En 1994, le mathématicien et cryptographe américain Leonard Adleman avait ouvert la voie, en montrant comment de l’ADN de synthèse peut être utilisé pour effectuer des calculs.
Après les premières démonstrations de stockage d’information sous forme de brins d’ADN synthétique, des industriels se sont lancés dans la bataille, à l’image de Microsoft. Son centre de recherches a réalisé une prouesse en 2016, avec pas moins de deux cents mégaoctets de données converties en ADN, soit l’équivalent d’une quarantaine de chansons sous forme de fichiers MP3.
Préservé au sec, et à l’abri de la lumière, l’ADN peut se conserver des milliers d’années, à l’image du génome d’un homo sapiens vieux de 45 000 ans décodé en 2014.
Après les premières démonstrations de stockage d’information sous forme de brins d’ADN synthétique, des industriels se sont lancés dans la bataille, à l’image de Microsoft. Son centre de recherches a réalisé une prouesse en 2016, avec pas moins de deux cents mégaoctets de données converties en ADN, soit l’équivalent d’une quarantaine de chansons sous forme de fichiers MP3.
Préservé au sec, et à l’abri de la lumière, l’ADN peut se conserver des milliers d’années, à l’image du génome d’un homo sapiens vieux de 45 000 ans décodé en 2014.