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[QUOTE="Docours, post: 15319486, member: 369717"] Disons que la théorie, vulgarisée j'insiste, explique plutôt que les espèces se sont diversifiées et ont, au fur et à mesure, occuper des niches écologiques différentes. Et que l'ensemble du vivant a coévolué, au sein de l'espèce, au sein de l'environnement, etc... Pour la partie prédation, la coévolution est assez "simple" sur le principe. Il est plus facile à un organisme de "piquer" le travail d'un autre. Quand je parle de facilité, je parle ici plutôt de bilan énergétique (ce qui est le critère habituellement proposé). Il est plus "facile" de prendre l'énergie qu'un autre a lentement assimilé et stocké que de le faire soi-même. Ceci dit, il doit exister un équilibre entre les éléments. Si la pression de la prédation est trop importante, les proies en souffrent mais ce sont surtout les prédateurs qui morflent en premier. La proie est indispensable au prédateur, pas l'inverse. Donc un excès de prédation est avant tout dommageable pour le prédateur. On a remarqué cela avec les chats sauvages dans les villes. Ils devenaient globalement moins bons pour attraper les proies au fil des génération. Les plus faibles mourraient, mais les "meilleurs" aussi (en général, un peu comme un humain obèse, de maladie rénale, circulatoire, cardiaque, etc...). En gros, la sélection entraînait la survie des animaux "moyens" (Nietzche s'en serait retourné dans sa tombe). Pour l'accès à la terre ferme, là encore, c'est un processus qui est une longue transition. L'occupation d'une nouvelle niche écologique pas "explorée" par le vivant durant un moment puis, peu à peu, lentement, conquise par diverses espèces (pas une seule et unique bestiole). Mais tout comme la prédation n'entraine pas la disparition de la proie, l'accès aux bords de plages n'a pas entrainé la disparition de la vie marine. Les niches écologiques occupée dans les mers et océans n'ont pas cessé d'exister d'un coup. C'est vrai qu'à vulgariser correctement, c'est très complexe. Parce que très vaste. On propose plutôt aux enfants et aux ados des versions expliquées sous forme d'histoires plutôt que de processus. Et c'est souvent cette image du poisson qui sort de l'eau, d'un coup, qui reste dans l'imaginaire collectif. C'est complètement à coté de la plaque évidemment. Si jamais cette partie là t'intéresse, mon coté aquariophile t'envoie sur une famille de poisson très intéressante à étudier : les labyrinthidés. Dont fait partie le Betta Splendens, un poisson assez connu des aquario et de pas mal d'asiatiques aussi. Ils possèdent un organe assez intriguant, le labyrinthe (dont ils tirent leur nom), qui est un pseudo-poumon sans l'être tout à fait. [/QUOTE]
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