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Christine Lagarde à la BCE: pour le meilleur ou pour le pire?
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[QUOTE="remake, post: 16364017, member: 285471"] Christine Lagarde : départ en fanfare Paris Match | Publié le 06/10/2019 à 08h50 De notre envoyée spéciale à Washington [U]Marie-Pierre Gröndahl[/U] [U][IMG alt="Christine Lagarde, 63 ans, en robe Chanel. Avec son mari, Xavier Giocanti, son fils Thomas Lagarde (debout au centre) et sa femme, Taylor, son neveu Edouard Lallouette (à dr.) et le fils de Xavier, Arthur (à g.). Au FMI, le 28 septembre."]https://resize-parismatch.lanmedia.fr/r/625,417,forcex,center-middle/img/var/news/storage/images/paris-match/actu/international/christine-lagarde-depart-en-fanfare-1650756/26935400-1-fre-FR/Christine-Lagarde-depart-en-fanfare.jpg[/IMG][/U] Christine Lagarde, 63 ans, en robe Chanel. Avec son mari, Xavier Giocanti, son fils Thomas Lagarde (debout au centre) et sa femme, Taylor, son neveu Edouard Lallouette (à dr.) et le fils de Xavier, Arthur (à g.). Au FMI, le 28 septembre. Sébastien Micke/Paris Match ×Close [IMG alt="zoom image"]https://cdn-parismatch.lanmedia.fr/assets/images/empty.gif[/IMG] Huit ans après le fiasco de DSK, le FMI a organisé une fête somptueuse pour sa patronne en route pour Francfort Des boubous, des kimonos, des turbans, des saris et des voiles multicolores. Et même un kilt de gala. A 18 heures tapantes, le 28 septembre, comme exigé en lettres dorées sur fond blanc par le carton d’invitation, le Tout-Washington des affaires et du pouvoir a été convié pour dire au revoir à Mme la présidente, la Française Christine Lagarde, directrice générale du FMI depuis 2011. Et l’immense atrium du quartier général du Fonds monétaire international, cet espace austère à quelques mètres de la Maison-Blanche où ne se croisent que costumes et tailleurs sombres, se met à ressembler au siège des Nations unies. Une volière chatoyante où se devinent des dizaines de visages célèbres. Parmi les 250 invités en tenue de soirée, la « First Daughter », [U]Ivanka Trump[/U], cheveux coupés au carré, robe décolletée bleu nuit, et son mari, Jared Kuschner, Alan Greenspan, 93 ans, le mythique ancien président de la Fed, la banque centrale américaine, appuyé sur une canne mais l’œil vif, et la première femme à avoir dirigé cette institution, Janet Yellen, Lakshmi Mittal, le milliardaire indien de l’acier, David Rubenstein, le fondateur de Carlyle, l’un des plus puissants fonds d’investissement au monde, David Lipton, le numéro deux du FMI, Kristalina Georgieva, qui vient d’en prendre les rênes, ou encore Adrienne Arsht, avocate, ex-banquière et patronne d’ONG, organisatrice de la soirée. [SIZE=6][B]L'hommage de Bono, leader de U2, déclenche une hilarité générale[/B][/SIZE] Au menu, salade, poulet et cheese-cake, et un spectacle sur mesure pour célébrer la passion de « Madame Lagarde » – en français dans le texte –, la musique : des airs d’opéra, des standards américains, un numéro de claquettes, un extrait du « Lac des cygnes » par une danseuse étoile du ballet de Washington. Sur l’immense écran tendu derrière les musiciens s’égrènent de brefs hommages en vidéo, recueillis par les équipes du FMI un peu partout sur la planète. Certains déclenchent une hilarité générale, comme celui de Bono, leader de U2 : « Quand je suis arrivé dans une petite station suisse où se retrouvent chaque année les puissants du monde, j’ai entendu des participants dire qu’une rock star était attendue à Davos et qu’elle allait secouer le sommet. J’étais assez flatté qu’on parle de moi en ces termes. Avant de réaliser que la rock star en question, ce n’était pas moi, mais Christine Lagarde ! » D’autres sont plus sobres, à l’image de Michael Bloomberg : « Par son action à la tête du FMI, elle a réussi à changer le cours de multiples vies du tout au tout. » Pendant deux heures s’enchaînent les témoignages d’une kyrielle de chefs d’Etat ou de Premiers ministres, dont ceux de Singapour, de Thaïlande, du Japon, comme du milliardaire chinois du Web Jack Ma, fondateur d’Alibaba, ou du gouverneur de la Banque d’Angleterre Mark Carney. Dans ce concert de louanges, le silence quasi total de voix européennes ne passe pas inaperçu. A l’exception de Bruno Le Maire et de Mario Draghi – à qui Christine Lagarde va succéder à Francfort –, aucun Allemand, Italien, Néerlandais ou autre représentant du Vieux Continent n’a pris la parole. « Ce n’est pas de très bon augure pour ses débuts à la tête de la BCE, chuchote un banquier américain. Mais il en faudrait davantage pour lui faire peur. Cette femme a l’habitude de débarquer en territoire hostile. » Comme l’a rappelé David Lipton, le directeur délégué du FMI déjà en poste à l’époque, Christine Lagarde avait écopé de la tempête de 2011, après la démission brutale de Dominique Strauss-Kahn, mis en cause par un scandale sexuel : « Elle a rejoint le Fonds au plus bas et le quitte au plus haut. » [/QUOTE]
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