De Villiers démissionne de la présidence du Conseil général de Vendée

Il était président de l'Assemblée départementale depuis 1988

Philippe de Villiers abandonne son fief vendéen. Le président du MPF a annoncé ce jeudi matin qu'il quittait la présidence du Conseil général de Vendée. Celui qui présidait l'Assemblée départementale depuis 1988 n'a pas expliqué les raisons de sa démission. Il avait d'ailleurs annoncé en juillet dernier qu'il serait candidat à sa succession lors des cantonnales de mars 2011, selon Sud-Ouest.

Philippe de Villiers, qui s'est rapproché de l'UMP à la faveur des européennes de 2009, a simplement expliqué qu'il avait «choisi de s'effacer» et qu'il s'agissait d'une «décision irrévocable». Il a également assuré que ce n'était pas un «retrait de la vie politique», rapporte le quotidien régional. Il expliquera certainement son choix aux Vendéens, à qui il a promis ...

AFP
 
Bonjour, les raisons sont un cancer à l'œil sa déclaration a la presse "J'ai traversé le cancer au galop et, aujourd'hui, je suis guéri. A 61 ans, la vie continue" .Moi je pense que la maladie s'aggrave chez lui pour démissionner aussi rapidement il ya toujours une justice .
 
Il était président de l'Assemblée départementale depuis 1988

Philippe de Villiers abandonne son fief vendéen. Le président du MPF a annoncé ce jeudi matin qu'il quittait la présidence du Conseil général de Vendée. Celui qui présidait l'Assemblée départementale depuis 1988 n'a pas expliqué les raisons de sa démission. Il avait d'ailleurs annoncé en juillet dernier qu'il serait candidat à sa succession lors des cantonnales de mars 2011, selon Sud-Ouest.

Philippe de Villiers, qui s'est rapproché de l'UMP à la faveur des européennes de 2009 , a simplement expliqué qu'il avait «choisi de s'effacer» et qu'il s'agissait d'une «décision irrévocable». Il a également assuré que ce n'était pas un «retrait de la vie politique», rapporte le quotidien régional. Il expliquera certainement son choix aux Vendéens, à qui il a promis ...

AFP

Il a fait un bon boulot pour la Vendée, mais il s'est ridiculisé quand il a voulu se donner une dimension nationale. Il n'a pas du tout l'envergure pour être un chef de parti. Ce n'est pas un hasard si son départ coïncide avec celui de Jean-Marie Le Pen, un tout autre personnage en fait d'intégrité et de carrure.
la mauvaise copie -faux souverainiste à la solde du RPR UMP- disparaît avec l'original.
 
Une précision entre Villiers et Le Pen. Leurs idées sont aussi detestable pour l'un que pour l'autre mais la difference est que le premier à crée quelque chose pour la Vendée, il est respecté là bas. Le Pen n'a rien construit, il a benéficié d'un heritage pour le moins douteux, il a pu se payer un oeil de verre...
 
Une précision entre Villiers et Le Pen. Leurs idées sont aussi detestable pour l'un que pour l'autre mais la difference est que le premier à crée quelque chose pour la Vendée, il est respecté là bas. Le Pen n'a rien construit, il a benéficié d'un heritage pour le moins douteux, il a pu se payer un oeil de verre...

En même temps, la Vendée c'est trés laid...
 
Une précision entre Villiers et Le Pen. Leurs idées sont aussi detestable pour l'un que pour l'autre mais la difference est que le premier à crée quelque chose pour la Vendée, il est respecté là bas. Le Pen n'a rien construit, il a benéficié d'un heritage pour le moins douteux, il a pu se payer un oeil de verre...

Il n'y a rien qui empêche d'imaginer que Sarkozy l'embaucherait comme ministre pour servir de faire-valoir. Mais bon, cela ne donnerait peut -être pas grand chose. Les sondages pèsent très fort en faveur d'un durcissement en matière de sécurité et d'immigration, mais dans la même proportion les gens identifient ces mesures à de l'électoralisme.



Jamais je n'aurais voté pour un loustic pareil: il est ridicule. Aucun charisme, trébuche sur les mots en cherchant des expressions apprêtées -qui ne lui viennent jamais naturellement. Dans le cadre du débat, il n'a aucun aplomb, le sang-froid le quittant vite pour prendre une voix fluette. Rien qu'à voir le débat tenu avec M. Tariq Ramadan où il lui a servi de picaro est suffisant pour se donner une idée de la carrure du personnage.

Entendre ensuite Le Pen avec son français châtié, son humour et son aisance redoutable: on voit tout de suite qui est le maître.
 
Retour
Haut