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Darfour : un mandat darrêt contre le président du Soudan
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[QUOTE="Letranger, post: 5391823, member: 158251"] La Cour pénale internationale semble avoir été spécialement créée pour juger les dirigeants récalcitrants du tiers-monde, d’une manière générale, et les Africains, en particulier, comme l’a si bien souligné le président sénégalais Abdoulaye Wade, juste avant l’annonce de la décision de la CPI. Fervents défenseurs de la mise en place d’instances judiciaires internationales pour juger ce qu’ils appellent les “dictateurs”, les États-Unis n’ont, à ce jour, pas ratifié l’accord de la création de cette Cour pénale internationale. Pourtant, Washington a été la première dans le monde occidental à saluer la décision de la Cour d’émettre un mandat d’arrêt contre le chef de l’État soudanais. C’est dire le paradoxe de la politique étrangère américaine, qui monte de toutes pièces des dossiers lorsqu’il s’agit de s’attaquer à un État qui ne répond pas au diktat de la Maison-Blanche. L’exemple de Saddam Hussein est édifiant à plus d’un titre, même si dans son cas, George Bush n’a pas eu besoin de la justice internationale pour l’écarter du pouvoir et le faire pendre par son ancien rival chiite Nouri al-Maliki, le jour de l’Aïd al-Adha, pour donner le maximum d’impact au procès. La Cour pénale internationale semble avoir été spécialement créée pour juger les dirigeants récalcitrants du tiers-monde d’une manière générale, et les Africains en particulier, comme l’a si bien souligné le président sénégalais Abdoulaye Wade, juste avant l’annonce de la décision de la CPI. Il n’est pas exclu que c’est à partir de la conviction de l’existence du deux poids, deux mesures dans la gestion des affaires au niveau de la CPI, que Dakar compte traduire devant sa propre justice l’ex-chef d’État du Tchad, Hissène Habré. Ce dernier fait l’objet de demandes pressantes de Bruxelles pour le transférer devant la Cour pénale internationale à La Haye. Et dire que tout cela se passe au moment où les voix sont de plus en plus nombreuses aux États-Unis à exiger la mise en place d’une “commission vérité” afin d'enquêter sur les mesures que l'administration Bush a dû prendre après le 11 septembre dans le cadre de la “guerre contre le terrorisme”. Washington continue à demander des comptes aux autres tout en omettant de balayer d’abord devant sa porte. La tache noire de Guantanamo est toujours là malgré les promesses d’Obama [/QUOTE]
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