Le déconfinement...

Esperluette

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Covid-19 : vers une nouvelle prolongation de l’état d’urgence sanitaire cet été
Selon nos informations, le gouvernement envisage de maintenir la France dans cet état d’urgence (prévu jusqu’au 10 juillet) deux mois de plus. Objectif : anticiper un éventuel retour de la pandémie cet été.

Par Olivier Beaumont

L'état d'urgence sanitaire, que le gouvernement a déjà prolongé jusqu'au 10 juillet, va-t-il être reconduit jusqu'à la fin de l'été? Selon nos informations, c'est en tout cas le chemin prévu à ce stade par le gouvernement qui a même inscrit à l'agenda de l'Assemblée nationale un vote au 17 juin, à 15 heures, pour un nouveau projet de prorogation qui pourrait durer deux mois.

Adopté une première fois le 24 mars, le texte donne depuis cette date des moyens exceptionnels à l'exécutif pour combattre l'épidémie, même si les derniers chiffres confirment un net recul du virus dans tout le pays. « Personne n'est capable de savoir s'il y aura une deuxième vague ou pas dans les semaines à venir. En prolongeant l'état d'urgence, on se donne les moyens de pouvoir agir, notamment en restreignant la liberté d'aller et de venir au cas où un nouveau pic de contamination réapparaissait pendant les vacances », fait savoir un conseiller ministériel, qui parle toujours de « dispositif transitoire et exceptionnel pour aller vite ».

 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
Covid-19 : vers une nouvelle prolongation de l’état d’urgence sanitaire cet été
Selon nos informations, le gouvernement envisage de maintenir la France dans cet état d’urgence (prévu jusqu’au 10 juillet) deux mois de plus. Objectif : anticiper un éventuel retour de la pandémie cet été.

Par Olivier Beaumont

L'état d'urgence sanitaire, que le gouvernement a déjà prolongé jusqu'au 10 juillet, va-t-il être reconduit jusqu'à la fin de l'été? Selon nos informations, c'est en tout cas le chemin prévu à ce stade par le gouvernement qui a même inscrit à l'agenda de l'Assemblée nationale un vote au 17 juin, à 15 heures, pour un nouveau projet de prorogation qui pourrait durer deux mois.

Adopté une première fois le 24 mars, le texte donne depuis cette date des moyens exceptionnels à l'exécutif pour combattre l'épidémie, même si les derniers chiffres confirment un net recul du virus dans tout le pays. « Personne n'est capable de savoir s'il y aura une deuxième vague ou pas dans les semaines à venir. En prolongeant l'état d'urgence, on se donne les moyens de pouvoir agir, notamment en restreignant la liberté d'aller et de venir au cas où un nouveau pic de contamination réapparaissait pendant les vacances », fait savoir un conseiller ministériel, qui parle toujours de « dispositif transitoire et exceptionnel pour aller vite ».

il n'était pas prévu jusqu'au 24 juillet plutôt :eek:

Le seul maintien que je vois là, c'est celui du fou artistique!
 

Esperluette

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Avez-vous vu quelque chose là-dessus dans la presse française ?

(Ottawa) Des dizaines de millions de doses de vaccin contre la COVID-19 pourraient être déployées dès cet automne, mais il faudrait s’assurer qu’elles sont réparties équitablement à travers le monde, en particulier dans les pays les plus pauvres, soutient-on dans certains milieux.

La Grande-Bretagne accueillera jeudi une conférence internationale d’« annonces de contributions », qui vise à recueillir près de 10 milliards pour GAVI – l’Alliance du vaccin, la principale agence internationale de distribution de vaccins dans les pays moins développés, créée il y a 20 ans.

Le premier ministre Justin Trudeau se joindra jeudi de façon virtuelle aux dirigeants de 50 pays et à de grandes organisations, dont les philanthropes Bill et Melinda Gates. Le Canada a déjà annoncé un engagement de 600 millions sur cinq ans au GAVI, qui a vacciné 760 millions d’enfants et évité 13 millions de décès dans les pays les plus pauvres du monde depuis 2000.

Le premier ministre britannique, Boris Johnson, présidera ce Sommet mondial sur la vaccination, mais l’apparition de M. Trudeau intervient alors que le Canada convoite un siège non permanent au Conseil de sécurité des Nations unies. M. Trudeau a aussi prononcé mercredi une allocution à un sommet de l’Organisation des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique, où il a déclaré que le Canada était déterminé à aider les pays en développement, les plus durement touchés par la pandémie.

Au plus offrant ?

L’ambassadrice britannique au Canada a déclaré que 30 millions de doses d’un vaccin pourraient être disponibles dans son pays dès septembre, en raison du rythme rapide des essais cliniques menés par des chercheurs de l’Université d’Oxford dans le cadre d’une coentreprise financée par le gouvernement avec AstraZeneca, le laboratoire pharmaceutique britannique et suédois.

La haute-commissaire Susan le Jeune d’Allegeershecque a expliqué en entrevue que la Grande-Bretagne voulait s’assurer que « ce n’est pas celui qui aura le plus gros chèque en main qui obtiendra la première bouchée ». La diplomate britannique admet que tous les gouvernements voudront d’abord répondre à leurs propres besoins nationaux. « Mais en même temps, ceux d’entre nous qui sont membres du G7 et du G20 gardent certainement en tête le besoin plus large, à l’échelle mondiale. Nous ne faisons pas l’un au détriment de l’autre. »

Selon Stuart Hickox, directeur de l’organisme « One Campaign » au Canada, « les gens doivent comprendre qu’il n’y aura pas de reprise économique si la pandémie continue de faire rage dans des pays en voie de développement ou ailleurs dans le monde ».

Le réseau américain CNN a annoncé mardi que le docteur Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, avait prédit que les États-Unis disposeraient de 100 millions de doses d’un vaccin viable d’ici la fin de l’année.

Son homologue canadienne, la docteure Theresa Tam, administratrice en chef de la santé publique, estime qu’il y a actuellement plus de 100 « candidats vaccins » en développement dans le monde. « Bien sûr, nous regardons au-delà de la recherche et des essais cliniques, pour examiner la capacité réelle de développement et de fabrication des vaccins », a-t-elle précisé.
 

Esperluette

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Une poignée de candidats sérieux

Le docteur Gary Kobinger, expert en maladies infectieuses à l’Université Laval, qui dirige une équipe qui a développé le vaccin contre Ebola, a déclaré que la centaine de candidats au vaccin doivent être ramenés à une poignée de bonnes options. « C’est une course contre le virus, pas les uns contre les autres, a-t-il plaidé en entrevue. Peu importe le pays, les ressources internationales sont limitées, les sites cliniques sont limités. »

M. Trudeau se positionne comme un chef de file pour élaborer un plan de relance mondial « post-pandémie », alors que le Canada est en compétition avec la Norvège et l’Irlande pour l’un des deux sièges convoités et non permanents au Conseil de sécurité des Nations unies. L’ONU a confirmé mercredi que le scrutin secret des 193 ambassadeurs commencerait comme prévu le 17 juin, mais sans réunion plénière de l’Assemblée générale, en raison de la pandémie.

Les principales agences des Nations unies, dont l’Organisation mondiale de la santé, et les dirigeants des pays africains participent également au sommet de Londres sur les vaccins, jeudi. Au cours du mois de mai, M. Trudeau a joué un rôle de premier plan dans des sommets similaires de l’Union européenne et de l’ONU.

On devrait promettre au sommet de Londres que tout nouveau vaccin contre la COVID-19 sera aussi distribué dans les pays pauvres – éviter en fait les pratiques antérieures, notamment lors de l’épidémie de grippe H1N1 en 2009.

« Nous voulons aussi envoyer un message clair au marché : qu’il y aura un marché pour ce vaccin dans le monde en développement, et il y aura une organisation qui pourra distribuer ce vaccin », a déclaré mercredi en entrevue la ministre canadienne du Développement international, Karina Gould. « Ce qui est différent, dans cette pandémie, c’est que nous parlons de vacciner le monde entier. C’est à une échelle que nous n’avions pas imaginée auparavant parce que les campagnes de vaccination précédentes étaient généralement ciblées. »

 

Pop586

Weld che3b ou biiikhérr !!
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Avez-vous vu quelque chose là-dessus dans la presse française ?

(Ottawa) Des dizaines de millions de doses de vaccin contre la COVID-19 pourraient être déployées dès cet automne, mais il faudrait s’assurer qu’elles sont réparties équitablement à travers le monde, en particulier dans les pays les plus pauvres, soutient-on dans certains milieux.

La Grande-Bretagne accueillera jeudi une conférence internationale d’« annonces de contributions », qui vise à recueillir près de 10 milliards pour GAVI – l’Alliance du vaccin, la principale agence internationale de distribution de vaccins dans les pays moins développés, créée il y a 20 ans.

Le premier ministre Justin Trudeau se joindra jeudi de façon virtuelle aux dirigeants de 50 pays et à de grandes organisations, dont les philanthropes Bill et Melinda Gates. Le Canada a déjà annoncé un engagement de 600 millions sur cinq ans au GAVI, qui a vacciné 760 millions d’enfants et évité 13 millions de décès dans les pays les plus pauvres du monde depuis 2000.

Le premier ministre britannique, Boris Johnson, présidera ce Sommet mondial sur la vaccination, mais l’apparition de M. Trudeau intervient alors que le Canada convoite un siège non permanent au Conseil de sécurité des Nations unies. M. Trudeau a aussi prononcé mercredi une allocution à un sommet de l’Organisation des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique, où il a déclaré que le Canada était déterminé à aider les pays en développement, les plus durement touchés par la pandémie.

Au plus offrant ?

L’ambassadrice britannique au Canada a déclaré que 30 millions de doses d’un vaccin pourraient être disponibles dans son pays dès septembre, en raison du rythme rapide des essais cliniques menés par des chercheurs de l’Université d’Oxford dans le cadre d’une coentreprise financée par le gouvernement avec AstraZeneca, le laboratoire pharmaceutique britannique et suédois.

La haute-commissaire Susan le Jeune d’Allegeershecque a expliqué en entrevue que la Grande-Bretagne voulait s’assurer que « ce n’est pas celui qui aura le plus gros chèque en main qui obtiendra la première bouchée ». La diplomate britannique admet que tous les gouvernements voudront d’abord répondre à leurs propres besoins nationaux. « Mais en même temps, ceux d’entre nous qui sont membres du G7 et du G20 gardent certainement en tête le besoin plus large, à l’échelle mondiale. Nous ne faisons pas l’un au détriment de l’autre. »

Selon Stuart Hickox, directeur de l’organisme « One Campaign » au Canada, « les gens doivent comprendre qu’il n’y aura pas de reprise économique si la pandémie continue de faire rage dans des pays en voie de développement ou ailleurs dans le monde ».

Le réseau américain CNN a annoncé mardi que le docteur Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, avait prédit que les États-Unis disposeraient de 100 millions de doses d’un vaccin viable d’ici la fin de l’année.

Son homologue canadienne, la docteure Theresa Tam, administratrice en chef de la santé publique, estime qu’il y a actuellement plus de 100 « candidats vaccins » en développement dans le monde. « Bien sûr, nous regardons au-delà de la recherche et des essais cliniques, pour examiner la capacité réelle de développement et de fabrication des vaccins », a-t-elle précisé.

Qui fournira les vaccins ?
Ça sent le richissime !
 

Esperluette

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Un rapport officiel allemand dénonce la pandémie COVID-19 comme « une fausse alerte mondiale ».

Le gouvernement fédéral allemand et les grands médias se sont efforcés de limiter les dégâts après la divulgation d’un rapport du ministère de l’Intérieur qui conteste le récit officiel du coronavirus.

Voici quelques passages clés du rapport :
  • La dangerosité de la Covid-19 a été surestimée : apparement, à aucun moment le danger que représente le nouveau virus n’a dépassé le niveau normal.
  • Les personnes qui meurent du coronavirus sont essentiellement celles qui, statistiquement, mourraient cette année, car elles sont en fin de vie et leur corps affaibli ne peut plus faire face à un stress quotidien aléatoire (y compris les quelque 150 virus actuellement en circulation).
  • Dans le monde, en un quart d’année, il n’y a pas eu plus de 250 000 décès dus au Covid-19, contre 1,5 million de décès [25 100 en Allemagne] lors de la vague de grippe 2017/18.
  • Le danger n’est évidemment pas plus grand que celui de nombreux autres virus. Rien n’indique que ce n’était plus qu’une fausse alerte.
  • Un reproche pourrait aller dans ce sens : Lors de la crise du coronavirus, l’État a prouvé qu’il était l’un des plus grands producteurs de fausses nouvelles.
Jusqu’à présent, tout va mal. Mais il y a pire.

Le rapport se concentre sur les « nombreuses et lourdes conséquences des mesures contre le coronavirus » et prévient qu’elles sont « graves ».

Le nombre de personnes qui meurent à cause des mesures imposées du « Corona » par l’État est plus élevé que le nombre de personnes tuées par le virus.

La raison en réside dans un scandale en cours de réalisation :

Un système de santé allemand axé sur les mesures anti-corona reporte des opérations chirurgicales vitales et retarde ou réduit le traitement des patients qui ne sont pas atteints par le virus.

Suite

Article original en anglais
 
Un rapport officiel allemand dénonce la pandémie COVID-19 comme « une fausse alerte mondiale ».

Le gouvernement fédéral allemand et les grands médias se sont efforcés de limiter les dégâts après la divulgation d’un rapport du ministère de l’Intérieur qui conteste le récit officiel du coronavirus.

Voici quelques passages clés du rapport :
  • La dangerosité de la Covid-19 a été surestimée : apparement, à aucun moment le danger que représente le nouveau virus n’a dépassé le niveau normal.
  • Les personnes qui meurent du coronavirus sont essentiellement celles qui, statistiquement, mourraient cette année, car elles sont en fin de vie et leur corps affaibli ne peut plus faire face à un stress quotidien aléatoire (y compris les quelque 150 virus actuellement en circulation).
  • Dans le monde, en un quart d’année, il n’y a pas eu plus de 250 000 décès dus au Covid-19, contre 1,5 million de décès [25 100 en Allemagne] lors de la vague de grippe 2017/18.
  • Le danger n’est évidemment pas plus grand que celui de nombreux autres virus. Rien n’indique que ce n’était plus qu’une fausse alerte.
  • Un reproche pourrait aller dans ce sens : Lors de la crise du coronavirus, l’État a prouvé qu’il était l’un des plus grands producteurs de fausses nouvelles.
Jusqu’à présent, tout va mal. Mais il y a pire.

Le rapport se concentre sur les « nombreuses et lourdes conséquences des mesures contre le coronavirus » et prévient qu’elles sont « graves ».

Le nombre de personnes qui meurent à cause des mesures imposées du « Corona » par l’État est plus élevé que le nombre de personnes tuées par le virus.

La raison en réside dans un scandale en cours de réalisation :

Un système de santé allemand axé sur les mesures anti-corona reporte des opérations chirurgicales vitales et retarde ou réduit le traitement des patients qui ne sont pas atteints par le virus.

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Article original en anglais
Je connais quelqu'un qui m'est proche qui fait actuellement profil bas et qui rase les murs...:rolleyes:
 

Esperluette

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Les quatre scénarios du Conseil scientifique pour la suite du déconfinement

Le Conseil scientifique a transmis mardi soir au gouvernement un avis, le septième, portant sur les quatre scénarios possibles quant à l'évolution de la présence du coronavirus en France en ces temps de déconfinement. Ce document nous est parvenu ce jeudi en début d'après-midi.

En présence de foyers

Le Conseil scientifique a construit ces différentes pistes en se fondant sur les données disponibles sur l'épidémie en cours, des modélisations concernant les mesures ayant présidé à la levée du confinement, sur le circuit des tests et les indicateurs liés aux circuits et systèmes d'information.

Le premier scénario est aussi le plus optimiste. Sous celui-ci, le virus demeure sous contrôle, nonobstant la survenue de quelques foyers "localisés et maîtrisés". Cette option n'émanciperait pas les Français du respect de mesures de lutte contre l'épidémie, à commencer par les gestes-barrières pour au moins six mois.

Dans le scénario 2, les foyers se font cette fois critiques, c'est-à-dire qu'ils laissent redouter une perte de contrôle des chaînes de contamination. Cette situation appellerait à des mesures décrites comme strictes et précoces mais là encore, "localisées". En pareil cas, le Conseil scientifique préconise de "renforcer les gestes-barrières" et ajoute:
"Une stratégie massive de 'tester-tracer-isoler'. L’allocation de moyens supplémentaires notamment humains doit être adaptée à la taille de la population à tester et à tracer."
Perte de contrôle

Le scénario 3 explore l'éventualité d'une reprise progressive et "à bas bruit" de l'épidémie. Ici, "des indicateurs se dégraderaient sans que les chaînes puissent être identifiées, ni a fortiori contrôlées". Il conviendrait alors de prendre des mesures à l'échelle régionale voire nationale le cas échéant. Le Conseil scientifique précise:
"L’application des mesures doit prendre en compte les conditions géographiques de redémarrage de l’épidémie. Si par exemple, l’ensemble des régions ont une situation épidémique sous contrôle à l’exception d’une région qui est affectée par une reprise à bas bruit, des restrictions de l’activité économique pourront être considérées pour assurer un contrôle plus rapide du foyer épidémique et éviter la diffusion aux autres régions. (...) Dans le scénario 3, une attention particulière doit porter sur la région Île-de-France et sur la grande précarité."
Dans le quatrième et ultime scénario, nous perdrions le contrôle de la diffusion de l'épidémie et il faudrait alors envisager un nouveau confinement généralisé au plan national ou "d'autres objectifs collectifs, économiques et sociaux". Le Conseil scientifique écrit:
"Les autorités devront également précisément déterminer leur objectif. Par exemple, si l’objectif est uniquement de diminuer la mortalité liée à COVID19, un confinement permanent ou extrêmement précoce sera toujours préférable, mais cela ignore l’impact délétère du confinement sur la société française. Un objectif alternatif est d’assumer tout en la limitant une surmortalité hospitalière COVID19 associée à la mise sous tension des services de réanimation. Cet objectif peut être atteint au moins partiellement en augmentant les capacités hospitalières en attendant de restaurer un confinement si toutes les autres approches ont échoué."
Réserves

Pour affronter au mieux l'une ou l'autre de ces perspectives, les experts plaident pour l'élaboration séance-tenante d'un "Plan de Prévention et de Protection rapprochées", appelé le P2R-Covid, afin d'activer au besoin et au plus vite les dispositions listées.

Il faut noter que si 13 des membres de cette instance se sont accordés sur la version définitive du texte, un dernier, Jean-Laurent Casanova, a exprimé quelques réserves quant aux trajectoires retenues, s'exprimant pour sa part dans le sens de l'accentuation du "traçage, du diagnostic et de l'isolement des personnes contagieuses".

Source :
 

Esperluette

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Voilà voilà ! :D

N'oubliez pas quand vous faites des mises à jour de vérifier que l'appli est toujours désactivée pour ceux et celles qui n'en veulent pas.

243031:D
 

Esperluette

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Le Mossad gère le déconfinement en France


Cette information a littéralement sidéré les Français qui, comme vous et moi, se sont demandés le « pourquoi du comment »… On n’a pas assez de polytechniciens, d’énarques, de saint-cyriens, d’organisateurs de toutes sortes en France qu’on soit obligés de payer des… Américains pour gérer quelque chose d’aussi stratégique que le déconfinement ???

La semaine passée, je me disais que le nom de cette compagnie me rappelait quelque chose. Et cela m’est revenu. Bain & Co a fait sa fortune dans le « downsizing », entendez par là les licenciements massifs. Quand une multinationale ou une banque veut virer 3.000 salariés ou plus d’un seul coup, elles font appel à Bain, exactement comme la fille que vous voyez au début du film « Margin Call » venant annoncer à chaque personne sur la liste ce qu’elle va recevoir comme chèque de départ tout en lui demandant de prendre toutes ses affaires perso et de partir dans la minute qui suit.

Et devinez qui a fait le plus souvent appel à Bain ? Une société que je connais bien et qui a toujours été ma boussole en terme de licenciements: IBM.

« IBM hires Bain to cut costs, up productivity. Insiders told The Reg that IBM had hired consultant Bain & Company to help it plot a way forward for GTS … suggesting the total global GTS workforce is 103,000 … IBM revealed in the chart, which quoted Bain Analysis as the source, that fundamentally some « 30.9k people is the total [headcount] Impacted » and that 9.3k of those souls are expected to be redeployed« , lire ici The Register de 2018 » ou bien « IBM Plans to Reassign 31,000 Workers, Will Cut 10,000 Positions in 2018 » ici sur TechCrunchNews.

Bain s’est aussi occupé de virer les gens chez le géant de Las Vegas, MGM Resorts: « Bain & Company advising MGM Resorts on restructuring in Nevada, where the company employs 53,000 (and is the state’s largest private employer). The firm’s notable Las Vegas properties include the Bellagio, Luxor, MGM Grand, The Mirage, and CityCenter (of which it owns 50%). The 1,000 layoffs are part of a « business optimization initiative » announced by MGM in January.

The overall plan expects to deliver a cash flow increase of $200 million by the end of 2020, and an additional $100 million by the end of 2021″, lire ici Consulting News.

Bain s’occupe de tous les secteurs, de l’aéronautique (regardez ici le trombinoscope de leurs cadres de Wahsington) à l’hôtellerie en passant par la chimie, la banque ou la logistique. Il facture à coup de millions de dollars et ne prend pas de petits comptes. Quand il s’agit de virer 3.000 personnes qui vont vous faire économiser 150 millions de dollars, leur prix sera de l’ordre de 20 à 30 millions de dollars. Petits exemples:

« EgyptAir’s turnaround plan devised by Bain & Company has taken off according to airline chief Ahmed Adel, with aims for a 100-strong fleet within eight years » ou « Bain & Company Moscow partner Andrey Panov joins Aeroflot as deputy chief executive for the strategy and marketing functions« , la société est active aux quatre coins du monde et a accès à tous les chiffres clés des plus grandes entreprises qui lui confient un dossier.
 
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