Il avait un très beau sourire. C’est ça qui me torture, parce que ce sourire-là me manque."
Hassan Jarfi nous raconte comment, depuis 10 ans, il fait face à la perte de son enfant assassiné parce qu'il était homosexuel.
Ihsane Jarfi, 32 ans, disparaît la nuit du dimanche 22 avril 2012, après une soirée passée à l’Open Bar, un club fréquenté par les homosexuels.
Son corps est retrouvé une semaine plus tard à Nandrin, nu et couvert de nombreuses traces de coups : dix-sept fractures de la cage thoracique.
En décembre 2014, à l'issue d'un procès de 4 semaines, la cour d'assises de Liège a condamné
Mutlu Kizilaslan, Jérémy Wintgens et Eric Parmentier à la réclusion criminelle à perpétuité pour avoir commis l'assassinat homophobe d'Ihsane Jarfi.
Jonathan Lekeu est condamné à 30 ans d'emprisonnement pour un meurtre homophobe.
Depuis, Hassan Jarfi, le père d’Ihsane, surmonte sa douleur en luttant contre l’homophobie à travers la fondation qu’il a créée.
Il se rend dans les écoles pour sensibiliser les plus jeunes en racontant l’histoire de son fils.
Il a également ouvert un refuge où les jeunes homosexuels, pour qui le coming out se passe mal, peuvent venir vivre le temps de rebondir.
Hassan raconte son histoire sur la page de VEWS.
www.rtbf.be
Hassan Jarfi nous raconte comment, depuis 10 ans, il fait face à la perte de son enfant assassiné parce qu'il était homosexuel.
Ihsane Jarfi, 32 ans, disparaît la nuit du dimanche 22 avril 2012, après une soirée passée à l’Open Bar, un club fréquenté par les homosexuels.
Son corps est retrouvé une semaine plus tard à Nandrin, nu et couvert de nombreuses traces de coups : dix-sept fractures de la cage thoracique.
En décembre 2014, à l'issue d'un procès de 4 semaines, la cour d'assises de Liège a condamné
Mutlu Kizilaslan, Jérémy Wintgens et Eric Parmentier à la réclusion criminelle à perpétuité pour avoir commis l'assassinat homophobe d'Ihsane Jarfi.
Jonathan Lekeu est condamné à 30 ans d'emprisonnement pour un meurtre homophobe.
Depuis, Hassan Jarfi, le père d’Ihsane, surmonte sa douleur en luttant contre l’homophobie à travers la fondation qu’il a créée.
Il se rend dans les écoles pour sensibiliser les plus jeunes en racontant l’histoire de son fils.
Il a également ouvert un refuge où les jeunes homosexuels, pour qui le coming out se passe mal, peuvent venir vivre le temps de rebondir.
Hassan raconte son histoire sur la page de VEWS.

Depuis l’assassinat de son fils, Hassan lutte contre l’homophobie
'Il avait un très beau sourire. C’est ça qui me torture, parce que ce sourire-là me manque.' Hassan Jarfi nous raconte...
