"Les chevaux de Dieu"

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"Les chevaux de Dieu" de Nabil Ayouch en sélection officielle au Festival international du film francophone de Namur

Le dernier long-métrage du réalisateur marocain Nabil Ayouch, "Les chevaux de Dieu", a été retenu en sélection officielle de la 27ème édition du Festival international du film francophone de Namur (FIFF), prévue du 28 septembre au 5 octobre, a-t-on appris vendredi auprès de la direction du FIFF.

"Les chevaux de Dieu", qui traite des attentats terroristes de Casablanca en mai 2003, sera présenté au Festival international du film francophone de Namur en présence du réalisateur et de ses deux comédiens principaux, ajoute-t-on de même source.

Adapté du roman de Mahi Binebine, "Les étoiles de Sidi Moumen", le nouvel opus du réalisateur marocain raconte l'histoire des auteurs des attentats de Casablanca, tous issus du bidonville de Sidi Moumen, où ils menaient une vie chaotique (drogue, violence, chômage, désespoir) jusqu'à ce qu'ils soient recrutés par des islamistes radicaux pour commettre des actes terroristes.

Le film, dont le tournage a eu lieu en 2011 à Casablanca et Fès et qui a nécessité un budget estimé à 3 millions d'euros, a été présenté en sélection officielle de la 65ème édition du Festival international du cinéma de Cannes.

Les films présentés par le passé par Nabil Ayouch au FIFF avaient récolté trois prix dont le "Bayard d'or" des meilleurs comédiens pour Ali Zaoua en 2000.
 
Dans l'extrait, ils mettent en avant un prêche donné aux futurs kamikazes sur la domination de l'empire americano sioniste en laissant entendre que tous ceux qui remettent en cause cette idéologie sont des bombes humaines en herbe.... Quel amalgame vicieux ...

Je vois aussi l'envie de titiller le voyeurisme malsain de petit bourgeois qui aura pu grâce au réalisateur plonger pendant 1 heure dans l'univers des bidonvilles de casablanca à moindre frais. Si c'est que ça y a eu suffisamment de dossiers sur le sujet dans les magazines tel quel et le journal hebdomadaire (avant sa fermeture forcée).

Bref pas étonnant que les jurés occidentaux aiment mais ce sera sans moi.
 
S

Soomy

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Dans l'extrait, ils mettent en avant un prêche donné aux futurs kamikazes sur la domination de l'empire americano sioniste en laissant entendre que tous ceux qui remettent en cause cette idéologie sont des bombes humaines en herbe.... Quel amalgame vicieux ...

Je vois aussi l'envie de titiller le voyeurisme malsain de petit bourgeois qui aura pu grâce au réalisateur plonger pendant 1 heure dans l'univers des bidonvilles de casablanca à moindre frais. Si c'est que ça y a eu suffisamment de dossiers sur le sujet dans les magazines tel quel et le journal hebdomadaire (avant sa fermeture forcée).

Bref pas étonnant que les jurés occidentaux aiment mais ce sera sans moi.

il a décrit pourtant des faits avérés, il n'a rien inventé...
On peut se cacher la face et mais on ne peut pas nier ce qui s'est passé

il faut regarder le film en entier pour juger s'il est bon ou pas...
 
S

Soomy

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C'est pas étonnant venant de ce réalisateur. Je sais pas si tu as vu Ali Zaoua mais c'est son genre
exactement ce film m'a fait penser à Ali Zaoua....limite ca aurait pû etre les mêmes personnages au début, ces enfants des bidonvilles...
Il met mal à l'aise ce film, il décrit une misère sans nom , la face cachée de Casablanca la trépidante
 
il a décrit pourtant des faits avérés, il n'a rien inventé...
On peut se cacher la face et mais on ne peut pas nier ce qui s'est passé

il faut regarder le film en entier pour juger s'il est bon ou pas...

Mais je n'ai pas nié ce qui s'est passé Soumiyah, j'ai senti un certain message véhiculé dans l'extrait mis en avant je ne l'aime pas c'est tout et j'ai expliqué pourquoi.
 
Dans l'extrait, ils mettent en avant un prêche donné aux futurs kamikazes sur la domination de l'empire americano sioniste en laissant entendre que tous ceux qui remettent en cause cette idéologie sont des bombes humaines en herbe.... Quel amalgame vicieux ...

Je vois aussi l'envie de titiller le voyeurisme malsain de petit bourgeois qui aura pu grâce au réalisateur plonger pendant 1 heure dans l'univers des bidonvilles de casablanca à moindre frais. Si c'est que ça y a eu suffisamment de dossiers sur le sujet dans les magazines tel quel et le journal hebdomadaire (avant sa fermeture forcée).

Oui enfin en même temps, tu nous expliqueras comment on peut faire un film sur des jeunes radicalisés dans des bidonvilles sans montrer ces bidonvilles ni expliquer leur quotidien de vie :).

Dire que si des occidentaux vont le voir ensuite est par voyeurisme envers la réalité des bidonvilles et non par simple intérêt envers la situation, relève un peu du parti-pris.
 
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