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Mohamed el-Maadi, né le 2 janvier 1902 à la Séfia en Algérie et mort en Égypte vers 1954, est un nationaliste algérien. Fils du Caïd Mahfuz al-Ma'adi, Bachagha, commandeur de la Légion d'honneur et d'une française.
Citations ;
Et si j’admets et préconise le racisme quand il signifie sélection et protection contre le métissage d’une race déterminée afin de lui conserver ses vertus, je réprouve le racisme camouflé des démocraties qui, sous couvert de la civilisation, assassine et dépouille les plus faibles.
Ce qu’en haut on appelle le racisme devient en bas de la vulgaire xénophobie. Alors, les mesquines rivalité de la vie, de coude à coude populaire, et des basses querelles de la ruelle s’échappent des propos d’échoppe et de trottoir, où la couleur de peau, la race et la religion se traduisent en griefs et insultes […].
Ce que le racisme demande justement, c’est que la race conserve intacte les caractéristiques de son histoire, et de son rapport au progrès humain. Il ne détruit pas, mais il restitue à chacun sa part pour qu’il l’augmente et la fasse mieux contribuer aux besoins de l’humanité. Le racisme n’implique pas la haine entre les races, mais stimule l’effort de tous. Il ne catalogue pas l’espèce, mais la sélectionne. Il rend aux lois biologiques toute leur force, et à la nature une logique trop longtemps bafouée […][36].
Dîtes moi, dans le respect, avec franchise, objectivité, intelligence, courage et bonne foi, ce que vous en pensez ?
Citations ;
Et si j’admets et préconise le racisme quand il signifie sélection et protection contre le métissage d’une race déterminée afin de lui conserver ses vertus, je réprouve le racisme camouflé des démocraties qui, sous couvert de la civilisation, assassine et dépouille les plus faibles.
Ce qu’en haut on appelle le racisme devient en bas de la vulgaire xénophobie. Alors, les mesquines rivalité de la vie, de coude à coude populaire, et des basses querelles de la ruelle s’échappent des propos d’échoppe et de trottoir, où la couleur de peau, la race et la religion se traduisent en griefs et insultes […].
Ce que le racisme demande justement, c’est que la race conserve intacte les caractéristiques de son histoire, et de son rapport au progrès humain. Il ne détruit pas, mais il restitue à chacun sa part pour qu’il l’augmente et la fasse mieux contribuer aux besoins de l’humanité. Le racisme n’implique pas la haine entre les races, mais stimule l’effort de tous. Il ne catalogue pas l’espèce, mais la sélectionne. Il rend aux lois biologiques toute leur force, et à la nature une logique trop longtemps bafouée […][36].
Dîtes moi, dans le respect, avec franchise, objectivité, intelligence, courage et bonne foi, ce que vous en pensez ?
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