Depuis la fermeture du camp d'accueil des migrants de calais

mam80

la rose et le réséda
Modérateur

L'évacuation par la police des camps de migrants à Calais, qui abritent quelque 650 personnes depuis plusieurs semaines, a démarré mercredi 28 mai peu avant 8 heures.

Sous un ciel couvert et gris, de nombreux migrants qui étaient encore sous des tentes ou sous des bâches de fortune, ont quitté d'eux-mêmes leurs abris lorsqu'ils ont vu arriver les forces de l'ordre, huées par les militants associatifs.
Dans le calme et sous les objectifs des nombreuses caméras de journalistes, les policiers, parfois assistés d'un interprète, inspectaient les tentes une à une, évacuant les rares personnes restantes

400 personnes
Plusieurs dizaines de personnes, parmi lesquelles des migrants, des journalistes et des militants, étaient déjà regroupées sur le bord de la route, à l'écart du plus gros camp, dit camp des Syriens, qui regroupe également beaucoup d'Afghans et environ 400 personnes, toutes nationalités confondues.

"Les gens stressent et cherchent l'endroit où ils se sentent le plus en sécurité", a expliqué Cécile Bossy, de la mission Médecins du monde à Calais.

Cette évacuation vise notamment à éradiquer une épidémie de gale qui touche les migrants depuis plusieurs semaines.

"C'était le carnaval"
Le traitement contre la gale a débuté mardi soir lors de la distribution des repas par l'association Salam. "C'était le carnaval", a affirmé Cécile Bossy, qui a notamment dénoncé l'absence de décontamination de vêtements. "Ils n'ont pas proposé les douches qui étaient supposées être mises en place lors de l'évacuation", a-t-elle ajouté, déplorant une opération "tout sauf professionnelle".

Entre 800 et 850 migrants sont actuellement présents dans le Calaisis, dont 600 à 650 pour la seule zone portuaire de Calais, qui souhaitent pour la plupart passer en Angleterre. Leur nombre a doublé en l'espace de quelques semaines.

Ce démantèlement - qui concerne le campement dit des Syriens, situé à l'entrée du port de Calais, le campement dit des Africains, situé sur le quai de la Gironde, au bord d'un canal, ainsi qu'un campement situé place Henri Barbusse - devait être "accompagné d'une prise en charge et d'une mise à l'abri des migrants les plus fragiles", selon le préfet du Pas-de-Calais, Denis Robin.

nouvel obs

sous des bâches, dans le froid, sans sanitaire, sans eau , un seul repas par jour de moins en moins copieux
faute de moyens par rapport au nombre croissant d'arrivées (grâce à une seule association = salam) :(:(:( :malade:

des conditions inhumaines............
d'autant que beaucoup souffrent de traumatisme


mam
 
Dernière édition:

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
les migrants plutôt
je venais de voir un reportage à la télé sur eux
......certains sont en errance depuis presque 10 ans...pour échapper à la guerre
dans leur pays................

si j'ai bien compris, il y a un carnaval de prévu, donc il faut les écarter.....

SALAM n'a plus les moyens (comme pas assez d'ustensiles de cuisine) pour faire cuire
du riz pour tout le monde...

ça me fend le coeur :pleurs:
comme chantait Léo Ferré : EST CE AINSI QUE LES HOMMES VIVENT :(

mam

ps : EDIT chantait et non disait
 
Dernière édition:

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
ils ont fermé Sangatte y'a 12 ans et celà n'a réglé aucunement la question des migrants...en détruisant sangatte on rendait invisible le problème des migrants, la répression policière, les droits de l'Homme bafoués pfiouuuuuuu toussa ne passait plus aux infos...

on fait la guerre à des peuples qui ne nous ont rien fait et on arrive même pas à s'occuper dignement des migrants qui sont chez nous et qui fuient justement ces guerres...
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
ils ont fermé Sangatte y'a 12 ans et celà n'a réglé aucunement la question des migrants...en détruisant sangatte on rendait invisible le problème des migrants, la répression policière, les droits de l'Homme bafoués pfiouuuuuuu toussa ne passait plus aux infos...

on fait la guerre à des peuples qui ne nous ont rien fait et on arrive même pas à s'occuper dignement des migrants qui sont chez nous et qui fuient justement ces guerres...

suis bien d'accord avec toi
la france doit balayer devant sa porte avant de fourrer son nez chez les autres

mam
 
si j'ai bien compris, il y a un carnaval de prévu, donc il faut les écarter.....
Non...elle veut dire "c'était le bordel" en parlant de carnaval...
comme disait Léo Ferré : EST CE AINSI QUE LES HOMMES VIVENT :(
Aragon ;)

Sinon on peut rappeler ce que disait Michel Derr qui a dirigé pendant 3 ans ce centre avec la Croix Rouge:

"Vous avez dirigé durant dix ans le centre de Sangatte. Que représentent pour vous ces années, d'un point de vue professionnel et humain ?

« C'était une expérience exceptionnelle, remarquable. Comme tous ceux qui y ont participé, je garde un souvenir inoubliable de cette mission unique, insolite. Pour que cette mission se passe bien, il y a eu une conjonction de bonnes volontés, je pense à tous les gens avec lesquels je devais travailler : les salariés, le sous-préfet de l'époque Yannick Imbert... »

Quelle image gardez-vous du centre lui-même ?

« C'était impressionnant, vous rentriez par une immense porte dans ce hangar, sorte de capsule énorme, et vous pénétriez dans un monde à part, un autre monde. Un monde avec ses modalités, ses bruits, ses couleurs, ses langues, bruissant de vie et d'animation. Il n'y avait pas un moment qui n'était pas exceptionnel. Il y a tellement de souvenirs qu'aucun ne pourrait sortir du lot. Je me souviens avoir été frappé, en permanence, par le courage de ces populations, qui avaient parcouru tellement de kilomètres pour atteindre leur but. Leur courage, et leur remarquable obstination. »

Avez-vous vécu la fermeture comme une déchirure, voire une injustice ?

« Non, car il faut rappeler qu'à l'origine, le centre ne devait ouvrir que pour six mois. Les salariés et moi-même savions qu'il y avait un terme. Le centre ne pouvait pas continuer à grossir indéfiniment. »

Votre travail à l'époque a-t-il été considéré à sa juste valeur ?

« Oui, je pense qu'il a été reconnu. Mais vous savez, durant ces trois ans, nous avons agi de manière assez solitaire. Je veux dire par là que les politiques ne se sont pas occupés de nous. Notre travail était bien pratique, il dispensait l'État de s'en occuper, et permettrait aux politiques de botter en touche. »

La fermeture du centre a-t-elle été bien préparée ?

« Une fois la décision prise, les choses sont allées très rapidement. Nous avons travaillé avec les autorités britanniques, également avec le HCR (haut commissariat aux réfugiés, dépendant de l'ONU), mis en place un système de badges pour permettre de traiter le sort des gens qui étaient dans le centre.

C'est ainsi que nombre d'entre eux ont pu, de manière tout à fait officielle, rejoindre l'Angleterre. Pour d'autres, nous avons pu les héberger dans d'autres centres. En revanche, la suite n'a pas du tout été préparée. Au moment de la fermeture, je disais qu'il était impératif de proposer une alternative aux migrants qui allaient continuer d'affluer vers Calais. Cela n'a pas été fait. »

Quelles ont été les conséquences de la fermeture de Sangatte ?

« Elle a incontestablement permis de rendre le problème moins visible, à défaut de le résoudre... Autre conséquence immédiate, et dramatique : la fermeture du centre de Sangatte a criminalisé l'existence des migrants, et mis leur existence totalement aux mains des réseaux criminels et mafieux de passeurs. La fermeture de Sangatte était une fausse bonne solution dans la mesure où elle n'était accompagnée d'aucune alternative. »

Quel regard portez-vous sur la politique migratoire aujourd'hui ?

« Je regrette vraiment que depuis dix ans, aucune avancée n'ait été faite au niveau de la politique européenne, puisqu'il s'agit d'un problème européen.

Jusqu'à nouvel ordre, le passage le plus court pour aller en Angleterre, c'est Calais-Douvres. Comme tous les détroits, comme toutes les frontières, Calais sera toujours un point de passage, et attirera toujours des migrants. Mais on fait en sorte de les rendre invisibles. Alors que pour une bonne politique européenne, il faudrait au contraire identifier les flux, leur donner une existence. On fait tout l'inverse. Cela est d'une grande hypocrisie. »
http://www.lavoixdunord.fr/region/la-fermeture-du-centre-de-sangatte-a-ete-une-fausse-jna33b0n803827
 
Sangatte ça fait déjà 12 ans....

l'Association Salam faut l'aider quand on peut insh'Allah...

associationsalam.org
Eradiquer la gale ou éradiquer des migrants? Les soigner, j'imagine que ce n'est pas à l'ordre du jour. Vive l'humanité. :eek:
Si l'entité illégale illégale non hébreu qui vit avec de l'argent volé avec ses larbins(es) n'avait pas agressé le peuple Afghan qui sortait déjà de l'agression socialo-communiste du temps de l'ex urss ils seraient chez eux comme les réfugiés Syriens .
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Si l'entité illégale illégale non hébreu qui vit avec de l'argent volé avec ses larbins(es) n'avait pas agressé le peuple Afghan qui sortait déjà de l'agression socialo-communiste du temps de l'ex urss ils seraient chez eux comme les réfugiés Syriens .

il n'y a pas qu'eux, les afgans, l y a des populations entre la chine et la mer caspienne
des lybiens des tunisiens et ceux des pays d'afrique ......................
bref

avec des "si" .................
la question est : et maintenant ?

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Le gouvernement, en CATIMINI, souhaite désengorger "Calais" de ces migrants "invisibles"
et répartir sur l’ensemble du territoire un nombre croissant de migrants.

ex : une bourgade de 1600 habitants, en Bourgogne, l'arrivée depuis le début de l'année 2015, de
60 migrants demandeurs d'asile

<A Pouilly-en-Auxois, il y a cinq mois, les premiers migrants arrivaient

Afin de désengorger Calais, depuis le mois de février, une cinquantaine d’Erythréens, de Soudanais et de Tchadiens vivent dans une ancienne caserne de gendarmerie de Pouilly-en-Auxois (Bourgogne).
Une cohabitation inédite pour les habitants.
La question des migrants n'en finit plus de faire débat ces dernières semaines. Face à la pression, le gouvernement doit présenter ce mercredi en conseil des ministres un plan pour mieux prendre en charge ces migrants demandeurs d’asile. L’objectif de Manuel Valls est clair:
éviter la formation de nouveaux camps provisoires, des camps indignes de notre pays selon le Premier ministre.

"Ils ne font pas de bazar"
Pour cela, les préfectures vont réquisitionner des bâtiments vides appartenant à l’Etat. Les migrants seront ensuite répartis par petits groupes dans ces bâtiments partout sur le territoire.
Une expérience déjà tentée en début d’année par le gouvernement. En effet, pour désengorger Calais, à Pouilly-en-Auxois, une petite ville de Côte d’Or collée à l’autoroute A6, depuis le mois de février, une cinquantaine d’Erythréens, de Soudanais, de Tchadiens vivent dans une ancienne caserne de gendarmerie.
Si au départ, l’arrivée de ces migrants dans cette ville rurale a suscité beaucoup d’inquiétudes, qu’en est-il cinq mois après?

"Ils ne font pas de bazar", assure William, le patron de la supérette située au centre de cette petite ville de 1 600 habitants. Au début, ces migrants ont eu des difficultés à se faire comprendre car très peu d'entre eux parlent le français ou l'anglais.
Alors ils communiquaient en dessinant. Mais pour les aider, spontanément, 25 bénévoles ont décidé de leur apprendre le français. "C'est un acte citoyen, humain. Et puis, il faut vraiment faire quelque chose pour aider ces gens", explique, Anne, retraitée, qui n’a pas hésité une seconde avant de donner ce coup de main.

"Ils nous apprennent beaucoup"
Ces réfugiés font donc partie du quotidien de la ville. Tous sont demandeurs d’asile et tous ont connu des années d’errance avant d’arriver en France. Une leçon de vie pour Corinne: "Ils nous apprennent beaucoup de choses, notamment que l'on ne se rend pas toujours compte de la chance qu'on a et qu'en fait dans d'autres pays c'est très difficile. Nous, on se plaint alors qu'en fait on n'est pas si mal loti que cela je pense". De nombreux habitants leur aussi donner des vêtements, des télévisions et même des vélos pour qu’ils puissent se déplacer plus facilement.

Le week-end dernier, ces réfugiés sont même allés faire de la voile avec une association. Une belle réussite donc alors même que ce n’était pas gagné au départ selon Bernard Milloir le maire de Pouilly-en-Auxois: "Notre ville n'avait jamais été confrontée à l'immigration. Il s'agissait des premiers gens de couleur à s'installer ici. Alors on a essayé de bien faire les choses et je pense que l'on a réussi". Et de se féliciter: "On peut servir de valeur d'exemple". Alors bien sûr, certains habitants ont toujours du mal à accepter la présence de ces demandeurs d’asile mais au fil des semaines ils sont de moins en moins nombreux.

http://rmc.bfmtv.com/emission/a-pou...-les-premiers-migrants-arrivaient-895241.html


mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
ce qui nous vaut un article de
Véronique Bouzou
Professeur de lettres modernes

Vous faites partie de ces Français qui choisissent leur destination d’été à la dernière minute ? Pas toujours facile de privilégier l’exotisme avec un budget serré. Et si vous passiez vos prochaines vacances à… Pouilly-en-Auxois ?
Cette charmante bourgade de Bourgogne de 1.600 âmes – ou plutôt 1.660, depuis que la commune est devenue bien malgré elle le lieu d’accueil de 60 migrants de la Corne de l’Afrique, tous en provenance du centre surchargé de Calais – a fait parler beaucoup d’elle ces derniers mois.
En effet, le gouvernement, incapable de juguler les flux migratoires dans les grandes villes, a trouvé LA solution miracle : répartir en catimini sur l’ensemble du territoire un nombre croissant de migrants.
Et Pouilly-en-Auxois n’est qu’un village pilote.
À la rentrée, une vingtaine de départements devraient être concernés. Le député UDI Yves Jégo va encore plus loin, proposant que chaque commune accueille un quota de demandeurs d’asile. Nous sommes donc tous concernés, à plus ou moins brève échéance.

Pas de quoi dénaturer nos vertes campagnes, rétorqueront naïvement certains.
À tort : les migrants en question, tous de jeunes hommes en parfaite condition physique à qui l’on offre le gîte et le couvert via l’argent du contribuable, se verront tôt ou tard proposer un travail subventionné sous prétexte que l’oisiveté est mère de tous les vices. Les petites gens du cru touchés par le chômage et la crise apprécieront…

Et puis comme tout humain a le droit d’avoir des relations sexuelles et d’élever ses enfants, on décidera rapidement de faire venir les familles des migrants au village.
Les quelques dizaines d’entre eux disséminés ça et là deviendront rapidement des centaines puis des milliers. Une fois le droit de vote des étrangers si cher à la gauche en vigueur, des communes entières passeront sous contrôle des migrants. Le Grand Remplacement est en marche…

Et pas question d’altérer l’image du formidable laboratoire migratoire qu’est en passe de devenir Pouilly-en-Auxois auprès de l’opinion publique.
Toutes celles et ceux qui, au village, s’indignent de la présence des migrants sont muselés par les médias, ces derniers préférant s’attarder sur la poignée d’habitants ayant décidé d’aider bénévolement les nouveaux arrivants, comme monsieur le maire qui les a conduits, avec sa voiture, manger des crêpes dans un château quatre étoiles, deux institutrices à la retraite qui leur donnent des cours de français, ou bien ce monsieur qui les emmène le vendredi à la mosquée de Beaune.

Il serait donc grand temps que ceux qui lisent ces lignes profitent de la trêve estivale pour aller soutenir massivement et pacifiquement la majorité silencieuse de ce village gaulois bien démunie face au rouleau compresseur politico-médiatique.

Plus nous serons nombreux à faire le déplacement, plus nous aurons de chance d’empêcher les expérimentations migratoires hasardeuses à venir qui, après avoir gangrené nos villes, menacent à présent nos campagnes.
Bonnes vacances au vert…


je vous laisse "apprécier"
à vous de formuler vos commentaires.....


mam

 
ce qui nous vaut un article de
Véronique Bouzou
Professeur de lettres modernes

Vous faites partie de ces Français qui choisissent leur destination d’été à la dernière minute ? Pas toujours facile de privilégier l’exotisme avec un budget serré. Et si vous passiez vos prochaines vacances à… Pouilly-en-Auxois ?
Cette charmante bourgade de Bourgogne de 1.600 âmes – ou plutôt 1.660, depuis que la commune est devenue bien malgré elle le lieu d’accueil de 60 migrants de la Corne de l’Afrique, tous en provenance du centre surchargé de Calais – a fait parler beaucoup d’elle ces derniers mois.
En effet, le gouvernement, incapable de juguler les flux migratoires dans les grandes villes, a trouvé LA solution miracle : répartir en catimini sur l’ensemble du territoire un nombre croissant de migrants.
Et Pouilly-en-Auxois n’est qu’un village pilote.
À la rentrée, une vingtaine de départements devraient être concernés. Le député UDI Yves Jégo va encore plus loin, proposant que chaque commune accueille un quota de demandeurs d’asile. Nous sommes donc tous concernés, à plus ou moins brève échéance.

Pas de quoi dénaturer nos vertes campagnes, rétorqueront naïvement certains.
À tort : les migrants en question, tous de jeunes hommes en parfaite condition physique à qui l’on offre le gîte et le couvert via l’argent du contribuable, se verront tôt ou tard proposer un travail subventionné sous prétexte que l’oisiveté est mère de tous les vices. Les petites gens du cru touchés par le chômage et la crise apprécieront…

Et puis comme tout humain a le droit d’avoir des relations sexuelles et d’élever ses enfants, on décidera rapidement de faire venir les familles des migrants au village.
Les quelques dizaines d’entre eux disséminés ça et là deviendront rapidement des centaines puis des milliers. Une fois le droit de vote des étrangers si cher à la gauche en vigueur, des communes entières passeront sous contrôle des migrants. Le Grand Remplacement est en marche…

Et pas question d’altérer l’image du formidable laboratoire migratoire qu’est en passe de devenir Pouilly-en-Auxois auprès de l’opinion publique.
Toutes celles et ceux qui, au village, s’indignent de la présence des migrants sont muselés par les médias, ces derniers préférant s’attarder sur la poignée d’habitants ayant décidé d’aider bénévolement les nouveaux arrivants, comme monsieur le maire qui les a conduits, avec sa voiture, manger des crêpes dans un château quatre étoiles, deux institutrices à la retraite qui leur donnent des cours de français, ou bien ce monsieur qui les emmène le vendredi à la mosquée de Beaune.

Il serait donc grand temps que ceux qui lisent ces lignes profitent de la trêve estivale pour aller soutenir massivement et pacifiquement la majorité silencieuse de ce village gaulois bien démunie face au rouleau compresseur politico-médiatique.

Plus nous serons nombreux à faire le déplacement, plus nous aurons de chance d’empêcher les expérimentations migratoires hasardeuses à venir qui, après avoir gangrené nos villes, menacent à présent nos campagnes.
Bonnes vacances au vert…


je vous laisse "apprécier"
à vous de formuler vos commentaires.....


mam
No comment tellement ça pue.
 
et ça fait partie des équipes qui "éduquent" les gamins pour "transmettre leur savoir"
ça promet..............

:rolleyes: mam
Dieu merci ils sont une minorité mais le problème de calais est réel lui. Pas ses affabulations. Les États comme la grande Bretagne ou l'Allemagne qui n'ont pas de politique nataliste comme nous se voient réduit à prendre la main d'oeuvre de l'immigration et à bas coût cela va de soi. Pour eux la théorie du remplacement est plausible non certaine mais plausible. En France cela me fait rire.
 

Espiegle69

Evil Halouf
Dieu merci ils sont une minorité mais le problème de calais est réel lui. Pas ses affabulations. Les États comme la grande Bretagne ou l'Allemagne qui n'ont pas de politique nataliste comme nous se voient réduit à prendre la main d'oeuvre de l'immigration et à bas coût cela va de soi. Pour eux la théorie du remplacement est plausible non certaine mais plausible. En France cela me fait rire.

L'Angleterre a un taux de natalité de 1.95 enfant par femme soit juste en dessous du seuil de remplacement.

Les politiques natalistes sont archaïques car avec 7.3 milliards d'habitants sur terre, il y a largement de quoi faire. Regarde les pays avec des populations jeunes comme le Nigéria, les Philippines ou le Pakistan, l'État n'est pas capable de fournir un emploi à tout le monde ce qui entraine des troubles sociaux énormes et une montée des mouvements extrémistes.

Honnêtement, en 2015, avoir plus de 2 enfants devraient être considérés comme un crime contre l'humanité...
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Dieu merci ils sont une minorité mais le problème de calais est réel lui. Pas ses affabulations. Les États comme la grande Bretagne ou l'Allemagne qui n'ont pas de politique nataliste comme nous se voient réduit à prendre la main d'oeuvre de l'immigration et à bas coût cela va de soi. Pour eux la théorie du remplacement est plausible non certaine mais plausible. En France cela me fait rire.

en effet, tous les travailleurs ne sont pas protégés de la même façon
en Allemagne, il existe des petits boulots à 1 € de l'heure, légalement

mam
 
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