Contrôle au faciès : le procureur demande que les lycéens qui poursuivent l'état pour discrimination

Le procureur du tribunal de grande instance de Paris a demandé lundi 22 octobre que les trois lycéens d'Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) qui assignaient l'État et le ministère de l'Intérieur en justice pour discrimination "raciale" soient déboutés, rapporte une journaliste de France Inter. Ils estimaient avoir été victimes de discrimination "raciale" après avoir fait l'objet d'un contrôle d'identité à la gare du Nord en 2017.

"Injustement contrôlés"
Le procureur a expliqué s'en référer "à l'État de droit" et a défendu le contrôle fait par les forces de police dans le cadre de la loi, tout en disant comprendre que les jeunes aient pu se sentir "injustement contrôlés". Il a d'ailleurs rappelé que c'était le parquet qui avait demandé ces contrôles sur l'ensemble de la gare du Nord.

De retour d'un voyage de classe en Belgique, en mars 2017, les lycéens de cette classe de terminale estiment avoir était la cible d'un "contrôle au faciès" et espèrent faire condamner l'Etat pour discrimination. Le tribunal de Paris rendra son jugement le 17 décembre

francetvinfo
 
dire que des milliers et des milliers de jeunes noirs, basanés, arabo-berbères ... attendent en Méditerranée pour avoir le plaisir d'être contrôlés à la Gare du Nord ....

certains paient même de leur vie et qui terminent comme nourriture à poisson, le plaisir, non plus que çà l'honneur ..... d'être contrôlés , humiliés , sous-payés, rejetés , insultés, discriminés ....

ils donnent même de l'argent pour l'être .... :D

ce n'est pas le policier blanc Français qu'il faut traiter de lâche ...
 
Le procureur du tribunal de grande instance de Paris a demandé lundi 22 octobre que les trois lycéens d'Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) qui assignaient l'État et le ministère de l'Intérieur en justice pour discrimination "raciale" soient déboutés, rapporte une journaliste de France Inter. Ils estimaient avoir été victimes de discrimination "raciale" après avoir fait l'objet d'un contrôle d'identité à la gare du Nord en 2017.

"Injustement contrôlés"
Le procureur a expliqué s'en référer "à l'État de droit" et a défendu le contrôle fait par les forces de police dans le cadre de la loi, tout en disant comprendre que les jeunes aient pu se sentir "injustement contrôlés". Il a d'ailleurs rappelé que c'était le parquet qui avait demandé ces contrôles sur l'ensemble de la gare du Nord.

De retour d'un voyage de classe en Belgique, en mars 2017, les lycéens de cette classe de terminale estiment avoir était la cible d'un "contrôle au faciès" et espèrent faire condamner l'Etat pour discrimination. Le tribunal de Paris rendra son jugement le 17 décembre

francetvinfo


C'est vrai que c'est un contrôle pour délit de sale gueule, mais c'est improuvable et la loi autorise les agents de police de faire des contrôles d'identité sans raison... nous ne sommes plus dans les années 80.....
 
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