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Des soldats français ont été envoyés en renfort en syrie, révèle jim mattis
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[QUOTE="Drianke, post: 15716825, member: 174325"] [B]Le jour avant Deraa : Comment la guerre a éclaté en Syrie – La véritable histoire[/B] La journée qui a précédé le 11 Septembre, 2001 avait été une journée normale à New York City. Le 10 septembre 2001 a ignoré que des événements ébranlant le monde surviendraient le jour suivant. De même, on aurait pu penser, la veille du jour où la violence a éclaté à Deraa, en Syrie en mars 2011, que ce jour serait aussi une journée sans incident, dans l’ignorance où l’on était du soulèvement sur le point de commencer. Mais ce ne fut pas le cas. Car Deraa débordait d’activité et de visiteurs totalement étrangers à la Syrie bien avant que le soulèvement organisé ne frappe ses trois coups. La mosquée Omari servit de coulisses à la représentation; c’est là que se firent les changements d’habillement et qu’eurent lieu les répétitions. Oui, les terroristes libyens, venus en droite ligne du champ de bataille de l’agression-changement de régime US-OTAN sur la Libye, étaient arrivés à Deraa bien avant le violent soulèvement de mars 2011. Le responsable religieux de la mosquée Omari était Sheikh Ahmad al Sayasneh. C’était un homme d’un certain âge avec un grave problème de vue qui l’obligeait à porter des lunettes noires spéciales, et ces lunettes affectaient à leur tour sa vision. Il n’était pas seulement malvoyant, mais également sensible à la lumière ce qui l’obligeait à se tenir autant que possible à l’intérieur et souvent isolé. Il était accoutumé à reconnaître les personnes avec lesquelles il parlait à leur accent et à leur voix. L’accent des gens de Deraa est caractéristique. Tous les hommes qui fréquentaient la mosquée Omari étaient des habitants du lieu, s’exprimant avec l’accent local. Évidemment, les visiteurs venus de Libye se gardèrent bien de se laisser identifier par l’ecclésiastique, ce qui les eût démasqués. Ils se contentèrent de travailler avec quelques acteurs-clés qu’ils avaient recrutés localement et mis dans le secret. La participation de membres locaux des Frères musulmans, qui allaient être chargés d’assister les mercenaires/terroristes libyens était un élément essentiel du plan de la CIA, plan ourdi et dirigé à partir de la Jordanie. Le fait d’avoir obtenu l’aide et la coopération de salafistes locaux a permis aux Libyens d’entrer dans Deraa sans éveiller les soupçons. Les locaux recrutés ont servi de façade à l’opération. Les agents de la CIA qui la dirigeaient à partir de leurs bureaux en Jordanie avaient déjà fourni les armes et l’argent qu’il fallait pour attiser les flammes de la révolution en Syrie. Avec suffisamment d’armes et d’argent, on peut faire démarrer une révolution n’importe où dans le monde. En réalité, le soulèvement à Deraa de mars 2011 n’a pas été déclenché comme on l’a dit par des graffitis d’adolescents, et il n’y a pas eu de parents mécontents exigeant que leurs enfants soient libérés. Cela faisait partie du script à la manière d’Hollywood concocté par d’experts agents de la CIA, qui étaient chargés d’une mission : détruire la Syrie aux fins d’y provoquer un changement de régime. Deraa n’en fut que l’Acte 1 – Scène 1. Le fait que ces prétendus artistes adolescents du graffiti et leurs parents n’aient jamais été retrouvés, jamais nommés, et jamais photographiés est la preuve que leur identité doit rester enrobée de ténèbres. À tout soulèvement il faut un soutien populaire. Habituellement, une situation donnée se présente et des manifestants descendent dans la rue. Les équipes de sécurité interviennent alors pour maintenir l’ordre et dégager les rues et, s’il y a « répression brutale », ceux qui seraient restés des « manifestants pacifiques » réagissent avec indignation parce qu’ils se sentent opprimés et trompés, et le nombre de gens dans les rues augmente. C’est le moment où les manifestations de rue peuvent prendre deux directions : soit les manifestants reculent et rentrent à la maison, soit ils réagissent violemment, et à cette réaction répondra celle non moins violente des équipes de sécurité, ce qui ouvre la voie à une insurrection totale. Dans le soulèvement organisé à Deraa, il y a eu dans la rue des acteurs locaux ignorant qu’ils participaient à une mise en scène hollywoodienne de la CIA. Ceux-là n’étaient que les figurants bénévoles de la séquence sur le point d’être tournée. Ces « extras » inconscients de leur rôle avaient certes des griefs, peut-être vieux d’une génération ou plus, et peut-être enracinés dans le wahhabisme, qui est une idéologie politique exportée dans le monde par le Royaume d’Arabie Saoudite, par la famille royale et ses agents à gages. ................ [URL]http://arretsurinfo.ch/le-jour-avant-deraa-comment-la-guerre-a-eclate-en-syrie-la-veritable-histoire/[/URL] [/QUOTE]
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