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[QUOTE="mam80, post: 16171567, member: 228134"] pour une jihadiste franco-tunisienne, le "califat n'est pas fini" Oum Youssef a foulé le sol du "califat" en 2014 pour porter, dit-elle, librement son niqab. Cette Franco-Tunisienne rêve toujours d'un "Etat islamique" en dépit de la déroute du groupe EI, confiné dans moins d'un demi-kilomètre carré dans l'est syrien. "Le califat n'est pas fini", clame avec défiance la jeune femme de 21 ans, tout de noir vêtue, à peine sortie du dernier réduit de l'EI à Baghouz. S'égarant du rassemblement, la jeune femme semble chercher des journalistes pour leur confier son histoire, similaire à celle de nombreuses "femmes du califat". Dans le désert de la province de Deir Ezzor, où elle a été transportée comme des milliers de femmes, enfants, Oum Youssef continue de défendre avec ferveur l'organisation ultraradicale. Oum Youssef, qui accepte de s'exprimer à l'unique condition que son vrai nom ne soit pas publié, affirme avoir rejoint l'EI en [URL='https://www.lepoint.fr/tags/syrie']Syrie[/URL] en 2014 pour vivre son islam. "Porter le niqab était difficile en [URL='https://www.lepoint.fr/tags/france']France[/URL], un peu moins en [URL='https://www.lepoint.fr/tags/tunisie']Tunisie[/URL]", dit-elle même si, dans son récit, elle affirme n'avoir jamais vécu en France. Sa nationalité française lui a été transmise par son père qui avait travaillé dix ans en France. Très jeune, elle a vécu quelques années avec sa mère au [URL='https://www.lepoint.fr/tags/canada']Canada[/URL] avant de retourner en Tunisie, où elle avait été inscrite dans une école française. S'exprimant parfois en arabe et parfois en anglais, cette jeune femme de grande taille et loquace, n'exprime ni déception ni repentance, et esquisse des sourires ironiques. "Je ne veux rien de la France, je refuse même la nationalité. Quant à la Tunisie, elle ne réclame pas" le retour des ses jihadistes, dit-elle avec mépris. Si, en France, son nom ne figure pas dans les listes de la justice, son cas est dans les radars du ministère tunisien de l'Intérieur. Elle "est connue par les services du ministère et est poursuivie judiciairement", a indiqué le porte-parole Sofiène Zaag, sans fournir davantage de détails. [B]"Contrainte"[/B] Le parcours d'Oum Youssef en Syrie a débuté en octobre 2014 lorsqu'elle décide de rallier le pays en guerre avec sa mère via la Turquie pour rejoindre l'EI. Sur place, elle épouse d'abord un jihadiste marocain tué plus tard dans les combats, selon son récit. Elle a de lui deux enfants, une fille et un garçon. En terre du "califat", elle épouse en seconde noce un combattant originaire de Lattaquié (Syrie), dont elle dit ne pas avoir de nouvelles. Dans le désert de Deir Ezzor, Oum Youssef attend de retrouver sa mère et ses deux enfants, qui avaient fui il y un mois le réduit jihadiste. .../... [/QUOTE]
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