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[QUOTE="Yancine, post: 17016832, member: 397506"] par Maurizio Blondet La rumeur circulait depuis des mois dans le monde médical français. Le Monde avait écrit un article pour dire qu’ils étaient sans fondement, faux, intoxiqués . Maintenant, un titre apparaît où un médecin dit: «Ils ont osé nous demander de percer nos patients pour les faire partir le plus tôt possible» . Elle s’est déroulée dans des maisons de retraite pour non autosuffisantes (EPHAD en France, comme nous avons RSA). Et cela est confirmé sur la chaîne France 3 par la diffusion le 18 novembre à 21h05 de l’enquête » Covid-19: que se passe-t-il vraiment dans les maisons de retraite? » Le site Internet de la chaîne consacre un article et une vidéo à cette enquête, dont le thème principal est le tristement célèbre «décret Rivotril» du 29 mars et ses conséquences pour les professionnels de santé et leurs patients. Rivotril sous forme injectable est mortel pour les patients souffrant d’insuffisance respiratoire. Le gouvernement a autorisé l’utilisation du RIvotril, par ce décret, au motif que l’Hypnovel manquait, ce qui était nécessaire pour les soins palliatifs de fin de vie; ces vieillards devaient être tenus à l’écart des unités de soins intensifs…. « Au milieu de la première vague de l’épidémie de Covid-19, au printemps 2020, le gouvernement a autorisé l’utilisation de médicaments palliatifs qui sont généralement interdits » , indique désormais le rapport sur France 3. Le programme s’intitule « Evidence against » ( Pièces à conviction), et a recueilli des témoignages d’agents de santé scandalisés par cette décision. «Lorsque nous avons reçu ces directives, nous avons été stupéfaits, raconte Sandra Rotureau, directrice de la santé. «Lorsqu’une personne âgée n’est pas hospitalisée [faute de lits] et que ce qui lui est proposé, c’est une sédation dès qu’elle a des difficultés à respirer … ma première réaction est de se souvenir:« Comment, on nous demande de pratiquer une euthanasie passive avec nos résidents « . […] Notez la formulation. «Euthanasie» est le moment où le patient a demandé à être activement aidé à mourir. « L’euthanasie passive » n’existe pas. Ça s’appelle un meurtre. Dans une autre résidence publique non identifiée, un médecin EPHD le visage couvert avoue « un sentiment d’horreur ». « Je ne suis pas autorisé à prescrire quelque chose qui guérirait les gens [fait allusion à l’hydroxychloroquine] s’ils étaient affectés », mais je suis autorisé « à les faire partir … doucement ». «Nous avons raccourci la souffrance des gens.? J’appelle ça de l’euthanasie, poursuit-elle, extrêmement bouleversée. Que nous ayons osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir plus vite est insupportable. « […]. Il a également été constaté que les médecins qui travaillaient pour les EHPAD avaient demandé aux infirmières d’injecter la seringue mortelle, les chargeant ainsi d’un sentiment de culpabilité qui n’aurait pas dû les peser. Il ressort d’une audition de la commission d’enquête de l’ Assemblée Nationale. [/QUOTE]
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