Les barons de lhabitat anarchique à Aïn Chock ont scellé une alliance avec des élus de lactuel conseil dArrondissement mouillés jusquau cou dans laffaire du milliard de centimes parti en fumé, entre autres. Lobjectif est de faire main basse sur la Commune et «étouffer» des dossiers qui pourraient «exploser» à nimporte quel moment au cas où un autre Bureau prend les commandes de cet arrondissement.
Ces «dossiers» concernent notamment des violations des dispositions du code de lurbanisme ayant émaillé la gestion de lactuel Bureau, des livraisons des permis dhabiter sans aucun respect des lois en vigueur et laffaire du milliard de centimes détourné qui est actuellement entre les mains du juge dinstruction auprès du tribunal de première instance de Casablanca. Dans le cadre de cette dernière affaire, quatre régisseurs ont été écroués et le juge dinstruction poursuit encore son enquête avec dautres responsables à lArrondissement de Aïn Chock. Ce sont ces derniers qui ont conclu un «accord» avec des barons de lhabitat anarchique dans larrondissement pour prendre les rênes de la gestion des affaires locales dans cette zone, devenue depuis des années un site de lhabitat insalubre à léchelle nationale. Tout cela est un secret de Polichinelle au niveau du Grand Casablanca.
La question qui se pose et simpose est pourquoi les autorités locales et centrales ferment-elles les yeux sur cet état de choses ?
Plus grave encore est comment ces autorités acceptent-elles que des «profils» pareils se présentent aux élections communales ? Surtout que ces élus rompus à la roublardise et la corruption, sous toutes ses formes, ne lésinent pas sur les moyens et recourent à des pratiques qui battent en brèche la démocratie locale pour arracher les voix des électeurs. Depuis quelques jours, ils ont recruté des dizaines de courtiers qui vont sillonner les ruelles de Aïn Chock et Sidi Maârouf pour faire campagne à leurs mentors. Ces pratiques poussent les citoyens à ne plus aller aux urnes le jour du scrutin. Cest ce que ces fossoyeurs de la démocratie mettent à profit pour passer. «La fin justifie les moyens».
Ces «dossiers» concernent notamment des violations des dispositions du code de lurbanisme ayant émaillé la gestion de lactuel Bureau, des livraisons des permis dhabiter sans aucun respect des lois en vigueur et laffaire du milliard de centimes détourné qui est actuellement entre les mains du juge dinstruction auprès du tribunal de première instance de Casablanca. Dans le cadre de cette dernière affaire, quatre régisseurs ont été écroués et le juge dinstruction poursuit encore son enquête avec dautres responsables à lArrondissement de Aïn Chock. Ce sont ces derniers qui ont conclu un «accord» avec des barons de lhabitat anarchique dans larrondissement pour prendre les rênes de la gestion des affaires locales dans cette zone, devenue depuis des années un site de lhabitat insalubre à léchelle nationale. Tout cela est un secret de Polichinelle au niveau du Grand Casablanca.
La question qui se pose et simpose est pourquoi les autorités locales et centrales ferment-elles les yeux sur cet état de choses ?
Plus grave encore est comment ces autorités acceptent-elles que des «profils» pareils se présentent aux élections communales ? Surtout que ces élus rompus à la roublardise et la corruption, sous toutes ses formes, ne lésinent pas sur les moyens et recourent à des pratiques qui battent en brèche la démocratie locale pour arracher les voix des électeurs. Depuis quelques jours, ils ont recruté des dizaines de courtiers qui vont sillonner les ruelles de Aïn Chock et Sidi Maârouf pour faire campagne à leurs mentors. Ces pratiques poussent les citoyens à ne plus aller aux urnes le jour du scrutin. Cest ce que ces fossoyeurs de la démocratie mettent à profit pour passer. «La fin justifie les moyens».