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Chronologie pour comprendre la crise en Ukraine (Entre Histoire et Géographie)
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[QUOTE="Yancine, post: 17603961, member: 397506"] [B]Pierre-André Taguieff : le néo-*** français en chef[/B] [URL]https://anticons.wordpress.com/tag/taguieff/[/URL] [B]Pierre-André Taguieff tout comme [/B]Raphaël Glucksmann est un idéologue néoconservateur, sioniste et fasciste, compatible avec le nazisme tout comme BHL et consorts. extraits d'un article de [B] Fabrice Garniron[/B], adressé à [B]Taguieff[/B] sur [URL]http://www.newsnet.fr/208841[/URL] Dire que la guerre a débuté le 24 février, date à laquelle les Russes entrent en Ukraine est doublement erroné. D’abord parce cette guerre commence en réalité il y a huit ans à la suite d’un putsch et n’a pas cessé depuis. Erroné encore parce que l’intervention russe, manifestement décidée dans l’urgence, fait suite aux bombardements intenses de Kiev sur le Donbass à la mi février 2022, soit environ une semaine avant le 24. Cette soudaine recrudescence des bombardements, constatée par l’OSCE, était à l’évidence le prélude à une attaque terrestre des forces de Kiev, comme le montrent les effectifs considérables des troupes ukrainiennes massées à la frontière ouest du Donbass. On n’a d’autant moins de raisons d’en douter que les autorités de Kiev ne cachaient nullement leur volonté de récupérer le Donbass et la Crimée, leur reconquête ayant même fait l’objet d’un décret du président Zélinski le 24 mars 2021. Outre l’OSCE, cette version de la chronologie des événements est confirmée tant par Jacques Baud, ancien responsable des services du renseignement suisse, que par Richard Black, ancien sénateur de Virginie et général américain. La guerre commence donc le 16 février, et non pas le 24, malgré les tentatives réitérées de la Russie depuis 2014 de parvenir à une solution pacifique, notamment par son soutien aux accords de Minsk de 2014 et 2015, mais aussi du fait de ses démarches dans les dernières semaines de l’année 2021. Celles-ci se sont heurtées à l’indifférence des États-Unis, qui ne semblaient pas plus disposés à envisager en Ukraine un quelconque compromis sur la base des accords de Minsk qu’une architecture globale de sécurité en Europe. Bien au contraire, le 19 février, soit quelques jours avant l’intervention russe, leur protégé, le président Zelensky, déclarait qu’il comptait abroger le protocole de Budapest de 1994 qui interdisait à l’Ukraine de se doter de l’arme atomique. Il est même devenu courant, pour conforter les rituelles positions antirusses et égarer l’opinion, d’évoquer les scores électoraux effectivement dérisoires des partis en question. Sauf, que la dite extrême droite a placé ses hommes au centre de l’État et des forces armées, avec la complicité des gouvernants et de leurs mentors américains. Les faits qui le montrent sont nombreux et accablants. Et surtout, ce que cachent ces résultats modestes des partis officiellement pro nazis, c’est que les partis qui ne le sont pas semblent eux-mêmes être sous leur influence. N’est-il pas pour le moins troublant, par exemple, qu’un personnage comme Stepan Bandera, qui se revendiquait lui-même comme national-socialiste, ait été très officiellement glorifié comme un héros national avec statues et rues à son nom ? Côté ukrainien, on argue du fait que Bandera a été emprisonné par l’Allemagne nazie de 1942 à 1944. Certes, mais cela efface-t-il les massacres auxquelles son organisation OUN-B a participé avant et après sa libération par les nazis ? Faudrait-il également oublier que pendant la durée de cette détention, nombre de militants de son organisation ont prêté main-forte aux nazis dans leurs massacres génocidaires ? Citons à ce propos Pierre Lorrain : « Des activistes de l’OUN-B avaient secondé avec efficacité, parfois devancé, Einsaztgruppen ». Le fait que le nationalisme ukrainien, même quand il n’est pas nazi, refuse de rompre avec ce passé est politiquement inquiétant et moralement compromettant. Et il est assez consternant qu’en Occident une petite musique indigne suggère de trouver des excuses à ce national-socialisme sous prétexte qu’il est ukrainien. N’est-il pas révélateur, qu’en décembre 2020, à l’ONU, les États-Unis et l’Ukraine aient été les seuls États à s’être opposés à une motion proposée par la Russie condamnant les tentatives de réhabilitation du nazisme ? Si les pays de l’UE ont choisi (courageusement…) de s’abstenir, tous les autres États du monde ont voté pour la motion russe. Malgré toutes les tentatives visant à ne voir-là qu’une manœuvre russe, il s’agit bien pour le bloc occidental de ne rien faire contre les dérives révisionnistes de leurs protégés baltes et ukrainiens. [/QUOTE]
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