Comment j'ai quitté l'athéisme

Les opinions de chacuns me fascinent, je m'y retrouve, et si ce n'est pas le cas, la curiosité me pousse à comprendre l'opinion de la personne.

Il y'a quelque chose de splendide, d'indescriptible, lorsqu'on comprend quelqu'un.
Parce qu'une personne à une histoire, du vécu, à enduré, triché, menti, regretté, raté, réessayé, selon son propre environnement.

Alors les connaissances de quelqu'un, ont une valeur inestimable à mon sens, la personne ne les à pas acquises comme on commande un kebab frites.

Des fois j'ai plus l'énergie de m'ouvrir et de chercher à comprendre les autres...

Mais c'est cette énergie qui se nomme la foi en fait je présume. C'est comme se relever.

D'aimer comprendre et bien progresser, pour des raisons qui me dépassent, alors que ça semblait si vain.

Des fois c'est tellement fort comme sentiment, j'agit n'importe comment, et je doit assumer mes erreurs par la suite, car c'est moi qui agit, même si j'ai été influencée ou endoctrinée qu'importe, je doit avoir les pieds sur terre et être responsable, car sinon, qui va me comprendre ? Sans chercher à exacerber mon mal-être ou à l'incriminer ?
Qui pourrait, avoir la capacité de dissiper mes tourments ??

Toi qui lit, tu es tombé sur ce thread à cet instant, mais rien ne t'obliges à me comprendre, peut-être même que ça ne te parleras pas, je ne peut pas savoir.
Mais pourquoi tu es tombé dessus à cet instant dans ta vie et qu'est-ce qu'il t'évoque sont des questions importantes, auxquelles je peut certes répondre de manière logique.
Si tu penses que la nature humaine est toujours logique.. Soit.

C'est pas vraiment nommable ce que j'explique. Mais à bons entendeurs/ses.

@Lenha oui c'est de bonne guerre, et inspiré de ton thread "j'ai quitté l'islam"
^^
Moi je m'en fiche pas.
 

L'athéisme est difficile

"Le difficile est d’être seul.
Sans Dieu. Sans amis. Sans amours.
L’athéisme est difficile, et plus d’un y échouent. Il ne suffit pas de ne pas croire, pas plus qu’il ne suffit, pour savoir ce que c’est que la nuit, de fermer les yeux… Le néant est un mystère d’abord, et l’on s’invente toujours des soleils. Je sais des athées de naissance plus religieux que certains prêtres. Il est préférable, peut-être, pour devenir athée, d’avoir été croyant : on sait ce dont on parle, et cela rend vigilant contre les idoles. C’est la lucidité des apostats.
Faire le tour de l’athéisme. Comprendre qu’il ne reste alors ni beau, ni bien, ni vrai peut-être. Se perdre dans ce désert. Qui n’a pas fait ce voyage ne peut rien penser vraiment, et pas même ce que c’est que Dieu, s’il existe. Simone Weil l’a bien vu, après Descartes : la foi suppose un athéisme préalable qu’elle dépasse, sans quoi elle n’est que superstition et religiosité. Le vide est l’élément premier qui rend possible le plein. Dans la Bible, Dieu ne crée pas les ténèbres, mais constate leur préexistence ; et les atomes d’Epicure, éternels absolument, tombent dans un vide qui pourtant, en chaque lieu, les précède. Le néant existe d’abord. Il est la première vérité : la vérité du silence.
Faire le tour aussi de ses amis. Les perdre tous. Comprendre une bonne fois leur solitude égale à la mienne, et l’accepter. Toucher le fond de leur indifférence. Est-il besoin d’en parler ? Chacun sait ce que je veux dire, ou n’a pas eu d’amis - mais les rêve. Pascal est cruel ici, mais nécessaire. Il faut commencer par la solitude.
Et puis le désamour. N’être plus aimé n’est pas grand chose, encore qu’il faille le vivre. Mais ne plus aimer soi-même, ne plus aimer du tout, comprendre que l’amour n’est rien, qu’il n’existe pas, ou qu’il n’est que sa propre illusion… Il faut avoir aimé pour comprendre cela, pour ne plus attendre de l’amour ce qu’il ne peut apporter, pour savoir que l’amour ne change rien à la solitude, ne change rien à rien, ne change rien même à l’amour… Toucher le fond de sa propre indifférence.
Enfin, la mort. Réaliser ce que c’est que mourir. Ce néant-là est aussi profond que l’autre, moins vaste peut-être, mais plus sévère. Narcisse s’affole à s’imaginer absent. Il faut être Narcisse un peu pour comprendre, car la mort est égoïste. Les autres ne meurent pas vraiment ; ils nous quittent, ils s’en vont… Et la déchirure est atroce, je le sais, et horrible la blessure. Mais justement : c’est une blessure. Moi seul je suis mortel, et ma mort est l’unique scandale. Point besoin de raisonner : il suffit de l’imaginer pour la craindre, et mon corps m’apprend assez qu’il la refuse. "Je n’existe pas" : phrase impossible ; et pourtant, cela sera. Ceux qui n’ont pas connu cette peur manquent d’imagination, voilà tout, ou de lucidité. Ma mort est mon horizon et ma limite. Elle est ce qui me définit, et les dieux sont immortels parce qu’ils n’existent pas. Mourir est le prix à payer d’être soi. La mort est solitude." (
André Comte-Sponville)
 

compassion

il y a, un 3aflite dans chaque bougie
VIB
Les opinions de chacuns me fascinent, je m'y retrouve, et si ce n'est pas le cas, la curiosité me pousse à comprendre l'opinion de la personne.

Il y'a quelque chose de splendide, d'indescriptible, lorsqu'on comprend quelqu'un.
Parce qu'une personne à une histoire, du vécu, à enduré, triché, menti, regretté, raté, réessayé, selon son propre environnement.

Alors les connaissances de quelqu'un, ont une valeur inestimable à mon sens, la personne ne les à pas acquises comme on commande un kebab frites.

Des fois j'ai plus l'énergie de m'ouvrir et de chercher à comprendre les autres...

Mais c'est cette énergie qui se nomme la foi en fait je présume. C'est comme se relever.

D'aimer comprendre et bien progresser, pour des raisons qui me dépassent, alors que ça semblait si vain.

Des fois c'est tellement fort comme sentiment, j'agit n'importe comment, et je doit assumer mes erreurs par la suite, car c'est moi qui agit, même si j'ai été influencée ou endoctrinée qu'importe, je doit avoir les pieds sur terre et être responsable, car sinon, qui va me comprendre ? Sans chercher à exacerber mon mal-être ou à l'incriminer ?
Qui pourrait, avoir la capacité de dissiper mes tourments ??

Toi qui lit, tu es tombé sur ce thread à cet instant, mais rien ne t'obliges à me comprendre, peut-être même que ça ne te parleras pas, je ne peut pas savoir.
Mais pourquoi tu es tombé dessus à cet instant dans ta vie et qu'est-ce qu'il t'évoque sont des questions importantes, auxquelles je peut certes répondre de manière logique.
Si tu penses que la nature humaine est toujours logique.. Soit.

C'est pas vraiment nommable ce que j'explique. Mais à bons entendeurs/ses.

@Lenha oui c'est de bonne guerre, et inspiré de ton thread "j'ai quitté l'islam"
^^
Moi je m'en fiche pas.
Il me semble que j’avais fait déjà fait un intitulé qui disait la même chose
 
J'attends avec impatience pour lire les bladinautes sionistes pour savoir comment ils ont fait pour quitter le judaïsme ?
Ils ont été nombreux après la Shoah au motif que Dieu n'avait pas pu permettre cela. Et comme cela a bien eu lieu la conclusion a été que Dieu n'existe pas.
Il y a eu aussi Aron Lustiger, dont le grand père était rabbin et qui s'est converti au christianisme où il est devenu par la suite le cardinal Jean-Marie Lustiger.

Pendant la Semaine sainte de 1940, au cours d'une visite de la cathédrale d'Orléans, Aron Lustiger ressent le désir de se convertir au catholicisme. « Là, témoignera-t-il, j'ai eu l'intuition que ce que je pensais de la condition juive trouvait dans la figure du Messie son sens et un certain aboutissement » Toute sa vie, il explique que son christianisme n'a jamais signifié un renoncement à son identité juive. (wikipedia)
 

Morad

Modérateur
Modérateur
Les opinions de chacuns me fascinent, je m'y retrouve, et si ce n'est pas le cas, la curiosité me pousse à comprendre l'opinion de la personne.

Il y'a quelque chose de splendide, d'indescriptible, lorsqu'on comprend quelqu'un.
Parce qu'une personne à une histoire, du vécu, à enduré, triché, menti, regretté, raté, réessayé, selon son propre environnement.

Alors les connaissances de quelqu'un, ont une valeur inestimable à mon sens, la personne ne les à pas acquises comme on commande un kebab frites.

Des fois j'ai plus l'énergie de m'ouvrir et de chercher à comprendre les autres...

Mais c'est cette énergie qui se nomme la foi en fait je présume. C'est comme se relever.

D'aimer comprendre et bien progresser, pour des raisons qui me dépassent, alors que ça semblait si vain.

Des fois c'est tellement fort comme sentiment, j'agit n'importe comment, et je doit assumer mes erreurs par la suite, car c'est moi qui agit, même si j'ai été influencée ou endoctrinée qu'importe, je doit avoir les pieds sur terre et être responsable, car sinon, qui va me comprendre ? Sans chercher à exacerber mon mal-être ou à l'incriminer ?
Qui pourrait, avoir la capacité de dissiper mes tourments ??

Toi qui lit, tu es tombé sur ce thread à cet instant, mais rien ne t'obliges à me comprendre, peut-être même que ça ne te parleras pas, je ne peut pas savoir.
Mais pourquoi tu es tombé dessus à cet instant dans ta vie et qu'est-ce qu'il t'évoque sont des questions importantes, auxquelles je peut certes répondre de manière logique.
Si tu penses que la nature humaine est toujours logique.. Soit.

C'est pas vraiment nommable ce que j'explique. Mais à bons entendeurs/ses.

@Lenha oui c'est de bonne guerre, et inspiré de ton thread "j'ai quitté l'islam"
^^
Moi je m'en fiche pas.
Cette envie forte qu’on a , c’est la vie qui veut s’exprimer à travers « Nous » …c’est aussi ton « Moi » qui s’exprime @Hinatata …. En te lisant je comprends la « foi » comme quelque chose en Nous qui nous fait lever plusieurs matins par semaine avec une envie forte d’aimer « nôtre sort »….. Et une envie de laisser s’exprimer en conversation les envies des autres avec un cap teinté de ton expérience…. Rendre des croyances bien molles car sans réel vision avec l’ Autre surtout quand il s’agit d’hommes c’est amusant….Car la croyance a une limite, une limite personnelle…. Expliquer à une femme que la culpabilité est juste un mot comme le mot « compréhension » , «compassion »ou « acceptation » c’est tout de suite plus sérieux, plus grave , plus paternel … En pour cela, la religion a un bienfait qui est la cryptonite de la passion après coup …. La religion donne un cadre , l’athéisme va monopoliser l’espace qu’avait la religion mais juste en cassant le côté Autoritaire …. La religion c’est : « tu fais ça et tu te tais ensuite tu comprendras que c’était pour ton bien …. ». L’Atheisme , c’est des « pourquoi » mais uniquement dans la réaction « fais ci fais ça » de la religion…. Quitter l’Atheisme, est-ce que ce n’est pas claquer la porte à la confiance que l’on a de nos idées…. En comprenant que nos idées sont aussi limitées…. Un dogmatisme idéologique comme les autres..Car les Athées bien organisés pourraient bientôt protéger se façon autoritaire et devenir eux même un symbole du patriarcat qui dit : « quoi faire » pour être pour un bon athée 😊😊
 
L'athéisme c'est de croire en moi... oui le $€£€ 😂
Non, nous ne sommes pas les enfants d'Epicure: la consommation n'est qu'un fétichisme, autrement dit un ersatz de religion. Précisément ce qu'honnissait le père du matérialisme...
Contrairement à ce qui est souvent affirmé péremptoirement, notre société ne ressemble pas du tout à une société matérialiste. Elle cultive une adoration sans bornes pour les biens de consommation. Les logos et les marques comblent le vide laissé par la mort de Dieu. Cela n'a rien à voir avec le matérialisme, qui est une doctrine qui affirme la liberté et nous délivre des attachements douteux. Dans ce geste de détachement gît la grande leçon d'Epicure, le père de tous les matérialismes. Le goût de notre époque pour le clinquant et l'éphémère prouve que le matérialisme n'a pas triomphé. Mais alors qu'est-ce que le matérialisme, si étranger à notre société? N'offre-t-il pas une issue pour s'extirper des maux dont souffre l'humanité?
Athéisme et matérialisme sont en fait frères jumeaux, naissant d'un même refus, d'une même insurrection de l'esprit - vivre debout, dans la fierté d'être un homme. L'athéisme n'a rien de spontané. L'être humain est d'abord croyant, ou du moins crédule, l'imagination, faculté qui le détache des autres animaux, lui montrant des forces occultes et des dieux partout Le plus grand des philosophes anglais, le matérialiste Thomas Hobbes (1588-1679), renverse, dans son Léviathan, le caractère inné de la raison: «La raison ne naît pas avec nous... on l'atteint par industrie.» Or, dans l'histoire de l'espèce humaine, l'imagination, fabricatrice de dieux, précède la raison, dont le matérialisme et l'athéisme sont des résultats. A l'image de la liberté, l'athéisme est le fruit d'un travail, il représente un arrachement. Sommes-nous, hommes et femmes de l'Occident prospère, athées? La désertion relative des cultes et la liberté des moeurs ne prouvent rien. La situation sociologique de notre époque, pointée par Nietzsche comme celle de la «mort de Dieu», n'est donc pas un athéisme; c'est une indifférence, qui a fait glisser la crédulité vers d'autres objets (ceux de la consommation), et qui n'exclut pas un retour des formes anciennes de la religion
Certains hommes politiques continuent de présenter la religion comme une consolation devant les duretés de l'existence. La croyance en un au-delà ne sert-elle pas, dans ce cas de figure, à plier sans broncher devant les ravages de l'ultracapitalisme?
(Robert Redeker)

 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Ils ont été nombreux après la Shoah au motif que Dieu n'avait pas pu permettre cela. Et comme cela a bien eu lieu la conclusion a été que Dieu n'existe pas.
Il y a eu aussi Aron Lustiger, dont le grand père était rabbin et qui s'est converti au christianisme où il est devenu par la suite le cardinal Jean-Marie Lustiger.

Pendant la Semaine sainte de 1940, au cours d'une visite de la cathédrale d'Orléans, Aron Lustiger ressent le désir de se convertir au catholicisme. « Là, témoignera-t-il, j'ai eu l'intuition que ce que je pensais de la condition juive trouvait dans la figure du Messie son sens et un certain aboutissement » Toute sa vie, il explique que son christianisme n'a jamais signifié un renoncement à son identité juive. (wikipedia)

Il y a d'autres Juifs qui ont persisté dans leur foi, disant que si les Juifs renonçaient à leur religion, cela voudrait dire concéder à Hitler une victoire post-mortem.

Bottom line : je respecte les Juifs apostats, qui ont pas supporté le traumatisme de la Shoah et le silence de Dieu. Mais je respecte aussi les Juifs qui sont restés dans leur religion.

Je crois pas qu'il y ait une seule réaction qui soit respectable.
 
Cette envie forte qu’on a , c’est la vie qui veut s’exprimer à travers « Nous » …c’est aussi ton « Moi » qui s’exprime @Hinatata …. En te lisant je comprends la « foi » comme quelque chose en Nous qui nous fait lever plusieurs matins par semaine avec une envie forte d’aimer « nôtre sort »….. Et une envie de laisser s’exprimer en conversation les envies des autres avec un cap teinté de ton expérience…. Rendre des croyances bien molles car sans réel vision avec l’ Autre surtout quand il s’agit d’hommes c’est amusant….Car la croyance a une limite, une limite personnelle…. Expliquer à une femme que la culpabilité est juste un mot comme le mot « compréhension » , «compassion »ou « acceptation » c’est tout de suite plus sérieux, plus grave , plus paternel … En pour cela, la religion a un bienfait qui est la cryptonite de la passion après coup …. La religion donne un cadre , l’athéisme va monopoliser l’espace qu’avait la religion mais juste en cassant le côté Autoritaire …. La religion c’est : « tu fais ça et tu te tais ensuite tu comprendras que c’était pour ton bien …. ». L’Atheisme , c’est des « pourquoi » mais uniquement dans la réaction « fais ci fais ça » de la religion…. Quitter l’Atheisme, est-ce que ce n’est pas claquer la porte à la confiance que l’on a de nos idées…. En comprenant que nos idées sont aussi limitées…. Un dogmatisme idéologique comme les autres..Car les Athées bien organisés pourraient bientôt protéger se façon autoritaire et devenir eux même un symbole du patriarcat qui dit : « quoi faire » pour être pour un bon athée 😊😊
Va droit au but tu es pire que moi x)
Tant que la responsabilité masculine envers la gente féminine, ne devient pas un prétexte pour utiliser celle-ci contre son gré franchement je suis d'accord à propos de ton point de vue.
C'est vrai que dans l'athéisme pas besoin de manipuler, puisqu'aduler quelqu'un est peut-être plus courant dans ce contexte.
 
Il y a d'autres Juifs qui ont persisté dans leur foi, disant que si les Juifs renonçaient à leur religion, cela voudrait dire concéder à Hitler une victoire post-mortem.

Bottom line : je respecte les Juifs apostats, qui ont pas supporté le traumatisme de la Shoah et le silence de Dieu. Mais je respecte aussi les Juifs qui sont restés dans leur religion.

Je crois pas qu'il y ait une seule réaction qui soit respectable.

Les mots en gras me rappellent singulièrement une chanson dont les mots, dit-on, ont été trouvés sur un mur d'un camp de concentration. C'est ce qu'on raconte.

I believe in the Sun,
I believe in the Sun,
Even when, even when
It is not shining

I believe in Love,
I believe in Love,
Even when, even when
I don't feel it

I believe in God
I believe in God
Even when, even when
He is silent
 
Dernière édition:

Morad

Modérateur
Modérateur
Le point commun est d’abord l’ envie de communiquer par l’écriture comme la plupart ici d’ailleurs 😊😊…. Ensuite la religion devient un instrument de domination qui arrange bien les machos. 😄😄. Avec l’Atheisme le macho devra trouver autre chose quand il se fait ramollir par une femme…
 
Ils ont été nombreux après la Shoah au motif que Dieu n'avait pas pu permettre cela. Et comme cela a bien eu lieu la conclusion a été que Dieu n'existe pas.
Il y a eu aussi Aron Lustiger, dont le grand père était rabbin et qui s'est converti au christianisme où il est devenu par la suite le cardinal Jean-Marie Lustiger.

Pendant la Semaine sainte de 1940, au cours d'une visite de la cathédrale d'Orléans, Aron Lustiger ressent le désir de se convertir au catholicisme. « Là, témoignera-t-il, j'ai eu l'intuition que ce que je pensais de la condition juive trouvait dans la figure du Messie son sens et un certain aboutissement » Toute sa vie, il explique que son christianisme n'a jamais signifié un renoncement à son identité juive. (wikipedia)

Avant la Shoah,

J'ai en tête le cas de Bergson, de son vrai nom Bereksohn, qui s'était converti intérieurement au Catholicisme mais sans se faire baptiser par solidarité, dit-on, avec son peuple dont il anticipait le devenir. Si mes souvenirs sont bons, il a également demandé la présence d'un prêtre à son inhumation.

Il y a aussi le cas de Simone Weil, mais a priori son père était agnostique.
 
Le point commun est d’abord l’ envie de communiquer par l’écriture comme la plupart ici d’ailleurs 😊😊…. Ensuite la religion devient un instrument de domination qui arrange bien les machos. 😄😄. Avec l’Atheisme le macho devra trouver autre chose quand il se fait ramollir par une femme…
dan levy happy pride GIF by MTV Movie & TV Awards

?
 
C'est vraiment triste de finir par avoir peur de ses propres sentiments.
Il suffit de les verbaliser.
Et ce que je trouve triste c'est que le contexte religieux dans ma famille à empêcher ça pour ma part alors que ce n'est pas le but...
Je veut dire ça devient limite pathétique là.
C'est normal que la genre féminine adoucisse la gente masculine. Ne pas l'accepter avec force, ne fait que du tort.
 

Morad

Modérateur
Modérateur
C'est vraiment triste de finir par avoir peur de ses propres sentiments.
Il suffit de les verbaliser.
Et ce que je trouve triste c'est que le contexte religieux dans ma famille à empêcher ça pour ma part alors que ce n'est pas le but...
Je veut dire ça devient limite pathétique là.
C'est normal que la genre féminine adoucisse la gente masculine. Ne pas l'accepter avec force, ne fait que du tort.
Il y a aussi beaucoup d’hommes hétéro et féministes…. Le fait qu’une femme découvre une sensibilité chez un homme sur des sujets sur ce qu’elle pensait un domaine de femmes peut révéler la dureté des relations avec les masculins depuis l’enfance et en famille aussi …. Sur des sujets impossible en famille et que seuls des filles peuvent comprendre, il y a beaucoup d’hommes à l’aise …. Les hommes qui ont eu comme modèle leur mère.. ou une éducation strictement maternelle …etc Tu les retrouveras dans tes rangs…. Par forcément par rapport à leur orientation mais par rapport à leur compréhension du genre masculin et sont côté abruti abouti …. C’est un délice de comprendre le macho en tant qu’homme équilibré du point du genre et de l’orientation… Et surtout en tant qu’ homme qui a bien compris la part des énergies féminines chez l’homme … ( refoulées chez l’individu lambda ) ….Les hommes souvent en guerre avec la place que doit avoir la femme en société ont cela en eux de façon inconsciente ….
 
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