Le cours du bitcoin s'envole après avoir été déclaré halal

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Il n'a suffi que d'un rapport d'une organisation de microfinance indonésienne selon lequel le Bitcoin est halal pour faire grimper son cours de plus de 1.000 dollars en quelques heures.
« Le bitcoin est permis en principe, car il est considéré comme reflétant le prix du marché dans les échanges internationaux et est accepté comme moyen de paiement auprès de beaucoup de commerçants », indiquent les auteurs de ce rapport.
Il n'en fallait pas moins pour que le cours de la monnaie virtuelle prenne plus de (...)

- Economie / Bitcoin, Halal, Indonesie, Egypte

Le cours du Bitcoin s'envole après avoir été déclaré Halal
 
Le bitcoin est une arnaque mondiale , de la spéculation incontrôlable à l'état pur

Une catastrophe financière et économique future si on laisse prospérer une telle " monnaie" qui échappe au contrôle des états





Il n'a suffi que d'un rapport d'une organisation de microfinance indonésienne selon lequel le Bitcoin est halal pour faire grimper son cours de plus de 1.000 dollars en quelques heures.
« Le bitcoin est permis en principe, car il est considéré comme reflétant le prix du marché dans les échanges internationaux et est accepté comme moyen de paiement auprès de beaucoup de commerçants », indiquent les auteurs de ce rapport.
Il n'en fallait pas moins pour que le cours de la monnaie virtuelle prenne plus de (...)

- Economie / Bitcoin, Halal, Indonesie, Egypte

Le cours du Bitcoin s'envole après avoir été déclaré Halal
 
salam @31Toulousain,

c'est quoi exactement à quoi ça sert? j'ai pas compris bitcoins?
Le Bitcoin, la monnaie de la liberté

Le bitcoin est une monnaie numérique basée sur des algorithmes cryptographiques et qui permet d’effectuer des paiements en toute sécurité et à tout moment au moyen d’une simple connexion internet. N’importe qui peut acquérir des bitcoins, par exemple sur un site d’échange en ligne (tel que Kraken.com ou Bitstamp.net) ou en mettant la puissance de son ordinateur au service du réseau (en participant au processus de création par ‘minage‘ des bitcoins). Certaines entreprises offrent même la possibilité à leurs employés de recevoir une partie de leur salaire en bitcoins ! Il est alors possible d’utiliser ces bitcoins comme un moyen de paiement sur internet, sûr, rapide, anonyme et avec des frais de transaction très réduits.
Mais la véritable innovation du Bitcoin est qu’il repose sur un logiciel open source et décentralisé : c’est l’ensemble des participants qui prend en charge l’émission de la monnaie et la gestion des transactions effectuées, en s’échangeant constamment des messages sur un réseau peer-to-peer semblable à Bittorrent. De toutes ces interactions émerge un consensus sur l’état global du système et sur l’état de chaque compte (ou ‘adresse’ dans le jargon Bitcoin).
La monnaie est ainsi complètement dématérialisée et réduite à sa plus simple expression : un échange d’information dans le monde digital traduisant un transfert de biens et de services dans le monde réel, à la manière d’un grand registre consultable librement par tous et à tout moment. Par exemple, si Alice veut transférer 5 bitcoins à Bob, il lui suffit de signer avec sa clé secrète un message spécifique mentionnant l’adresse de Bob, et de propager ce message sur le réseau Bitcoin. En quelques secondes, tous les participants sont alors avertis de la transaction et mettront à jour leur copie du registre en créditant le compte de Bob des 5 bitcoins soustraits du compte d’Alice.
UNE MONNAIE LIBERTARIENNE
En s’affranchissant du modèle des banques centrales sur lequel se basent les monnaies fiduciaires comme l’euro ou le dollar, le bitcoin a aussi gagné en transparence et en indépendance. En transparence, car les règles dictant l’émission de monnaie sont codées dans le logiciel et connues de tous. En indépendance car ces règles ne peuvent être changées qu’avec l’approbation de la majorité des participants. Cette approche offre un contraste saisissant par rapport aux monnaies classiques, soumises aux aléas des politiques monétaires obscures des banques centrales.
Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le Bitcoin est apparu en 2009, au plus fort de la crise des subprimes et du renflouement des banques par les contribuables. Cette crise trouve en effet son origine dans la politique monétaire accommodante de la Réserve Fédérale américaine, qui en modifiant ses taux d’intérêts de façon spectaculaire entre 2001 et 2007, a provoqué l’apparition d’une bulle hypothécaire puis son éclatement brutal avec les conséquences désastreuses que l’on connaît.
En soulignant le rôle fondamental des banques centrales dans le cycle des crises économiques, le Bitcoin s’inscrit dans la lignée directe des économistes de l’École autrichienne (notamment Friedrich Hayek et Ludwig von Mises) qui rejettent les interventions étatiques dans l’économie comme étant contre-productives. Comme alternative, ces économistes préconisent plutôt le principe des banques libres, répandues avant la première guerre mondiale, ou encore le système de l’étalon-or dans lequel la monnaie est convertible en or à un taux fixe.
Ces idées sont également défendues par les philosophes libertariens qui considèrent les interventions des banques centrales comme une atteinte aux libertés individuelles. En effet, les monnaies fiduciaires tirent l’essentiel de leur valeur de leur caractère légal (et obligatoire), notamment pour le paiement des taxes et impôts. A contrario, l’utilisation du bitcoin étant libre, sa valeur fluctue en fonction de l’intérêt qu’il suscite et de la demande qui en résulte. Son cours est donc intimement lié aux services qu’il peut rendre (en tant que moyen de paiement), et à sa crédibilité (en tant que réserve de valeur). En s’ouvrant au jeu de la concurrence, les monnaies cryptographiques nous incitent donc à reconsidérer le rôle de la monnaie dans la société, pour le plus grand bénéfice des citoyens.
https://www.contrepoints.org/2017/01/04/276673-bitcoin-monnaie-de-liberte
 
Blockchain : Est-ce le futur de la démocratie ?
Refonder la démocratie, rendre le pouvoir au peuple, par le peuple et pour le peuple est-il possible grâce à cette technologie ?

L’invention de la technologie cryptographique blockchain née avec le Bitcoin a permis de répondre à de nombreux problèmes pratiques dans le domaine des échanges, grâce à son principe de registre décentralisé et totalement sécurisé.
Le Bitcoin a révolutionné la façon dont nous voyons la monnaie, permettant de réaliser des paiements globalement sans intermédiaire. Cela a suscité d'innombrables idées d’applications dans d’autres secteurs de l’économie ou de la société.
Refonder la démocratie, rendre le pouvoir au peuple, par le peuple et pour le peuple est-il possible grâce à cette technologie ?
La baisse de légitimité des institutions démocratiques pourrait par exemple être enrayée en appliquant cette technologie car il est fréquent lors des élections que l’intégrité du vote soit remise en question.
Les allégations de fraude ou de piratage, qu’elles soient avérées ou non suscitent inévitablement une baisse de confiance des citoyens dans les institutions.
Le système de vote classique est basé sur le principe du registre centralisé. Celui-ci peut être corrompu (fraude électorale, piratage), certains citoyens peuvent en être exclus arbitrairement et il peut subir des problèmes techniques (bugs informatiques ou pannes des machines de vote). Les registres décentralisés de type blockchain ne rencontrent pas ce genre de difficultés et offrent un vote incorruptible et immuable via un réseau décentralisé pour un résultat transparent sur une base de données ouverte et accessible à tous.
Il est même envisageable d’utiliser la technologie blockchain pour faire évoluer l’institution démocratique en changeant le système de vote. C’est en tout cas le pari que font certaines organisations non gouvernementales, telles que Democracy Earth et Flux qui veulent se servir de la technologie blockchain pour instaurer de nouvelles formes de démocratie directe ou de démocratie liquide.
La démocratie liquide appelée également démocratie délégative est une forme de vote fluide pour lequel la technologie blockchain est particulièrement adaptée. L’électeur reçoit un jeton vote pour chaque question sur laquelle il est amené à se prononcer et a le choix de voter directement ou de donner son je jeton vote à un délégué qui a sa confiance pour certaines questions trop techniques. Il peut par exemple choisir de donner son vote à un délégué de droite pour une question économique, à un délégué de gauche pour une question de société et voter lui-même sur une question liée aux relations internationales ou simplement déléguer sa puissance de vote à une personne jusqu’à ce qu’il décide de changer de délégué.
Paix en Colombie
Une expérience intéressante a été menée par Democracy Earth lors du référendum en Colombie sur les accords de paix entre le gouvernement et la guérilla marxiste FARC en octobre 2016. L’ONG organisa un vote parallèle via la technologie blockchain pour les expatriés qui ne pouvaient voter au référendum officiel.
Le projet d’accord sur lequel la population était invitée dans le référendum officiel à se prononcer par oui ou par non fut décomposé en 7 sous-questions. Une centaine de jetons de vote furent distribués à chaque électeur de ce vote blockchain et il leur fut demandé de dépenser leurs jetons de vote en oui ou non à chacune de ces sous-questions, en allouant le nombre de jeton selon leurs préférences.
Le non l’emporta de justesse au référendum officiel mais les résultats du vote blockchain permirent de comprendre qu’une seule partie de l’accord posait réellement problème aux électeurs. La conclusion de cette expérience est que ce type de vote liquide permet à la population d’exprimer des opinions plus nuancées et aux pouvoir publiques de mieux comprendre l’opinion populaire pour mieux répondre à ses aspirations légitimes.
Quelle sera la contribution de la technologie blockchain au futur de la démocratie ? Nul ne le sait encore réellement mais les possibilités offertes sont déjà nombreuses et les innovations ne demandent qu’à être découvertes et mises en œuvre.
 
Le bitcoin est une arnaque mondiale , de la spéculation incontrôlable à l'état pur

Une catastrophe financière et économique future si on laisse prospérer une telle " monnaie" qui échappe au contrôle des états

Tu peux bien sur rester dans les bras confortable de vous joli gouvernements , ce n'est pas vraiment mal les gouvernements et les banques.
 
y a rien qui echappe aux états le jours ou l état le decidera elle s en occupera
Non , impossible
ils ont tout essayer avec le réseau torrent , ça n'a pas marché.

C'est décentralisé , il n'ya rien a interdire , ni personne a juger ou mettre sous les verraus.

La blockchain a était crée pour échapper au pouvoir central , et il fait très bien son rôle
 
Je vois que les autres intervenants ont expliqué ce qu'est le Bitcoin,


Mais un point est particulièrement important: le bitcoin est une monnaie virtuelle dont la cotation n'est basée sur aucun flux réel et elle est investie par des spéculateurs purs et durs. Les actes d'achats-ventes du fait de l’anonymat peuvent aussi être considérés comme des actes hautement spéculatif car ils ne sont ni contrôlés , ni contrôlables et qu'ils ne sont régit par aucune réglementation ( réglementation qui est faite et régie par les états)

Donc ça revient exactement a faire appel à la planche à billet lorsque les caisses sont vides et qu'un état n'a plus de revenus avec des conséquences néfastes à long terme si les monnaies virtuelles prennent trop de place:

inflation, titrisation, vie à crédit et endettement, pas de paiement d'impôts et évasion fiscale , financement de toutes sortes de réseaux( mafieux, marchands d'armes, financement des activités économiques spéculatives, financement du terrorisme, etc .. etc... )

A terme c'est un grand danger si les états laissent ces monnaies prendre trop de place


En outre cette vidéo pour approfondir :









salam @31Toulousain,

c'est quoi exactement à quoi ça sert? j'ai pas compris bitcoins?
 
Haut