De la circoncision à l'amputation

Paru le 2008-09-28 13:15:00

Kentucky, États-Unis - Philip Seaton, 61 ans, a intenté un procès au chirurgien qui l'a opéré le 19 octobre dernier. Venu se faire circoncire, l'homme a découvert à son réveil qu'on l'avait amputé du pénis.

M. Seaton et sa femme réclament plusieurs millions de dollars de compensation au Dr. John M. Patterson et à l'établissement hospitalier employant ce dernier, Commonwealth Urology, pour "perte d'usage, d'amour et de dignité".

Le chirurgien aurait amputé M. Seaton du pénis après avoir détecté un cancer chez son patient. Kevin George, avocat de l'hôpital, a précisé que des tests post-opératoires avaient confirmé la présence de cette maladie chez M. Seaton.

Durant le procès, qui a débuté courant septembre, l'avocat du plaignant a expliqué que le chirurgien avait agi sans le consentement de M. Seaton ou de son épouse, leur retirant de fait la possibilité de prendre connaissance d'un second avis médical.

Le procès continue.
 
:D MDR moi j'ai toujours demandé une "générale" quand j'ai eu le choix... question de trouille... ;)

y a pas mal de personne qui choississent la general parckil ont la trouille mais aussi parckil parait que la local est plus douloureux que la general au reveil, enfin c est ce que disent les anesthesistes
 

fredke

Capitaine Haddock
certains pays pratiquent à tout va l'amputation du clitoris, pratique qui mérite aussi des procès car elle prive la femme de nombreux plaisirs.
 
Paru le 2008-09-28 13:15:00

Kentucky, États-Unis - Philip Seaton, 61 ans, a intenté un procès au chirurgien qui l'a opéré le 19 octobre dernier. Venu se faire circoncire, l'homme a découvert à son réveil qu'on l'avait amputé du pénis.

M. Seaton et sa femme réclament plusieurs millions de dollars de compensation au Dr. John M. Patterson et à l'établissement hospitalier employant ce dernier, Commonwealth Urology, pour "perte d'usage, d'amour et de dignité".

Le chirurgien aurait amputé M. Seaton du pénis après avoir détecté un cancer chez son patient. Kevin George, avocat de l'hôpital, a précisé que des tests post-opératoires avaient confirmé la présence de cette maladie chez M. Seaton.

Durant le procès, qui a débuté courant septembre, l'avocat du plaignant a expliqué que le chirurgien avait agi sans le consentement de M. Seaton ou de son épouse, leur retirant de fait la possibilité de prendre connaissance d'un second avis médical.

Le procès continue.


suis ***** peut etre ....

mais j ai toujours cru que l homme ne peut vivre sans son engin !!!!

suis chamboulée la :eek:

sincerement vous venez de deboussoler ma culture generale
 
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