Les choses les plus cruelles de ce livre concernent précisément les enfants :
«
Lorsque nous discutons du meurtre d’enfants… nous devons prendre en compte l’énorme risque associé à ce qu’ils feront une fois adultes». C’est pourquoi il a été «
décidé qu’il est interdit d’aider une femme non juive en travail ou d’allaiter son enfant, afin de ne pas contribuer à susciter un autre idolâtre… C’est ce qu’a dit le prophète Isaïe (14:21), qui a appelé à tuer tous les nourrissons de Babylone, même s’ils sont petits et n’ont pas l’âge de raison, car il est clair pour nous qu’ils suivront les traces de leurs pères et [nous] causeront du tort» (p. 206).
Et d’ailleurs, un peu plus loin :
«
Nous concluons qu’il est logique de tuer des enfants s’il est clair qu’ils grandiront et deviendront nos ennemis ; dans un tel cas, nous entendons en réalité leur propre destruction» (p. 207).
Ce livre (
Torat ha-Melech) a été publié en Israël en 2009. Les autorités ont tenté de l’interdire et ont persécuté ses auteurs, deux honorables rabbins, Yitzhak Shapira et Yosef Elitzur. Mais cette tentative est restée vaine, car les juifs religieux ont insisté sur le fait qu’il s’agissait d’une présentation fidèle de la foi juive.
Maintenant, dotés du
postulat de Netanyahou, nous pouvons reconsidérer l’histoire juive.
Après avoir tué Notre Seigneur Jésus-Christ, les juifs ont massacré de nombreuses personnes ; le premier fut saint Étienne et le dernier un enfant de Gaza. Mais ils étaient surtout connus pour leurs prêts d’argent. Or l’usure est aussi une forme de meurtre, car saint Ambroise, dans son commentaire sur Deutéronome 23,19, écrit :
«
Pratiquer le prêt usuraire avec celui qu’il ne serait pas criminel de tuer : là où il y a droit de guerre, il y a aussi droit d’usure».
Ceux qui partagent l’Eucharistie avec leurs frères et sœurs spirituels n’exigent pas d’usure. Là où l’Eucharistie a été éradiquée, l’usure, l’exploitation sans limites et l’esclavage apparaissent immédiatement. L’esclavage fut introduit par les calvinistes et les juifs en Amérique du Nord, cent ans après que l’Eucharistie (apportée par les frères franciscains) eut uni les autochtones et les Européens en une seule Église [dans l’Amérique ibérique]. Dans son ouvrage plein d’esprit «
Catch-22», Joseph Heller cite un général qui, incrédule, demande à son aumônier :
«
Les hommes enrôlés prient-ils le même dieu que nous ?»
C’est l’idée d’un monde sans Eucharistie commune. Ce n’est pas en vain que le Talmud interdit à un juif de boire du vin avec un non-juif, car boire du vin en commun est une forme d’acte religieux eucharistique.
De nombreux crimes juifs antérieurs ont été confirmés au cours de l’histoire. Le cas du jeune Italien, saint Simon de Trente, a été confirmé par le Dr Ariel Toaff, expert juif italien, dans son livre «
Pâques sanglantes». L’empoisonnement des puits a été confirmé par le Dr Ilan Pappe, historien de la Nakba. Mais c’est grâce au Premier ministre Netanyahou que tout l’édifice du déni s’est effondré. En tant que Premier ministre juif dûment nommé, il a officiellement approuvé cette logique : si l’on reconnaît le massacre de Gaza, il faut également reconnaître le bilan historique des crimes juifs médiévaux : meurtres d’enfants, empoisonnement des puits, etc. Si nous avons été témoins du massacre de Gaza, nous devrions accepter la conclusion logique selon laquelle les précédentes accusations de meurtre rituel étaient tout aussi vraies.
Cependant, à titre individuel, cette histoire de diffamation rituelle est tout aussi facile à balayer d’un revers de main. Des millions de juifs ont quitté le judaïsme et sont devenus des individus libres. Certains sont devenus chrétiens, d’autres musulmans, d’autres communistes, etc. Il existe une voie d’entrée dans le judaïsme, mais il existe aussi une voie de sortie. Le massacre de Gaza est précisément un événement de ce type, susceptible de provoquer une sortie massive des juifs face à la criminalité croissante du judaïsme. Laissons Netanyahou et ses sbires dans un splendide isolement.
source :
Entre la plume et l’enclume