salam
La colère est une émotion comme les autres. Elle est utile. Elle dénote de l’insatisfaction d’un besoin. La réprimer est malsain et dégrade notre santé mentale et physique.
Donc, il est essentiel d’accepter notre colère…et de l’exprimer dans un processus non-violent qui laisser émerger des demandes claires. C’est ainsi que nous nous nous libérerons et avancerons.
De plus, si nous agissons ainsi, nos enfants nous imiteront et apprendront à mieux gérer leur propre « tempête émotionnelle ». Leur entourage vous dira merci (gratitude). Et eux-aussi.
Accepter le fait que nous nous mettrons parfois en colère dans nos rapports avec les enfants.Nous avons le droit de nous fâcher sans nous sentir coupable ou honteux.Nous avons le droit d’exprimer ce que nous ressentons. Une seule contrainte : on peut exprimer de la colère à condition de ne pas attaquer la personnalité ou le caractère de l’enfant. Ce processus se concrétise ainsi (si on se sert de la méthode de communication non-violente de Marshall B. Rosenberg) :
Décrire ce que l’on voit/entend/… sans juger.
« Quand je vois les jouets en désordre/que tu frappes ton frère/… » « quand j’entends… » « Quand je vous appelle pour le diner… »
Cette étape est essentielle pour la résolution car elle informe autrui de nos émotions (et cela suffit parfois) et elle fait baisser l’intensité de l’émotion ressentie (la verbalisation émotionnelle calme l’amygdale dans le cerveau).Exprimer nos sentiments sans accuser autrui :
« Je suis fâché. »
« Je suis en colère. »
« Je suis en fureur ! »
« Je me sens révolté »
Ou métaphoriquement (le cerveau adore les images et c’est un excellent moyen de communiquer) :
« Je sors de mes gonds »
« C’est l’orage à l’intérieur de moi »
« Je suis en train de bouillir ! »
Notez l’utilisation du « je » au lieu du « tu ».Ou avec un peu plus de distance (on est ainsi moins affecté) : au lieu de dire « je suis en colère », dire plutôt « je ressens de la colère ».Identifier le besoin insatisfait
« J’ai besoin d’avoir une maison rangée » « J’ai besoin d’un zeste de reconnaissance » « j’ai besoin de me reposer ».
La phrase qui débute par « j’ai besoin de… » introduit le besoin qui fait défaut. Il vous est propre.Demander clairement à l’autre ce dont nous avons besoin
« Je te demande de ranger » « merci de… » …
Les expressions qui attisent la colère
Voici les expressions qui attisent la colère (et autres émotions désagréables) côté parent e côté enfant , augmentent la frustration sans offrir d’issue :
« J’en ai marre… »
« Combien de fois dois-je répéter… »
« Attendez que votre père rentre… »
« Je te préviens… »
« Tu es vraiment insupportable »
« Qu’est que j’ai fait pour mériter ça ! »
La colère est une émotion comme les autres. Elle est utile. Elle dénote de l’insatisfaction d’un besoin. La réprimer est malsain et dégrade notre santé mentale et physique.
Donc, il est essentiel d’accepter notre colère…et de l’exprimer dans un processus non-violent qui laisser émerger des demandes claires. C’est ainsi que nous nous nous libérerons et avancerons.
De plus, si nous agissons ainsi, nos enfants nous imiteront et apprendront à mieux gérer leur propre « tempête émotionnelle ». Leur entourage vous dira merci (gratitude). Et eux-aussi.
Accepter le fait que nous nous mettrons parfois en colère dans nos rapports avec les enfants.Nous avons le droit de nous fâcher sans nous sentir coupable ou honteux.Nous avons le droit d’exprimer ce que nous ressentons. Une seule contrainte : on peut exprimer de la colère à condition de ne pas attaquer la personnalité ou le caractère de l’enfant. Ce processus se concrétise ainsi (si on se sert de la méthode de communication non-violente de Marshall B. Rosenberg) :
Décrire ce que l’on voit/entend/… sans juger.
« Quand je vois les jouets en désordre/que tu frappes ton frère/… » « quand j’entends… » « Quand je vous appelle pour le diner… »
Cette étape est essentielle pour la résolution car elle informe autrui de nos émotions (et cela suffit parfois) et elle fait baisser l’intensité de l’émotion ressentie (la verbalisation émotionnelle calme l’amygdale dans le cerveau).Exprimer nos sentiments sans accuser autrui :
« Je suis fâché. »
« Je suis en colère. »
« Je suis en fureur ! »
« Je me sens révolté »
Ou métaphoriquement (le cerveau adore les images et c’est un excellent moyen de communiquer) :
« Je sors de mes gonds »
« C’est l’orage à l’intérieur de moi »
« Je suis en train de bouillir ! »
Notez l’utilisation du « je » au lieu du « tu ».Ou avec un peu plus de distance (on est ainsi moins affecté) : au lieu de dire « je suis en colère », dire plutôt « je ressens de la colère ».Identifier le besoin insatisfait
« J’ai besoin d’avoir une maison rangée » « J’ai besoin d’un zeste de reconnaissance » « j’ai besoin de me reposer ».
La phrase qui débute par « j’ai besoin de… » introduit le besoin qui fait défaut. Il vous est propre.Demander clairement à l’autre ce dont nous avons besoin
« Je te demande de ranger » « merci de… » …
Les expressions qui attisent la colère
Voici les expressions qui attisent la colère (et autres émotions désagréables) côté parent e côté enfant , augmentent la frustration sans offrir d’issue :
« J’en ai marre… »
« Combien de fois dois-je répéter… »
« Attendez que votre père rentre… »
« Je te préviens… »
« Tu es vraiment insupportable »
« Qu’est que j’ai fait pour mériter ça ! »