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Philosophie, spiritualité et autres religions
Darwinisme : le hasard explique‑t‑il vraiment tout ?
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[QUOTE="Franc_Lazur, post: 15919917, member: 67838"] Je vais reciter ce que j'ai déjà cité sur BLADI : [URL]https://www.bladi.info/threads/prouver-dieu-existe-croyant.54717/page-168[/URL] "Voici ce que déclare le docteur André Gernez, cancérologue, en réponse aux questions des journalistes (c'est moi qui souligne en gras) "Vous pensez la religion du ressort de la socio-psychologie parce qu'on l'a toujours considérée comme une émanation de l'intelligence humaine. Le phénomène religieux résulterait de l'activité conceptuelle, appelée en biologie fonction d'abstraction. Or ce déterminisme est incompatible avec les données de la science, qui indiquent que le phénomène religieux n'a pas ses racines dans l'activité mentale réfléchie." A. Gernez rappelle que les Néanderthaliens, "confinés dans l'animalité, sans la moindre préoccupation abstraite, s'exprimant par onomatopées d'un registre réduit et inarticulé, pratiquent des rites funéraires et des cultes magiques." Bien avant, il y a 500 000 ans, les Pithécanthropes "commencent à tailler des pierres, forent des crânes humains selon un rite identique de la Chine à l'Afrique australe en passant par Java. Cette activité religieuse attendra des centaines de millénaires pour être conceptualisée." Il rappelle ensuite la structuration du cerveau en couches reflétant les étapes de l'évolution: cerveau reptilien, cerveau limbique qui est le siège des émotions, enfin néo-cortex qui est le siège de la parole et du raisonnement, lequel occupe 85% du volume cérébral. Les neurologues en visualisant l'activité cérébrale de quelqu'un qui prie, situent "l'inscription de l'activité religieuse au niveau limbique". "Entièrement comportementale, faite d'automatismes non réfléchis, cette mémoire limbique a permis l'implantation et la pérennité des gestes et des rites religieux, sans l'aide de la mémoire consciente ni de la transmission verbale. Ce qui permet de comprendre pourquoi toutes les religions ont en commun une gestuelle de base, allant de la prosternation aux rituels d'attitude: joindre les mains pour prier "Nous pouvons accepter, refouler ou dévier les incitations religieuses mais, ne disposant pas d'une rétro-action sur le cerveau limbique, aucun raisonnement ne peut altérer l'autonomie de l'instinct religieux et aboutir à sa désinscription." L'ethnologie, l'histoire et la sociologie démontrent l'universalité de la fonction religieuse: [B]"La fonction religieuse est enfin irrépressible comme le montre l'échec de toutes les tentatives d'éradication de ses manifestations. [...] la simple décadence des institutions et les abus de leurs hiérarchies, ont pu dégoûter les humains des pratiques religieuses. Ils n'ont pas supprimé le besoin de croire en une transcendance." Voici maintenant la "preuve par Darwin" de la transcendance : "Pour qu'un organisme évolue et perdure pendant des millions d'années, tout ce qui est inutile ou inadéquat devient récessif et disparaît. [...] En conséquence, même si nous ignorons son objet, la fonction religieuse a un but, de même que la respiration oxygénait notre sang bien avant qu'on ne sache pourquoi ou comment."[/B] [/QUOTE]
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