Crash d'un avion de Royal Air Maroc : le mystère demeure après un quart de siècle

Le monde entier se souvient encore de cette date du 21 août 1994 où le crash de l'ATR-42 de la Royal air Maroc a provoqué la mort de 44 personnes. 25 ans après, le mystère demeure car en effet, les conclusions de l'enquête qui ont abouti à un acte délibéré du pilote n'ont jamais été rendues publiques jusqu'à ce jour.
Même si la douleur a eu le temps de s'apaiser dans le coeur des familles des victimes, le vide créé par la disparition de ces 44 personnes reste énorme et irremplaçable, alors que dans le même (...)

- Société / Transport aérien, Agadir, Royal Air Maroc (RAM)

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L’enquête diligentée suite à cet accident n’a pas respectée les règles de probité et d’indépendance.
Les responsables chargés de cette enquête ont été soumis à des pressions extérieures...
En tout cas de n’est pas un suicide pour les raisons suivantes:
1-culturellement ,un suicide entraînant la perte d’autres vies humaines n’est répandu dans les sociétés arabo-musulmanes (contrairement aux asiatiques);
2-si c’était un suicide ,le pilote aurait coupé les 2 moteurs ,or c’etait pas le cas;
3-l’enregistreur des paramètres a montré que l’avion était incliné une fois à gauche,une fois à droite puis a piqué vers le sol et rien ne prouve que c’est une action du pilote;
4-Dans l’enregistrement voix ,la parole « mourir »ne figure pas;
5-le médecin conseil de l’époque à la RAM
était le Pr Driss Moussaoui (psychiatre) qui n’a pas été neutre dans cette enquête et il a tout fait pour qu’on retienne l’hypothese du suicide;
Que l’equipage et les passagers décédés reposent en paix.
 
c'est étrange parce que dans toutes les grandes catastrophes aériennes on rassemble tous les morceaux de l'épave et on fait une enquête nationale et internationale pour démontrer de manière certaine les causes de l'accident.

on peut voir d'ailleurs des films documentaires sur les grandes catastrophes, j'ai trouvé ces vidéos très intéressantes
et bien documentées.
 
L’enquête diligentée suite à cet accident n’a pas respectée les règles de probité et d’indépendance.
Les responsables chargés de cette enquête ont été soumis à des pressions extérieures...
En tout cas de n’est pas un suicide pour les raisons suivantes:
1-culturellement ,un suicide entraînant la perte d’autres vies humaines n’est répandu dans les sociétés arabo-musulmanes (contrairement aux asiatiques);
2-si c’était un suicide ,le pilote aurait coupé les 2 moteurs ,or c’etait pas le cas;
3-l’enregistreur des paramètres a montré que l’avion était incliné une fois à gauche,une fois à droite puis a piqué vers le sol et rien ne prouve que c’est une action du pilote;
4-Dans l’enregistrement voix ,la parole « mourir »ne figure pas;
5-le médecin conseil de l’époque à la RAM
était le Pr Driss Moussaoui (psychiatre) qui n’a pas été neutre dans cette enquête et il a tout fait pour qu’on retienne l’hypothese du suicide;
Que l’equipage et les passagers décédés reposent en paix.
1. Pour ceux qui croient au 11 Septembre 4 avions auraient été crashés par des arabo-musulmans saoudiens.
2. Si les moteurs sont coupés l'avion va planer pendant un certain temps, il y a eu un précédent en 2015 sur un vol air ring je crois partant de Barcelone, à ma connaissance le pilote a précipité son avion contre une montagne sans couper les moteurs.
Egalement il y a des enregistrement voix de la copilote sofia figuigui qui le supplie d'arrêter son action criminelle.
Pour le reste je ne peux pas juger.
 
1-culturellement ,un suicide entraînant la perte d’autres vies humaines n’est répandu dans les sociétés arabo-musulmanes (contrairement aux asiatiques);

Il y a eu plusieurs cas pourtant
https://www.lepoint.fr/societe/egyp...de-presume-en-avion-26-03-2015-1916116_23.php

Le 21 août 1994, un pilote marocain de la Royal Air Maroc (RAM) entraînait dans la mort 43 passagers et collègues en se suicidant. L'avion, un ATR-42 qui assurait la liaison Agadir-Casablanca, s'était écrasé près de la ville de départ, au sud du Maroc, quelques minutes après son décollage. L'appareil, qui ne présentait aucune anomalie, a été précipité vers le sol après que le pilote a débrayé le pilotage automatique. À l'époque des faits, la commission d'enquête avait précisé que le comportement du pilote était d'autant plus imprévisible qu'il émanait d'un pilote expérimenté, habitué des visites médicales réglementaires annuelles au centre d'expertise réservé au personnel navigant. Sa dernière consultation remontait au 7 juillet.


"Une spirale mortelle vers le sol"

Trois ans plus tard, s'écrasait en Indonésie un Boeing 737, en provenance de Jakarta, faisant 104 victimes en ce 19 décembre 1997. Le vol 185 de la compagnie SilkAir terminait sa course dans le delta de la rivière Musi, bien avant d'atteindre Singapour, plongeant soudainement "en spirale mortelle vers le sol". Selon le bureau américain, les boîtes noires auraient volontairement été débranchées par les pilotes, accréditant la thèse du suicide. Mais pour éviter un scandale, le directeur du NTSC (le bureau d'enquête indonésien sur les accidents du transport) avait à l'époque jugé les preuves insuffisantes, après être arrivé aux mêmes conclusions que ses confrères américains. Le rapport s'était alors vu modifié par la mention "Indéterminé". Plus tard, on apprenait que le pilote était criblé de dettes et qu'il rencontrait au moment des faits d'importantes difficultés financières.

"Je m'en remets à Dieu"

Mais l'exemple le plus (tristement) célèbre remonte au 31 octobre 1999, date où le vol 900 de la compagnie égyptienne EgyptAir se crashe au large des côtes du Massachusetts, tuant 127 personnes. Les autorités égyptiennes ont toujours refusé d'accepter le verdict des enquêteurs américains, engendrant des tensions politiques entre les deux pays à l'époque des faits. L'Égypte avait en effet attribué l'accident à un souci survenu dans la queue de l'appareil, tandis que l'équivalent américain du BEA, le NTSB, dénonçait des actions sur les commandes du copilote de l'avion, sans être en mesure d'en déterminer les causes. Il avait scandé "je m'en remets à Dieu" une fois le pilote sorti du cockpit et avait interrompu le pilotage automatique avant de faire piquer l'avion. Les États-Unis avaient perdu 100 ressortissants à l'issue du drame.


.... ceci sans parler des très nombreux attentats suicides...
 
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