent en pépiant. »
 

4. ll guérit l’aveugle et le lépreux

Comme il est mentionné dans le Nouveau Testament [3], le Coran mentionne également que Jésus guérissait l’aveugle et le lépreux.

« Je guéris l’aveugle-né et le lépreux… » (Coran 3:49)

À l’époque de Jésus, les juifs étaient relativement avancés dans les sciences médicales et ils en étaient très fiers. C’est pour cela que Dieu a donné à Jésus la possibilité d’accomplir des miracles de cette nature, pour que les juifs comprennent qu’aucune force de la nature ne pouvait arriver à tels résultats.
5. Il ressuscite les morts

« … et je ressuscite les morts par la permission de Dieu. » (Coran 3:49)

La résurrection, comme la création de l’oiseau, était un miracle incomparable, un miracle qui aurait dû convaincre les juifs de croire en la mission prophétique de Jésus et de ne plus en douter. Dans le Nouveau Testament, on mentionne trois personnes que Jésus aurait ressuscitées par la permission de Dieu : la fille de Jaïrus (Mathieu 9:18, 23; Marc 5:22, 35; Luc 8:40, 49), le fils de la veuve, à Naïn (Luc 7:11) et Lazare (Jean 11:43)
6. Les provisions d’aujourd’hui et de demain

Dieu avait donné à Jésus la possibilité de savoir ce que les gens venaient tout juste de manger et ce qu’ils avaient en réserve pour les jours à venir. Dieu dit :

« Et je suis à même de vous dire ce que vous venez de manger tout comme ce que vous gardez en réserve dans vos maisons. Dans tout cela, il y a certes un signe, pour vous, si vous êtes croyants. » (Coran 3:49)
Une manifestation de la vérité

Comme d’autres prophètes, Jésus a accompli des miracles afin de convaincre les sceptiques du caractère véridique de sa mission et non pas pour leur faire croire qu’il possédait une quelconque divinité. Le Coran dit :

« Dans tout cela, il y a certes un signe, pour vous, si vous êtes croyants. » (Coran 3:49)

Ces miracles ont été accomplis uniquement par la permission de Dieu; s’Il n’avait pas souhaité leur réalisation, ils ne se seraient jamais réalisés. Dieu le mentionne de façon explicite dans le Coran, précisant que ces miracles se sont produits…

« … par la permission de Dieu. » (Coran 3:49; 5:10)

Bien que les musulmans ne puissent le confirmer, la Bible, à travers certaines narrations, affirme que Jésus a parfois échoué à accomplir des miracles. Une fois, alors qu’il souhaitait guérir un aveugle, il échoua à sa première tentative et dû essayer de nouveau (Marc 8:22-26). Une autre fois, « Il ne put faire là aucun miracle, si ce n'est qu'il imposa les mains à quelques malades et les guérit. » (Marc 6:5)

Il demeure qu’en réalité, ce n’est pas par sa seule volonté que Jésus a accompli des miracles. Ils ne se sont réalisés que par la volonté de Dieu Tout-Puissant – un fait qui est aussi mentionné clairement dans la Bible :

« … cet homme dont Dieu vous a montré qu'il l'approuvait en accomplissant, par son moyen, au milieu de vous des miracles, des signes et des actes extraordinaires. » (Actes 2:22)

Histoire du Prophète Jésus Christ ( 'Issa ) Islam Coran
 

Simo40

Bladinaute averti
Contes d'anciens, c'est la bible païenne ton Coran, mal traduit et faussé en arabe.
Isa /parole de vérité accouché d'un syam (recherche d'al LAH étude du Coran qui en résulte /accouché une parole de vérité ISA)
 
quelqu'un m'a dit

Le côté fonctionnel et pratique de la Loi islamique m’a vraiment impressionné, à l’époque, moi qui était issu, je le répète, d’un milieu chrétien. Le fait qu’on trouve, en islam, des enseignements détaillés dont l’objectif visé est facile à atteindre, qui sont faciles à mettre en pratique et qui sont en harmonie avec la nature humaine est vraiment une grande bénédiction. L’absence de tels enseignements est un des plus grands problèmes du christianisme. Par exemple, relativement à la cohésion sociale et aux interactions entre les gens, les plus grands enseignements que l’on puisse trouver dans le Nouveau Testament sont ceux auxquels on réfère en tant que « paroles dures de Jésus » :

« Vous avez appris qu'il a été dit : œil pour œil, et dent pour dent. Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant. Si quelqu'un te frappe sur la joue droite, présente-lui aussi l'autre. Si quelqu'un veut plaider contre toi, et prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau. Si quelqu'un te force à faire un mille, fais-en deux avec lui. Donne à celui qui te demande, et ne te détourne pas de celui qui veut emprunter de toi. Vous avez appris qu'il a été dit : tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis : aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car Il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et Il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous? Les publicains aussi n'agissent-ils pas de même? Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d'extraordinaire? Les païens aussi n'agissent-ils pas de même? Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. » (Matthieu 5:38-48)

Les érudits chrétiens sont eux-mêmes perplexes. Comment appliquer de tels enseignements? Un seul exemple d’une discussion relative à ces paroles suffira à démontrer à quel point ces enseignements peuvent être déroutants pour ceux qui y croient fermement :

« [Pour interpréter ces paroles], le modèle proposé par Joachim Jeremias est simple, représentatif et d’influence continue. Selon ce modèle, ce sermon est habituellement perçu de l’une des trois façons suivantes : (1) comme un code perfectionniste, parfaitement en accord avec le légalisme du judaïsme rabbinique; (2) comme un idéal impossible à atteindre destiné à pousser le croyant d’abord vers le désespoir, puis à placer sa confiance en la miséricorde de Dieu; (3) comme un système moral provisoire qui était d’abord destiné à une période déterminée et qui est maintenant dépassé. Jeremias ajoute une quatrième thèse personnelle : ce sermon est une représentation de la vie naissante dans le royaume de Dieu, qui présuppose, pour la rendre possible, l’expérience de la conversion. Des schématisations plus complexes et détaillées ont été suggérées, mais la majorité des grands commentateurs offrent des explications qui rejoignent celles proposées par Jeremias. »

En islam, il n’y a pas de tels dilemmes. Les enseignements sont faciles à appliquer, flexibles, pratiques et parfaitement adaptés à la vie quotidienne, même pour un musulman nouvellement converti et vivant dans un milieu non-musulman, comme moi, à l’époque. Le célèbre auteur James A. Michener a aussi remarqué et apprécié cet aspect de l’islam. Dans un de ses premiers écrits sur l’islam, Islam – the Misunderstood Religion (l’islam, la religion incomprise), que j’ai lu, il écrit :

« Le Coran est remarquablement réaliste et pratique là où il aborde les choses de la vie. Dans un verset mémorable, il ordonne : « Lorsque vous contractez une dette à échéance déterminée, mettez-la par écrit. (…) Et appelez comme témoins deux hommes parmi vous. » C’est cette combinaison de dévouement à un seul Dieu et d’enseignements pratiques qui fait du Coran un livre unique. »

Mikhail:Un français ex-chrétien converti à l'Islam

 
Les chrétiens croient que Jésus est vivant en ce moment même et de nombreuses dénominations croient qu’il est non seulement vivant, mais qu’il demeure très actif. Ils croient également qu’il a déjà été ressuscité et qu’il ne mourra plus jamais. Les musulmans croient également que Jésus est toujours vivant, mais contrairement aux chrétiens, ils croient qu’il n’a jamais goûté à la mort et qu’il ne mourra qu’après son retour sur terre. Selon le Coran, les juifs affirment que :

« Nous avons vraiment tué le Messie, Jésus fils de Marie, le messager de Dieu. »
Mais Dieu Lui-même rejette cette affirmation :
« Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié, mais cela leur est apparu ainsi. (...)Ils ne l’ont certainement pas tué ; mais Dieu l’a élevé vers Lui. » (Coran 4:157-8)


Quand le Coran dit que Dieu l’a élevé vers Lui, cela doit être pris au sens littéral; Jésus a été physiquement élevé de la terre jusqu’au ciel, et c’est tout aussi physiquement qu’il redescendra des cieux vers la terre sur les ailes de deux anges. Les chrétiens croient qu’il avait entre 31 et 33 ans lors de son ascension, car ils considèrent que les évangiles synoptiques couvrent environ un an de sa vie. L’évangile de Jean décrit apparemment 3 ans de sa vie, à partir du moment où il a commencé à prêcher. Luc, de son côté, affirme :
« Jésus avait environ trente ans quand il commença à exercer son ministère. Il était, comme on le pensait, le fils de Joseph... » (Luc 3:23)


Les érudits musulmans s’entendent aussi sur l’âge de Jésus lors de son ascension. Hassan al-Basri dit : « Jésus avait 34 ans », tandis que Sa’id bin Moussayyib dit : « Il avait 33 ans », lorsqu’il fut élevé vers les cieux.[1]
« Parmi les gens du Livre, il n’y aura personne qui, avant sa mort, n’aura pas foi en Jésus. Et au Jour de la Résurrection, il sera témoin contre eux. » (Coran 4:159)
Ici, Dieu parle des « Gens du Livre » croyant en Jésus avant la mort de celui-ci, bien après qu’il ait été élevé au ciel, ce qui implique qu’en ce moment, il n’est pas mort. En fait, il demeure auprès de Dieu jusqu’à ce que Celui-ci décide de le renvoyer sur terre. Dieu dit, dans le Coran :
« Au moment de leur mort, Dieu retire l’âme des hommes. Et Il retire de même celles [des gens] qui ne meurent pas, au cours de leur sommeil. Puis Il retient celles des gens dont Il a décrété la mort, tandis qu’Il renvoie les autres jusqu’à un terme fixé. » (Coran 39:42)
Et :
 
« C’est Lui qui prend vos âmes, la nuit; et Il sait ce que vous avez acquis pendant le jour. Puis, Il vous ressuscite le jour venu afin que s’accomplisse le terme qui vous a été fixé. Ensuite, c’est vers Lui que vous retournerez. Il vous rappellera alors ce que vous faisiez. » (Coran 6:60)
Le « terme fixé » fait référence au nombre de jours de nos vies, déjà connu et décidé par Dieu. Dieu a promis à Jésus de le retirer du monde lorsqu’il serait menacé par les mécréants. Dans le Coran, Il mentionne avoir dit à Jésus :
« Ô Jésus! Certes, Je vais mettre fin à ta vie terrestre; Je vais t’élever vers Moi et te débarrasser de ceux qui ne croient pas. » (Coran 3:55)
Dieu a donc rempli sa promesse lorsqu’Il a sauvé Jésus de la crucifixion et Il remplira une autre promesse qu’Il a faite lorsque Jésus reviendra sur terre et terminera sa vie ici – une promesse confirmée dans la révélation faite à Marie :


« Ô Marie! Dieu t’annonce la bonne nouvelle d’une Parole de Sa part. Son nom sera le Messie, Jésus, fils de Marie, illustre en ce monde comme dans l’au-delà et l’un des rapprochés (de Dieu). Il parlera aux gens dès le berceau et en son âge mûr,[2] et il sera du nombre des vertueux. » (Coran 3:45-46)
Comme l’expression « âge mûr » fait référence à un âge plus avancé que le début de la trentaine, cette prophétie renvoie donc au moment où il parlera aux gens, à son retour. Ainsi, cette deuxième promesse (que tous les Gens du Livre croiront en lui avant sa mort) fait référence à sa seconde mission, à son retour sur terre. Lorsqu’il reviendra, il aura le même âge que lorsqu’il a quitté, puis il vivra encore quarante ans.[3] Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :


« Il n’y a aucun autre prophète entre lui (Jésus) et moi, et il redescendra (sur terre). Il demeurera sur terre durant quarante ans; puis, il mourra et les musulmans feront pour lui la prière funéraire. » (Abou Daoud, Ahmed)
Le retour de Jésus se fera à l’approche du Jour Dernier. En fait, son retour sera l’un des signes majeurs de l’approche du Jour Dernier. Dieu révèle, dans le Coran :
« [Jésus] sera un signe de [l’arrivée imminente de] l’Heure. N’ayez donc aucun doute au sujet [de l’Heure] et suivez-Moi. » (Coran 43:61)
Son retour ne sera suivi que de deux ou trois grands signes facilement reconnaissables, dont l’apparition de la Bête[4], le départ des croyants de la terre,[5] n’y laissant que les mécréants, et le lever du soleil à l’Ouest.[6]
Les dix signes majeurs de la fin des temps, qui surviendront avant et après le retour de Jésus, sont énumérés dans un hadith :[7]


« L’Heure ne surviendra qu’après l’apparition de ces dix signes : la fumée, le faux messie, la Bête, le soleil se levant à l’Ouest, le retour de Jésus, fils de Marie, Gog et Magog, et trois secousses sismiques – une à l’Est, une à l’Ouest et une en Arabie, suite auxquelles un grand feu jaillira de la ville d’Aden et poussera les gens jusqu’à l’endroit du rassemblement final. » (Ahmed)
Que Dieu nous préserve de l’incroyance et fasse en sorte que nous ne soyons pas de ceux qui seront témoins de ces derniers moments.
Ahmed Deedat Le Retour de jesus - YouTube

 
Noël et 25 Décembre

Beaucoup de chrétiens ne sont pas conscients que le véritable esprit de respect que les musulmans afficher vers Jésus et sa mère Marie jaillissent de la source de leur foi comme prescrit dans le Saint Coran. La plupart ne savent pas qu'un musulman ne prend pas le nom de Jésus, sans dire Eesa alai-souffle-salaam-à-dire (Jésus la paix soit sur lui).





Jésus est généralement considéré comme ayant été né le 25 Décembre. Cependant, il est de notoriété publique parmi les érudits chrétiens qu'il ne est pas né en ce jour. Il est bien connu que les premières églises chrétiennes ont tenu leur festival en mai Avril, ou Janvier. Les spécialistes de la première de deux siècles AD diffèrent même année où il est né. Certains croire qu'il était né âgé de vingt ans avant la date acceptée actuelle. Alors, comment a été le 25 Décembre sélectionné comme l'anniversaire de Jésus?



L'encyclopédie Grolier dit: "Noël est la fête de la naissance de Jésus-Christ, célébrée le 25 Décembre ... Malgré les croyances au sujet de Christ que les histoires de naissance exprimés, l'église n'a pas observé un festival pour la célébration de l'événement jusqu'au 4 siècle .... depuis 274, sous l'empereur Aurélien, Rome avait célébré la fête de la "Soleil Invincible" sur Décembre 25. Dans l'Église d'Orient, le 6 Janvier, un jour aussi associé avec le solstice d'hiver, a été initialement préféré. Dans cours du temps, cependant, l'Occident a ajouté la date de l'Est comme la fête de l'Epiphanie, et de l'Est ajouté la date occidentale de Noël ".



Alors qui d'autre célébrée le 25 Décembre que le jour de la naissance de leurs dieux avant qu'il a été convenu que le jour de la naissance de Jésus? Eh bien, il ya les gens de l'Inde qui se réjouissent, décorent leurs maisons avec des guirlandes, et donnent des cadeaux à leurs amis ce jour-là. Les habitants de la Chine célèbrent également cette journée et ferment leurs magasins. Bouddha est censé avoir été né ce jour-là. Le grand sauveur et dieu des Perses, Mithra, est également soupçonné d'avoir été né le 25 Décembre longtemps avant la venue de Jésus.



Les Egyptiens ont célébré ce jour comme le jour de naissance de leur sauveur Horus, le dieu égyptien de la lumière et le fils de la "mère vierge» et «reine des cieux" Isis. Osiris, dieu des morts et le monde souterrain en Egypte, le fils de "la Sainte Vierge", a été à nouveau soupçonné d'avoir été né le 25 Décembre.



Les Grecs ont célébré le 25 Décembre comme la naissance d'Hercule, le fils du dieu suprême des Grecs, Zeus, à travers la femme mortelle Alcmène Bacchus, le dieu du vin et des festivités chez les Romains (connus chez les Grecs que Dionysos) était lui aussi né en ce jour.



Adonis, vénéré comme une "mort-et-montante dieu» chez les Grecs, miraculeusement est également né le 25 Décembre. Ses fidèles lui ont tenu un festival annuel qui représente sa mort et sa résurrection, en plein été. Les cérémonies de son anniversaire sont enregistrées comme ayant eu lieu dans la même grotte à Bethléem qui est prétendu avoir été le lieu de naissance de Jésus.



Les Scandinaves ont célébré le 25 Décembre comme la naissance de leur dieu Freyr, le fils de leur dieu suprême des cieux, Odin.



Les Romains ont observé ce jour comme l'anniversaire du dieu du soleil, Natalis Solis Invicti ("Anniversaire de Sol l'invincible"). Il y avait une grande joie et tous les commerces ont été fermés. Il y avait un éclairage et des jeux publics. Cadeaux ont été échangés, et les esclaves ont été livraient à de grandes libertés. Ce sont les mêmes Romains qui allait plus tard présider le concile de Nicée (325 CE) qui a conduit à la reconnaissance chrétienne officielle de la «Trinité», comme la «vraie» nature de Dieu, et le «fait» que Jésus est né sur le 25th of Décembre trop.



En déclin et la chute de l'Empire romain, Gibbon dit: "Les chrétiens romains, ignorant de sa naissance (du Christ), a fixé la fête solennelle au 25 Décembre, le Brumalia ou solstice d'hiver, quand les païens célébraient chaque année la naissance de Sol "vol. II, p. 383.
 
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Chrétiens opposés à Noël



Il ya plusieurs groupes chrétiens qui se opposent à Noël. Par exemple, ils prennent le verset de la Bible dans Jérémie 10: 2-4 comme un avertissement contre la décoration des arbres de Noël.



La version King James dit: "Ainsi parle l'Eternel: Ne imitez pas la voie des nations .... Car les coutumes du peuple sont vaines: On coupe un arbre de la forêt, le travail des mains de l'ouvrier , avec la hache ils pont avec de l'argent et de l'or;. on le fixe avec des clous et des marteaux, pour qu'il bouge pas ".



Afin de comprendre ce sujet, il est utile de retracer une partie de l'histoire de l'évitement de Noël, en particulier ses racines dans le puritanisme.



Les puritains croyaient que l'église du premier siècle modélisé un christianisme que les chrétiens modernes devraient copier. Ils ont tenté de fonder leur foi et de pratique uniquement sur le Nouveau Testament, et leur position sur de Noël reflètent leur engagement à pratiquer une forme scripturaire pur du christianisme. Puritains ont fait valoir que Dieu se réservait la détermination de toutes les formes appropriées de culte, et qu'il désapprouvait toute innovations humaines - même les innovations qui ont célébré les grands événements de salut. Le nom de Noël aussi aliéné de nombreux puritains.





Noël, après tout, signifiait «la masse du Christ." La masse a été méprisé comme une institution catholique romaine qui a miné le concept protestante du Christ, qui se est offert une fois pour toutes. Les puritains de l'évitement passionnée de toute pratique qui a été associé à la Rome papale leur a fait négliger le fait que dans de nombreux pays le nom pour la journée ne avait rien à voir avec la messe catholique, mais se est plutôt concentré sur la naissance de Jésus. La masse n'a pas évolué dans le formulaire abhorré par les protestants que longtemps après Noël a été largement observé. Les deux coutumes avaient histoires séparées, bien interconnecté,.



Comme protestants ardents, puritains identifié l'embrassement du christianisme par l'empereur romain Constantin dans le 300s CE dès le point de la dégénérescence et la corruption de l'église départ. Ils croyaient que la corruption de l'église a été provoquée par l'imbrication de l'église avec l'état romain païen. Pour puritains, Noël était impur car il est entré l'Église romaine dans le courant de cette période. Personne ne connaît la date exacte ni dans quelles circonstances les chrétiens romains ont commencé à célébrer la naissance de leur Seigneur, mais par la mi-300s CE, la pratique a été bien établi.



Jésus est né le 25 Décembre; vous-êtes sûr ?




Quand Jésus est-il né? Surprise !!

 
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