23 000€, 35 000€, 9 500€ ou encore 100 000€ disparus. Voici la triste réalité que vivent depuis plusieurs mois des clients de la banque en ligne allemande N26. Aujourd'hui désemparés, ils sont des dizaines à vouloir récupérer leur argent après avoir fait l'objet d'une clôture de compte injuste estiment-ils.
Comme Céline, ils ont créé une page Facebook et un compte Twitter "clients arnaqués par N26" pour faire entendre leurs revendications et ont lancé depuis quelques jours un véritable raid sur les réseaux sociaux afin de médiatiser encore plus la situation.
Sur Tiktok par exemple des vidéos circulent par dizaine : "Bonjour je m'appelle Céline, j'habite dans le sud-ouest de la France, ça va faire presque un an que je n'ai pas mon argent"... "Bonjour je m'appelle Anne-Sophie, j'ai 29 ans. J'ai ouvert un compte N26 pour percevoir mes salaires. J'ai plus de 35.000 euros sur ce compte auquel je n'ai plus accès"...
Ou encore sur Facebook, Twitter et Linkedin : "Je m'appelle Alexis, j'ai 27 ans, et comme de nombreuses personnes, mon compte N26 s'est fait fermer. De manière immédiate, sans préavis, avec l'ensemble de mes économies dessus : 23.000 euros."
Interrogé par RMC, qui avait déjà en décembre dernier révélé l'affaire, Jérémy Briffaud, à l'origine du mouvement "est déterminé à aller jusqu'au bout". Ce cadre de 29 ans a perdu presque 10 000 euros du jour au lendemain après la clôture de son compte.
De son côté, la banque assure qu'il s'agit de "contrôles de routine" suite à des opérations suspectes. Problème même après des semaines, la banque reste muette face aux requêtes des clients spoilés. L'ACPR, le gendarme des banques en France, a été saisi.
Dans les colonnes du Parisien ce vendredi 22 avril, la banque se défend de "garder les fonds". "En aucun cas nous ne gardons l’argent, c’est un fantasme, martèle Jérémie Rosselli patron de la néobanque. Dans certaines situations, nous n’avons pas à attendre deux mois car la réglementation allemande l’exige. Dans tous les cas de fraude, nous n’avons pas le droit d’expliquer les raisons aux clients. Nous pouvons faire des erreurs humaines mais s’il y en a elles sont plus que marginales."
Comme Céline, ils ont créé une page Facebook et un compte Twitter "clients arnaqués par N26" pour faire entendre leurs revendications et ont lancé depuis quelques jours un véritable raid sur les réseaux sociaux afin de médiatiser encore plus la situation.
Sur Tiktok par exemple des vidéos circulent par dizaine : "Bonjour je m'appelle Céline, j'habite dans le sud-ouest de la France, ça va faire presque un an que je n'ai pas mon argent"... "Bonjour je m'appelle Anne-Sophie, j'ai 29 ans. J'ai ouvert un compte N26 pour percevoir mes salaires. J'ai plus de 35.000 euros sur ce compte auquel je n'ai plus accès"...
Ou encore sur Facebook, Twitter et Linkedin : "Je m'appelle Alexis, j'ai 27 ans, et comme de nombreuses personnes, mon compte N26 s'est fait fermer. De manière immédiate, sans préavis, avec l'ensemble de mes économies dessus : 23.000 euros."
Interrogé par RMC, qui avait déjà en décembre dernier révélé l'affaire, Jérémy Briffaud, à l'origine du mouvement "est déterminé à aller jusqu'au bout". Ce cadre de 29 ans a perdu presque 10 000 euros du jour au lendemain après la clôture de son compte.
De son côté, la banque assure qu'il s'agit de "contrôles de routine" suite à des opérations suspectes. Problème même après des semaines, la banque reste muette face aux requêtes des clients spoilés. L'ACPR, le gendarme des banques en France, a été saisi.
Dans les colonnes du Parisien ce vendredi 22 avril, la banque se défend de "garder les fonds". "En aucun cas nous ne gardons l’argent, c’est un fantasme, martèle Jérémie Rosselli patron de la néobanque. Dans certaines situations, nous n’avons pas à attendre deux mois car la réglementation allemande l’exige. Dans tous les cas de fraude, nous n’avons pas le droit d’expliquer les raisons aux clients. Nous pouvons faire des erreurs humaines mais s’il y en a elles sont plus que marginales."